Réunion royale

Rappel du premier message :

Le Palais de Krakov commençait à se préparer pour un sommet important des souverains vassaux.

Vous êtes des va-t-en-guerre, voilà tout. Nous comprenons parfaitement votre demande de soutien. La guerre n'a-t-elle pas trop duré? Il est temps que ce conflit cesse.

Qui plus est, nous tenons à rappeler que toute intervention pour aider les belligérants nous a été formellement interdite par l'Empire. Nous osons espérer que certains parmi vous n'oserait pas transgresser un pareil interdit.
De toute façon, quoi qu'il sera décidé ici, notre boulè devra le ratifier.

Cher cousin, il est question ici de sécurité nationale. Nous nous devons d'être ferme face aux menaces. Il est évident que nous soutiendrons moralement la Romania, il n'est pas question de participer à ce conflit, dont nous espérons tous la fin rapide par une victoire éclatante de la Romania et le rétablissement de la paix légitime.
Il est, dans certains cas, important de prendre soit même des décisions... s'empêtrer dans des discussions interminables au sein de ces prétendues institutions parlementaires, il suffit. Un état efficace est un état fort, qui sait se regrouper derrière un chef.
Mais trêve de discussions politiciennes et revenons aux choses sérieuses.
on frappa à la porte et un officier fit son entrée, s'approcha du monarque palonais et lui remis un pli.

Réunion des markistes - fichage terminé des principaux intervenants.

message à détruire

Comment organiser cette coordination?

Le souverain romanien était devenu silencieux depuis un long moment. Peut-être était-ce la sénilité, néanmoins le Ksar prit la parole.


Honorables parents,

Depuis plusieurs mois, la racaille rouge gangrène la Belgravie. Mon peuple s'est soulevé contre ce cancer dans une grande guerre nationale.

Cette guerre de position a que trop durée. Sous peu, nous lancerons une grande offensive et nous libérerons notre pays. 

Reste l'épineuse question de vos ressortissants qui ont prêté allégeance au markisme.

C'est ce que nous appelons la démocratie... le peuple donne son avis et nous le respectons.

Allons messieurs, il est temps de penser à donner une soluition claire et nette au problème de la sécurité.