Mutinerie à Bordeleau

Tôt, le matin, les marins de la Flotte impériales prirent les armes sous le commandement du sergent Dimitri Larriviste, les matelots de trois navires de la flotte impériales ont pris les armes et ont mis aux arrêts les officiers des navires.


Le drapeau impérial a été retiré des navires et il fut remplacé par le drapeau markiste de l'intermicromondial. Un communiqué fut envoyé aux bourgmestre de Bordeleau de adhérer à la cause, où la ville serait bombardé

le ministre de l'intérieur était venu. Cette mutinerie était un événement très grave, il fallait le résoudre rapidement.

Un message fut envoyé des navires.

Kompatriotes, l'heure est venu la Révolution
Le markisme est le salut du peuple.
La démokratie prolétaire la vrai voix.
Nous invitons nos amis de l'UC à se joindre à la marche.
La diktature de la droite est finie.
Ils ont voulu la guerre, ila auront les mors sur leurs konsciences.

Le ministre conjurait le bourgmestre de ne pas céder.
- Ce sont des terroristes. Il faut gagner du temps et tenter de faire évacuer la ville au plus vite. Nous allons tenter de communiquer avec eux. Ils n'ont aucune chance de s'en sortir. C'est de l'inconscience pure, même la flotte de Moldavia peut venir balayer leur mutinerie. Ces marins ont été gravement manipulés.

Les Fusiliers-Marins du Port Militaire de Bordeleau avait pris position dans les navires se trouvant autours des trois navires pris en otage, ainsi que sur les toits des bâtiments du port.

Ils avaient tous des fusils à lunette à longue portée et visaient les mutins.

Le Feld-Maréchal arriva sur place en fin de matinée, flanqué de son aide-de-camps le Capitaine Legris. Il rejoint aussitôt le poste de crise installé à proximité mais en sécurité.

Il y avait le Ministre de l'Intérieur, le Bourgmestre de Bordeleau, le Capitaine du Port, l'Amiral de l'escadre basé sur place, les Commandants des groupes de fusiliers-marins sur place et une foule d'officiers et de conseillers.

Le Feld-Maréchal prit la parole.

- Les navires pris en otage sont des frégates anti-sous-marines ou anti-aérienne, elles n'ont pas la puissance de feu ni la portée pour toucher le centre-ville. Néanmoins, il faudrait évacuer les ports civils et militaires, ainsi que les quartiers de la ville à proximité des ports.

L'artillerie côtière et les croiseurs et destroyers en position dans le Golfe de Bordeleau ont dirigé leurs canons vers les navires mutins. L'objectif est d'intercepter un tir d'obus en provenance des mutins, mais il ne faut pas en arriver à devoir couler ces navires, des otages sont à bord !

Les tireurs d'élites sont en position, mais nous devons attendre.

De plus, je pense pas à une mutinerie markiste, il s'agit probablement d'éléments extrémistes éthéristes ou impérialistes voulant décrédibiliser la gauche au pouvoir. La Division du Renseignement Militaire est sur le coup...

...Je sais que certain ici ignore son existence... mais je vous le dit, j'ai appelé l'Unité Spéciale de l'Armée du Saint-Empire pour intervenir et mettre fin à cette mutinerie.

Le bureau du renseignement de la garde nationale informe que la mutinerie est vraiment mené par des markistes qui désirent avoir leur 5 minutes de gloire.

Ils ont réussis à convaincre les matelots, que dans une vraie démocratie ils ne seraient pas obligé d'aller en mer de battre pour des inconnus.

Le bourgmestre UC de Bordeleau avait lancé un appel à la population : restez calmes. On avait fait évacuer les écoles, les hospices et les hôpitaux de la ville par la Garde chironnaise.

Des informations plus précises étaient tomber.
Frégate MIE Albanel :
- Equipage otage : 105
- Mutins : 36

Frégate MIE Biencourt :
- Equipage otage : 114
- Mutins : 41

Frégate MIE Neuville :
- Equipage otage : 100
- Mutin : 24


Un négociateur demanda à parler au chef des mutins.

Et pendant ce temps... à l'aérodrome de Bordeleau un avion de transport militaire en provenance de Confolens atterri. 24 hommes entièrement vêtu et maquillé de noir en sortirent.

Un patrouilleur des gardes côtes les attendait dans le port civil où il se rendirent en courant au milieu d'un quartier désert, car évacué, de Bordeleau.

Le navire les conduit en mer. Au large du port militaire. Il s’équipèrent avec du matériel que même les marins du patrouilleur ne connaissait pas, puis prirent la route des navires mutins en nageant...

Se pouvait-il qu'il n'y ait finalement plus de mutin ?

Le négociateur hurla dans le mégaphone qu'il laissait encore 1 heure aux preneurs d'otages pour prendre la parole.

Les chefs étaient réunis.
- Nous sommes prêt pendant que Karl négocie, on prépare les explosifis pour faire sauter le navire.

Karl va sur le pont supérieur pour répondre.
- Nous exigeons la reddition de Bordeleau.

dans son bureau de la capitale impériale, Philibert s'emportait.
- Qu'attend donc Klaus pour éliminer ces terroristes !! cette prise d'otage menace Bordeleau et l'économie chironnaise.