Réunion du gouvernement et de l'Etat-major

Rappel du premier message :

Le Feld-Maréchal avait réunit le Chancelier, les membres du gouvernement et les membres de l'Etat-major de l'Armée du Saint-Empire. Un point sur les évenements récent était nécessaire.

- Messieurs, beaucoup d'entre vous demandent des explications.

Les faits sont ceux-ci : Un navire armé par le Royaume fédérée des Eslagnes a explosé à 5 nautiques à l'ouest des eaux territoriales édoranaises bordant Bonne-Espérance. L'explosion est indiscutablement de nature nucléaire, ne serait-ce que par les témoins du panache de fumée.

Un second navire eslagnol a distance était chargé de prendre des mesures.

Messieurs, le Palais Corvin, via la direction du renseignement militaire et le SEE, avait eu vent que les Eslagnes allait tenter un tel essai nucléaire. Nous avons des hommes dans le centre de recherche, ainsi que sur le navire de mesure.

J'ai décidé de ne pas empêcher cette explosion. Ainsi, nos services ont recueilli des informations capitales concernant la puissance de feu et les avancées technologiques des Eslagnes. L'analyse de ces données explique mon retard dans la communication post-événement. Aussi, en laissant faire, nous n'avons pas compromis nos agents sous couverture.

Maintenant, il faut prendre les choses en main. Chancelier, je comprends votre magnanimité, mais il semble légitime de demander des comptes au Roi des Eslagnes comme l'a fait le Ministre de Klausbourg.

Sur les ordres du Maréchal de Lancret, numéro 2 du Palais Corvin, notre Marine a arraisonné le navire eslagnol. Pour sûr que ces marins ne connaîtrons pas l'air libre avant un moment.

Aussi, je vais me rendre personnellement aux Eslagnes pour interroger le Feld-Maréchal eslagnol. Le Palais Corvin assurera la tutelle de l'Armée Eslagnole jusqu'à nouvel ordre. Il ne s'agit pas de condamner les Eslagnes, mais de faire toute la lumière sur la situation et sur les ambitions nucléaires de ce vassal de Sa Majesté.

Avez-vous des questions ?

Maréchal, nous avons plus de 200 000 hommes en Russlavie, et je ne crois pas que nos intérêts soient menacé.

Mais dites moi, Maréchal, vous avez peur du président de votre parti ?

Se raidissant,


Ce n'est pas de son excellence que nous craignons le plus, mais plutôt les forces markistes qui pullulent en Russlavie et en Moldavia.

Elles sont moins à craindre que le Prince de Livadia...