Comité de Lutte contre les Activités Anti-Edoranaises

Le Comité de Lutte contre les Activités Anti-Edoranaises

Convoque les suspects suivants arrétés

- Gilles Leduc - secrétaire-adjoint du PRE
- Francis Lafleur
- Christian Francoeur
- Marie Curé
- Isabelle Lepetit
- Matthieu Prise
- Jean Durocher
- Jean-Philippe Girouette
- Hugo Dû

Oragnisme
- Le Parti Républicain Edoranais.

Le duc d'Esse prit la parole.

- Monsieur Leduc, est-ce qu'il est vrai que vous êtes le secrétaire-adjoint du Parti Républicain edoranais? Et est-ce que le PRE propose l'abolition de la monarchie ?

Gilles Leduc - secrétaire-adjoint du PRE
- Je n'ai pas honte. Oui, je suis secrétaire-adjoint. Oui, je suis le frère du prisonnier politique, Robert Leduc. Oui, je suis pour l'abolition de la tyrannie. Oui, j'ai félicité les crachats fait au tyran Philippe. Je trouve que cette comité est de l'argent perdu. Car tout ce que je dis, a déjà été publié et est public.

Le duc consulte ses collègues

- Monsieur Leduc, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Le Parti Républicain est dclaré comme institution anti-édoranaises, conformément à l'article de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises.
(silence)
- Le Parti Républicain est déclaré illégale et est aboli. Tous ses membres sont déclarés coupable de crime anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Gilles Leduc vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, à vie.

Lucien Duceppe prit la parole
- Monsieur Francis Lafleur, est-ce qu'il est vrai que vous êtes membres du PRE, qui est une formation politique anti-edoranaise?

Monsieur Francis Lafleur
- Oui, j'étais dans les lieux du PRE, lors de la descendante. Je suis pour une meilleure justice sociale, avec la fin des privilège de la noblesse. Depuis quand, l'Église a droit d'être une institution non imposée, par rapport à des individus, qui donneur leurs sueurs à l'économie? J'invite les gens à prendre les armes, s'il faut.

Duceppe consulte ses collègues

- Monsieur Lafleur, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Lafeur vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan,pour 30 ans.

Duceppe invite le nouveau accusé.

- Bonjour monsieur Christian Francoeur. Je vois dans votre dossier, que vous étiez au siège social de l'organisation illégal du PRE. Je veux savoir pourquoi ?

J'étais au siège social, pour un travail scolaire. Mon professeur d'université voulait qu'on visite le PRE, pour connaître vision de l'avenir de Edoran. Cette expérience devait nous aider à regarder l'avenir du pays sous un nouveau regard.

Duceppe surpris

- Donc avez-vous aimé la vision du PRE, car les forces de l'ordre ont pu trouver votre formulaire d'admission, avec votre signature ?

Christian Francoeur
- Oui, je suis d'accord. Je n'ai pas honte. Je le vois tous les jours. Pourquoi l'Université n'est accessible qu'aux riches et aux boursiers. Le système politique, aujourd'hui, n'est que corruption. On l'a vu avec le scandale du collier à la maîtresse de Sa Majesté. Honte à l'Empire. Honte au tyran. Vous pouvez gagner la bataille, mais jamais la guerre. L'idée de la république existe depuis toujours. Elle me survivra. Mais un jour, elle aura raison de la Maison de Traceau.

Duceppe consulte ses collègues

- Monsieur Christian Francoeur, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Christian Francoeur vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan,pour 30 ans.

Solène-Artémis Dutronc-Pombal prit la parole

- Madame Marie Curé, vous êtes une jeune mère, que faisiez-vous dans les bureaux du PRE ?

Madame Marie Curé

- Je suis employée d'entretien ménagé. Mon travail au PRE consiste juste à enlever la poussière et de passer l'aspirateur. Je paie mes impôts. Je donne aux bonnes œuvres de l'Église etheriste. J'ai toujours été une bonne citoyenne.

Solène-Artémis Dutronc-Pombal

- Solène-Artémis Dutronc-Pombal, je vois dans votre dossier, que vous participiez quand même aux activités de l'organisme. Pire, vous avez reçu un prix d'hommage pour votre implication. J'ai même vu, que votre père était un ancien militant, et que vos parents se sont séparés à cause du militantisme de votre père. Est-ce vrai ?

Madame Marie Curé

- Oui, ma mère a quitté mon père à cause de ses opinions politiques. J'ai toujours admiré mon père. Cela ne me fait pas une terroriste. Je crois en Ether. Comment pourrais-je être une terroriste, en croyant l,amour d'Ether. C'est plus l'Empereur, qui n'a pas l'amour en son peuple. Il laisse l'écart des riches et des pauvres augmenté. Le gouvernement impérial est corrompu. La commission sur le scandale du collier a été noyé par les différents gouvernements, mais le peuple meurt de faim. La solution passe par un monde libre et dédié à Ether.

Solène-Artémis Dutronc-Pombal consulte ses collègues

- Madame Marie Curé, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commise des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Madame Marie Curé vous êtes transférée au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 15 ans.

Le duc d'Esse a prit la parole.

- Le Comité a beaucoup de travail, pour cette raisons, nous allons entendre le suivant groupe ensemble. Voici leurs noms:
- Isabelle Lepetit
- Matthieu Prise
- Jean Durocher
- Jean-Philippe Girouette
- Hugo Dû

Notre question est la suivante: Est-ce que vous êtes membre du PRE, et pourquoi est-ce que vous étiez dans les bureaux du PRE?

Jean Durocher prit la parole
- Nous sommes tous membres et oui, nous étions en préparation d'un envoi de uniformes à nos frères d'arme. Ils méritent notre soutien et notre courage. Ils sont morts pour des idéaux et une vie meilleure. Leurs morts ne sont pas une fin, mais un début d'un renouveau.

- Madame Isabelle Lepetit, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Madame Isabelle Lepetit vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 30 ans.

- Monsieur Matthieu Prise, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Matthieu Prise vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 30 ans.

- Monsieur Jean-Philippe Girouette, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Jean-Philippe Girouette vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 30 ans.

- Monsieur Jean Durocher, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Jean Durocher vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 30 ans.

- Monsieur Hugo Dû, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises, je vous déclare coupable d'avoir commis des crimes anti-édoranaises.
(silence)
- Monsieur Hugo Dû vous êtes transféré au Pénitencier Spécial du Ceylan, pour 30 ans.

Un nouveau procès avait lieu au Comité. Jeanne Vitrail était la nouvelle juge, pour remplacer Solène, qui était rendu à la Diète.

- Bonjour monsieur Jean Santâche. Je vais vous poser quelques questions. Vous pouvez me confirmer que vous êtes un employé du PDE? Est-ce que c'est vous, qui avait mis les affiches suivantes sur les murs? Je vous rappelle, que nous avons des photographies, qui vous montrent. Dernière question, qui vous a donné les affiches à placarder ?

Oui, j'ai collé ces affiches... mais si des photographies existent c'est que les membres du PDE sont sous surveillance ! C'est une honte pour un état de droit de surveiller ses concitoyens !
C'est le peuple édoranais qui m'a donné ce mandat

La juge Jeanne Vitrail était devant un autre suspect.

Bonjour Monsieur Karl Particule. Je vais vous poser quelques questions. Vous pouvez me confirmer que vous êtes un employé du PDE? Est-ce que c'est vous, qui avait mis les affiches suivantes sur les murs? Je vous rappelle, que nous avons des photographies, qui vous montrent. Dernière question, est-ce que c'est madame Maria Klausvitch, directrice adjointe à la propagande, qui vous a donné les affiches à placarder ?

Je ne rekonnais pas votre komité antidémokratike ! Déclara Karl. [i]Je vous dirais bien d'autres choses mais ma mère m'a appris à rester polis face à une femme, même de mauvaise vie komme vous. Je ne dirai plus rien./i]