La deuxième armée

Des régiments avaient quitté leurs positions dans l'ouest et semblaient se diriger ers la capitale.
Dans la capitale, justement certains commençaient à manifester une certaines inquiétudes. Le Général Vilénius était un partisan de l'ancien régime.

Une dizaine d'avion de transport arrive. Il transporte plus 10 000 soldats eslagnoles.

Les régiments déjà présents sotn déjà en alerte, et ils sont prêts à intervenir. L'objectif est d'assurer la sécurité des points stratégiques du pays.

On pouvait voir les trois nouveaux régiments de la Tchécoslovénie, qui sont composés de fidèles du prince et qui ont été formé par l'Eslagnes. Ses trois régiments étaient placés dans les points stratégiques de la capiltale, d'un point vue politique.

Les troupes ne s'étaient plus déplacées mais la crainte était bien réelle. Le roi n'avait pas osé destitué le général de peur de déclencher l'offensive possible des mutins (qui pour l'instant n'avaient fait qu'exécuter des manœuvres, chose habituelle). Certains parlaient de complot markiste derrière le général Vilénius. Certains parmi les plus durs de l'armée trouvait le jeune roi trop léger vis-à-vis des ennemis intérieurs. L'arrivée des Eslagnols les avaient renforcer dans leurs convictions.
Par contre la population n'avait guère apprécié l'arrivée des troupes eslagnoles. Le chef du parti socialiste tchécoslovène avait interpellé le gouvernement à la Diète. Et ce discours avait même secoué des élus du parti paysan, majoritaire à la Diète.

Le gouverneur de Chiron arrive au Palais.

Dans la salle se trouve le prince et le gouvernement de la principauté.

- Nous sommes ici, sous ordre du Feld-Maréchal. Les ordres sont les suivantes. Nous vous proposons l'intervention de la Garde nationale du Royaume de Chiron. Nous allons donc rentrer par le Nord et prendre par revers cette Armée de rebelle.

- Si vous acceptez cette intervention, nous allons annoncer un investissement de 2 milliards d'edo dans votre économie.

Nous souhaitons une seule, que votre fidélité envers l'empereur soit entière.

Douteriez vous de notre fidélité au Saint-Empire et à Sa Majesté Impériale?

Sur l'aérodrome de la capitale, les troupes du 11e choc étaient arrivées pour prêter main forte à l'armée tchécoslovène en cas de menace sur la capitale.

- Nous ne doutons pas de votre fidélité. Ce n'est qu'on rappel de vos obligations. Donnez-nous, 5 minutes.

Le gouverneur tourne vers son aide de camp. Il a envoyé l'ordre d'intervention.

- Voilà, l'ordre d'intervention. La garde nationale va entrer dans le nord dans les prochains heure.

La Garde nationale a pris possession des postes frontaliers, et quelques villages.

Plusieurs paysans sortirent de leurs maisons, pour saluer les libérateurs.

La Garde nationale arrive dans la ville Mardejov.

La Garde prend possession de la ville et Son Altesse Illustrissime, Henri de Fricard, rentre dans le bureau administratif de la ville et de la région. La vieille tour de l'édifice permet de voir la région au loin.

Avec l'aide d'un télescope, il voit le camp des rebelles. La bataille arrive bientôt.

Un message arrive au général Vilénius.

- Nous vous ordonnons de déposer arme et de se soumettre à la justice de l'empereur.

En quoi des étrangers viendraient-ils nous demander de déposer les armes alors que ce sont des envahisseurs. Nous sommes dans notre pays et légalement je dirige cette armée. Seul le roi peut en décider autrement. Vous n'êtes pas le roi que je sache.

S.A.I. Henri Fricard envoie un message au Palais et au gouverneur.

Votre Altesse Balthazar IV, nous vous invitons à donner l'ordre au général Vilénius de se rendre et qu'il est relevé de ses fonctions.
S'il refuse, nous allons alors attaqué.

Après des jours de siège.

L'armée rebelle a pris les armes contre l'état major.

Ils se sont rendus à la garde nationale. Le général et le prince Balthazar sont conduis dans une prison en Eslagnes. Pour des raisons de sécurité, il fut décider de réaliser un procès, en Eslagnes, pour éviter qu'ils s'évadent avant le jugement.

La Paix était revenue. La Garde nationale pouvait revenir en Chiron, pour assurer l'ordre public.