Krach boursier à Confolens

À l'annonce de la mutinerie à Bordeleau, la bourse avait perdu 5%, Mais l'incertitude, et les rumeurs que le bourgmestre de l'UC allait se rallier à la cause des terroristes , on refait chuté la bourse de 30%.

Plusieurs entreprises convoquaient la presse pour annoncer des mises à pieds, pour redonner confiance aux investisseurs.

Les annalistes des institutions financières annonçaient dans leurs déclarations, que le gouvernement markiste n'allait pas intervenir dans l'économie par des annonces aux entreprises. Le gouvernement voulait surtout nationaliser.

Vers 14 heures, après 24 heures de panique, le gouverneur prit la décision. Les transactions de la bourse sont suspendu pour 48 heures.

Tôt ce matin, le centre financier de Chiron lisait les journaux. Tous voulaient savoir, comment allait la formation d'un nouveau gouvernement.

La nouvelle était la rumeur, que le formateur serait le prince saint-Junien. Ce fut alors la panique. Plusieurs courtiers courent vers lke téléphone, pour connaître l'opinion de leurs clients.

À l'ouverture de la bourse de Confolens, les courtiers annoncent, qu'ils vendent leurs actions. Malheureusement, personne ne voulaient acheter, et on voyait alors la valeur de revente des actions en chute.

Après 15 minutes, la bourse de Confolens avait déjà perdu 20% de sa valeur de la veille.

Le courtier de La société Le Senga - division edoranaise arrive et annonce son attention d'acheter des actions, mais il exigent un rabais de 10%.

Les courtiers acceptent. Ils avaient reçu l'ordre de tout vendre. La bourse continuait de voir sa valeur en chute. On était rendu à 30%.

C'est après 20 minutes de l'ouverture de la bourse, que 10 courtiers arrivent. Ils annoncent qu'ils rachètent tout avec un bonus de 45% de la valeur actuelle marchande. Plusieurs décident de vendre à ses inconnus. Même la société eslagnole décide de vendre. Elle sait qu'elle fait du profit.

après 30 minutes de négociation sur le plancher, le directeur de la bourse annonce la fermeture du marché, sur ordre du gouverneur.

Le courtier Gilbert Force appelle sa patronne.
- Madame, nous avons suivis votre recommandations Vous avez aujourd'hui le contrôle de 30% des actions en circulations en Chiron. On a même réussis à acheter 40% des parts de la Bourse de Confolens. Vous avez droit maintenant de siéger au conseil d'administration de la Bourse.

Depuis un mois des panflets étaient distribués dans les rues.

Tous attaquent l'Empereur. L'Empereur serait à leur yeux un anti démocratique. La colère grogne. La bourse est fermée encore. L'Empereur refuse de voir le duc d'Esse d'essayer de former un gouvnement.

La colère augmente. On raconte que l'empereur refuse de voir un ami des Fricard et chironais comme chancelier.

Les fermiers sont frustrés. Les commerçants achètent moins. La colère monte à Confolens. La colère est tellement fort, qu'un jeune de 19 ans à crier :
- MARCHONS VERS LA RÉUNIFICATION, EXIGEONS QUE NOTRE VOTE SOIT RESPECTÉ. TOUS AU PALAIS

La foule crie
- TOUS À ALLANCIA TOUS AU PALAIS, TOUS AVEC LA GROSSE BAGUETTE