Ukvos

Un homme entra dans le ministère et se présenta comme le président d'une république: Ukvos. Il demanda à être reçu par le ministre pour parler diplomatie.

Le Ministre de Fricard fut averti de la présence du Président d'Ukvos, et demanda que celui-ci fût conduit au Salon Vermeil, une des nombreuses pièces de la Chancellerie.

Le Prince entra d'un pas pressé et salua le chef d'Etat :

"Excellence Molotov, ravi de vous rencontrer. Je me présente : Charles-Alexandre de Fricard, Ministre des Affaires Etrangères. Soyez le bienvenue en notre grand Empire..."

Enchanté M. Fricard, je me nomme Nikolavski Molotov et je suis président de la République d'Ukvos. J'ai demandé à vous rencontrer pour pouvoir parler diplomatie. En effet, nous aimerions signé un traité de reciprocité avec votre pays. Est-ce possible ?

P.S. : forum d'ukvos : http://ukvos.kanak.fr

"Monsieur Molotov,

Je vais me permettre de vous dire ce que je pense en tant qu'homme, et pas en tant que ministre : je pense les idées de votre régime politique dangereuses pour la stabilité des Etats. Vous prônez des idées de communisme, d'égalité entre tous, d'Etat omniprésent... Nous ne partageons aucune de vos idées.

Maintenant, en tant que ministre, je pense que votre jeune république n'a rien à nous apporter sur aucun plan, et en conséquent, je refuse d'engager des négociations avec vous. Et sachez que tant que je serais responsable de la diplomatie edoranaise, je ne changerais pas d’avis.

Monsieur, je vous remercie tout de même d'avoir fait le déplacement jusque ici, et je vous pris de quitter notre territoire au plus vite."

Très bien, je vous remercie du temps que vous m'avez accordé même si votre refus d''ouverture me désole. Sachez toutefois que nous ne pronont pas l'état omniprésent du communisme d'antant et que nous somme démocratiques. Ukvos incarne plutot un socialisme renouvelé et équitable.

Je respecte toutefois votre décision et je m'en vais de ce pas.

Cordialement,

Nikolavski Molotov a écrit:Je respecte toutefois votre décision et je m'en vais de ce pas.

Et je vous en remercie.