Trafic d'armes aux frontières

par **Loïc-Alexandre de Fricard** 24/10/2011, 4:53 pm

Les forces de la résistance Palonaise contre l'oppression royale avait pu se réunir en dehors de Palogne, à Trieste, que le conseil national s'empressa de quitter après l'arrivée de Charles-Guillaume. L'échec institutionnel de Klausbursko enterriné, l'on préparait le renversement du roi Casimir par les armes. Ils représentaient toutes les tendances démocratiques du pays, des communistes aux libéraux. Il fallait chassé le tyran. Un mot d'ordre : le Pain, la Paix, la Démocratie. L'action armée étaient l'ultime recours.

Aux marches de Palogne, des armes cachés dans des convois de marchandise ou parachuté en avion, traversait chaque nuit la frontière, à la barbe des policiers, des gardes frontières et des militaires à mille lieu de douter se qui se tramait. Des caches se constituaient dans les campagnes. Loin d'anéantir l'esprit de résistance, l'action démocratique de Klausbursko l'avait galvanisé. La révolution aime les martyrs. Casimir lui en offrait.