Premier Congrès National progressiste

Le Duc d'Arséna fut longuement applaudit par la salle et notamment par les proches de Victor-Emmanuel Chandebise, soutien sans faille au Duc.

Excellent discours, un grand programme nous attend !

Merci à tous!

Nous laissons la parole au conseiller national pour qu'il nous présente le résultat du travail de son équipe.

Antoine De Courvoisier se lève, rejoint le pupitre et prend la parole.

"Mes chers amis !

Suite à mon élection au Conseil Central Progressiste, j'ai été chargé avec mon équipe de dessiner les grandes lignes du Parti. Nous l'avons fait par le biais d'une charte d'identité qui définit ce qu'es d'être progressiste au XXe siècle et l'esquisse d'un programme qui aiguille les futurs réformes que nous souhaiterions mettre en œuvre. Nous avons publié le tout sous forme de déclaration amendable soumise au vote du présent Congrès.

La charte d'identité doit pouvoir permettre aux militants ou aux simples sympathisants de s'identifier aux luttes communes du parti. En voici le portrait: Le progressiste du nouveau siècle est un réformateur convaincu: il souhaite faire passer la société edoranaise dans le nouvel ère par la réforme. Le progressiste porte le flambeau de la démocratie qu'il défend quel qu'en soit le prix à payer. Il défend également la paix et le droit des peuples, bien qu'il se doit de choyer sa patrie. Le progressiste croit en une société plus juste, plus égalitaire, où la misère et la pauvreté ne sont plus une fatalité. Enfin, il applique la devise du parti "l'Union fait la force" en s'employant à mobiliser les forces communes et à se rassembler au service de l’intérêt commun.

Dans un second temps, nous avons édifié les grandes lignes de ce qui s’apparenterait à un programme électoral. Nous y prévoyons de grandes réformes sociales au profit des travailleurs, des réformes fiscales pour que les très riches participent à la solidarité nationale, des réformes révolutionnaires en matière d’Éducation Publique, des réformes visant à instaurer un régime plus démocratique et plus sain, des réformes pour rendre plus efficaces les administrations et des réformes visant à améliorer la qualité de vie des citoyens notamment en terme de santé.

Je viens donc devant vous avec ces travaux qui je l’espérè répondent à vos attentes, au quel cas nous les reconsidèrerons.

Merci à vous de faire vivre les idées qui nous unissent, vive le Parti Progressiste !"

la rumeur se faisait de plus en plus forte. On disait que le Secrétaire général perdais par 6 points le vote de confiance qui se déroulais lors du congrès. Vers 18h, le secrétaire se présenta au micro.




Mes chers amis,


Un bien triste nouvelle vient de m'être rapportée. Je suis un grand démocrate et je respecterai le vote populaire.

Ma famille et moi travaillons pour le progrès dans l'Empire depuis des siècles. À commencer par la défunte Union Nationale  ou le Parti Démocrate. Je fus moi-même chancelier.

Je comprends aujourd'hui que le PPE est une coalition de gens qui s'engagent à faire progresser les conditions de vie de notre Empire. Je comprends donc aussi que je ne représente pas adéquatement tous ces courants progressistes.

Par la présente je vous annonce que je remets ma démission du poste de Secrétaire-général du Parti Progressiste.

Une vague de tristesse emplit les progressistes qui soutenaient de Rougemont.
Après quelques secondes de flottement, ils se levèrent un par un et se mirent à l'applaudir afin de le remercier du travail qu'il avait fait en tant que secrétaire général du parti.

Peu après, De Courvoisier en sortant de la salle annonça devant les micros:

"Mon très fidèle ami Albert De Rougemont a rempli un grand travail à la tête du parti, mais le Congrès a témoigné d'une volonté de renouveau. J'annonce dors et déjà que je ne présenterai pas ma candidature au poste de Secrétaire Général du Parti."

À la sortie du congrès devant une poignée de militants


Pour que le parti soit résolument à gauche, nous annonçons notre Kandidature pour les primaires progressistes à venir.

Erwan Chaban-Delmas en discutant avec des amis leur fit savoir qu'il présenterait sa candidature afin de devenir le prochain secrétaire général du parti progressiste.

Un homme s'avança, boitant du pied gauche. Il s'agissait d'un homme longtemps absent de la scène politique edoranaise.



Benoît St-Onge avait subit un attentat, mais il avait survécu. Le tireur avait touché sa jambe et un poumon...il avait regarder longtemps la politique par le biais des journaux que les infirmières lui amenaient. Il avait vu le Parti Démocrate disparaître et la gauche renaître au sein du PPE. C'est à ce moment que l'ancien député de Lucéra avait décidé de reprendre du service.




Le progrès ne passera pas par la noblesse ou par la bourgeoisie, mais par le peuple. C'est pourquoi j'annonce ma candidature au poste de secrétaire général!

Le PPE doit être un outil de progrès social et cela passe par la mobilisation de tous les courants progressiste de l'Empire autant ceux de gauche que du centre.


Ces primaires ne pourront être représentatives seulement si une femme, représentant 50% de la population, se présente. En conséquence, j'annonce ma candidature.