Bordeleau

Alors que les combats allaient s'engager entre les deux flottes édoranaises, une partie de la modeste flotte moladvienne avait déjà commencé à faire route vers Bordeleau. Le monarque et son navarque, le commandant en chef de la flotte, avaient décidé d'aider à en finir avec le Commandeur.
10 navires firent donc route vers le port des Républicains édoranais.
Parmi eux, un croiseur, le Basileus Tibère IV, trois contre-torpilleurs, le Mircea, l'Emil Racoviţă, et le Mărăşeşti et 4 cuirassés.

Le général Urbain de Loménie, qui s'occupe de la région de Bordeleau, rencontre d'urgence le bourgmestre.

- Votre Excellence, l'amiral ne pourra pas faire revenir rapidement la flotte, qui est à Bonne-Espérance. Nous vous conseillons la reddition. Ce n'est pas une défaite, c'est la survie de nos valeurs.

Le bourgmestre suite au conseil, il décide alors d'accepter la proposition.

On hisse le drapeau blanc, et le général se constitue comme prisonnier à l'amiral royaliste.

Durant cette période de transition, le général avait ordonné le départ de la majorité de ses hommes, des armes, des munitions, de l'artillerie, vers Confolens. L'objectif était alors de sauver le plus de vie, et d'empêcher que le Commandeur prenne possession des armes de la république.

La flotte républicaine avait fait route vers Bordeleau et rejoint la flotte moldavienne. Dès demain ils seraient à Bordeleau et le grand combta pourrait commencer.
Il s'agissait de mettre fin à ce conflit. Ce combat serait décisif

[i]Les navires impériaux, grisés par la victoire, n'étaient pas prêts à un combat naval.

Le combat s'engagea rapidement, au désavantage de la marine impériale. Malgré un feu nourrit, la marine impériale ne parvenait à prendre le dessus sur la flotte républicaine coalisée.

Entre les navire stationnés dans le port de Bordeleau où les soldats prenaient la ville, d'autres navires combattaient.

Or, il apparaissait que la bataille était perdue. Vers 11h, seulement 6 navires réussirent à fuir vers Lucéra. Les autres navires avaient été coulés ou capturés.


La force navale de l'Empire avait été réduite. La République avait gagnée une bataille importante...

Les marins de la République et leurs alliés avaient pu libérer la ville et le port de Bordeleau. Finalement l'occupation par les troupes du tyran n'avait pas été très longue.
Il s'agissait désormais d'écraser une fois pour toutes les troupes du commandeur.
La marine se réorganisa avec les navires capturés. Les marins avaient tous prêté le serment d'allégeance à la République. Ils avaient compris qu'ils n'avaient d'autres choix. Une partie des navires reparti en direction de Lucéra, les autres vers BE afin de faire plier une bonne fois pour toute l'île pro-commandeur. Un émissaire serait envoyé dans les Colonies pour s'assurer leur passage dans la république.