Funérailles del rey Ferando-Luis II

Le peuple allait rendre un dernier hommage au rey. Plusieurs membres de la cour était dans la foule. Pour cet événement, il n'y avait aucune différence de classe.

Le peuple était réunis. La sécurité avait été augmenté pour assurer la sécurité aux dignitaires présents.

Toute la Famille était derrière le cortège funéraire. Le silence était présent autour du cortège.

Le Prince de Saint-Junien était arrivé pour suivre les funérailles

Les cloches de tous les églises du Royaume sonnèrent en même temps, avec celle de la Cathédrale. Le silence est brisé.

Le cortège rentre dans la cathédrale et s'arrête au milieu de l'allée centrale. Sa Béatitude Ignace II et les autres prélats de L’Église descendent et marchent vers le cortège.

Soyez le bienvenu Frère. Aujourd'hui nous te rendrons grâce pour une dernière fois.
Qu'Ether écoute nos prières et nos pleurs
Qu'Ether t'accueille dans la Paix universelle
Nous te bénissons au nom d'Ether
Amen

Chant d'ouverture

(Refrain)
Je mets mon espoir dans Ether, je suis sûr de sa Parole.
Des profondeurs je crie vers toi, Ether,
Ether, écoute mon appel !
Que ton oreille se fasse attentive
au cri de ma prière !

Si tu retiens les fautes, Ether,
Ether, qui subsistera ?
Mais près de toi se trouve le pardon
pour que l’homme te craigne.

J’espère Ether de toute mon âme ;
je l’espère, et j’attends sa parole.
Mon âme attend Ether
plus qu’un veilleur ne guette l’aurore.

Sa Béatitude
Au nom d’Éther soyez le bienvenu dans la Paix Universelle.
Chères sœurs et chers frères, nous reconnaissons, que nous avons pêchers, et commis des actes méchants, Nous reconnaissons nos fautes et nous allons demander pardon pour nos fautes

Le chorale chante alors :
Ether est pité de nous
Pardonnes-nous de nos fautes
Ether est pitié de nous.

Sa Béatitude :
Gloire à Ether et à la Paix universelle
que la paix soit sur terre à tous les hommes
Nous te bénissons Ether
Nous te louvons Ether
Nous te donnons grâce.

Un clerc s'approche du lutrin et lit une lecture sainte, à voix haute.

Après cette lecture sainte pour les morts, Sa Béatitude se dirige vers le lutrin, qui lui est réservé.
Chères sœurs et Chers Frères, Nous avons perdu cette semaine, un membre de notre sainte famille. Toute notre Église vous accompagne dans ce drame. Dans les dernières années, la nation eslagnole a su se développer dans sa paix. Le roi Fernando-Luis II a su créer les ponts nécessaires.

Personne, comme notre frère, Fernando-Luis, a su comprendre et appliquer au si bien l'enseignement d'Ether sur la Paix Universelle, que personne. La Paix universelle s’est tout simplement l’ouverture à l’autre et à l’amour. N'a-t-il pas aimé son prochain, comme personne d'autres ici. Il a cherché dans son rôle de bon roi, à protéger et à défendre le droit de tous. De vivre dans un monde égalitaire. Du plus riche, comme du plus pauvre. Certains l'ont accusé, mais moi, je l'ai admiré pour son courage dans son ouverture aux autres courants politiques.

Il est un modèle pour nous tous et pour tous les rois et reines sur cette terre. Si on veut gagner l'amour et la paix universelle, il faut suivre l'exemple de notre bon ami, Fernando-Luis. Malheureusement, il laisse dans la douleur son peuple. Je suis sur, que cette Nation sera suivre l’exemple du bon roi. Je crois que la Nation eslagnole va garder son ouverture d’esprit et ses avancé sociale de la Paix universelle. J'espère, que ce royaume continuera d'être un exemple de bonne harmonie entre tous et de la Paix universelle. Je te promets Fernando-Luis, et nous tous dans cette assemblée, de continuer ton travail et de suivre tes préceptes de justice sociale et d'amour envers le prochain.

À la fin de la cérémonie, Sa Béatitude tend les bras.
Qu'Ether vous soit avec vous! Qu'il vous bénisse de son nom!
Amen

Sa Béatitude prit alors de l’encens, et béni le cercueil. Fernando-Luis nous te bénissions, nous te louvons, nous te souhaitons un bon voyage dans la Paix universelle.

Les cloches de tous les églises du Royaume sonnèrent en même temps.

Le duc d'Esse séchait les larmes de sa femme, qui était triste d'entendre les paroles de sa Béatitude.

Ses enfants étaient en habit de circonstance. Le jeune chevalier était tout beau avec son uniforme. Il vit son compatriote, le prince de Saint-Junien.

- Votre Altesse, comment allez-vous ? Nous avons été surpris du discours de sa Béatitude. Notre beau-frère était en colère de ce que nous avons vu dans la réaction de ses mains.
Il sera clair, que les markistes n'auront plus leurs places, ici.

Nus allons bien. Et vous même. Philibert salua les enfants. En effet, cela peut se comprendre. Pensez-vous vraiment que le roi va mener une lutte contre les markistes?

Nous allons très bien.
Oui, nous croyons. Il n'était pas très d'accord avec les politiques de son père. Selon lui, son père a ruiné les finances du pays.

En quoi, aurait-il ruiné les finances du Royaume des Eslagnes? Les finances du pays vont-elles si mal que cela?

Depuis la régence, elles vont mieux. Notre beau-frère a rétablit l'équilibre avec difficulté. Mais bon, le markisme a laissé une mauvaise expérience dans la mémoire.

Nous tenons à saluer la vie d'un grand homme qui fut ouvert envers son peuple.