Cérémonie d'anoblissement : Comte de Lachenaye

Toute la plus haute noblesse du Saint-Empire est présente. Malgrès ces temps dificile, les plus grandes maisons sont au palais de la réunification. La salle est bruyante, l'atmosphère est joyeuse, tous sont heureux de ces quelques instants de paix, alors qu'une guerre se prépare. L'Empereur, sur son trone, est l'objet de toutes les attentions. Tous attendent celui pour qui la soirée est organisé. Nicolas Burgond, ce soir, sera annoblit par l'Empereur lui-même. La cérémonie la plus importante de toute la société de l'Empire.

Soudain, on entend des pas dans le hell d'entrée. Le silence se fait rapidement. Un homme, tout de noir vêtu, se présente à la porte de la salle. Le Hérault crit:

Monsieur Nicolas Burgond, Général de l'armée de l'est, Ministre Imperial.

Le Général, dans son uniforme de comte d'Empire s'avance lentement. La foule qui l'entoure peu a peu peut voir le sourir fier qui se dessine sur son visage. Il a fier allure, et il le sait. Lui qui est issu d'une famille roturière qui a tant fait pour le service de l'Empire, il recoit enfin aujourd'hui la reconnaissance qui lui est du, à lui, et a toute sa famille. Il bombe le torse, au fur et a mesure qu'il avance, son visage se crispe, le poid du stress se fait sentir. Il sait que c'est un évènement, qu'il sera la fierté de la famille Burgond pour les décénies et les siècles à venir. Les illuminations de la salle du trone font refleter ses décorations militaires. Il est étincelant. Il salut, d'un geste rapide, presque imperceptible de la tête, les figure qu'il reconnait, surtout ceux qui l'ont aidé à en arriver là. Presque sans s'en rendre compte, profitant de chaque seconde, aspirant a fond chaque bouffé d'air, s'ennivrant du parfum des dames qui flotte, il arrive au centre de la salle du trone, ou l'Empereur s'est avancé lui aussi. Nicolas Burgond retire son haut de forme. La foule entour progrssivement els deux hommes. Il s'agenouille. Toujours aussi fièr, une lueur étincelante dans les yeux. Il baisse la tête, et ferme les yeux. Puis lentement, très lentement, pour profiter de chaque instant, il lève les bras, tout en joignant ses mains, et les porte au bassin de l'Empereur. Il n'y a plus un geste dans la salle, plus un bruit. Tout le monde attend, dans le plus grand respect, l'acte du souverain.

Nicolas Burgond fixe quelques instants l'Empereur sans rien dire. Ils semblent être une statue de granite, immortalisant un moment exeptionel. La pose est belle, digne des plus grande cérémonie. Le nouveau noble, à genoux devant son souverain, main dans les mains, lui semble tout dévoué. Puis il s'exclame, haut et fort, pour que nul dans l'assemblé n'en perde une syllabe:

Votre Majesté! Mon Empereur! Je jure devant tous ceux qui sont ici, tous ceux qui ont servit l'Empire avant moi, tous les immortels d'Edoran qui ont fait la gloire de l'Empire, de toujours vous servir, avec toute ma verve, toute mon audace, et tout mon courage! Toujours je vous serez fidèle, et vous suiverez, jusqu'à la mort s'il le faut, et jamais ne vous trahirez, puisse-je être bruler par la foudre si un jour je viens à rompre ce serment!

Les portes de la Grande Salle s'ouvrirent alors sur deux hommes, serviteurs du Palais, portant à bout de bras le blason de la nouvelle maison noble :

Le Grand Pontife s'avança pour bénir le nouveau comte.


Qu'Éther, par sa puissance, vous accorde la sagesse et la prospérité.


Mélétios lui lava le front et y apposa le baiser d'Éther.

Le Prince était amusé par l'attitude du Grand-Pontife...Chacun savait que Nicolas Burgond n'était pas véritablement Ethériste mais plutôt Sar...

/EL Arrê^tez moi si je me trompe, il me semble avoir lu qqchose nommant Burgond commandeur de la SARattitude en Edoran.

EL/ ^^ en effet, et c'est un bon moyen pour décocher une petite flèche à burgond EL/

Le tout nouveau Comte se relava, saluat l'Empereur. Il remercia les félicitations du Chancelier. Lorsque le grand pontiof s'approcha pour le bénir, il fit eu un léger mouvements de recul, puis finalement se redressa, laissa le Pontif opérer, puis une fois fait, lui adressa un petit sourir, ainsi qu'au chancelier, poour répondre au siens...

Les festivitées bataient leurs plein. Tout n'était que rire, luxe, bonne humeur. La boisson coulait a flot, et la nouriture était abondante. Toute la salle avait applaudit lors de la présentation des armoiries du Comte, puis la clameur de la fête avait reprit de plus belle. Les danses s'enchainaient au rythme de l'orchestre. Nicolas allait, de groupe en groupe, félicité de toute part, fier comme un coq en pâte. Les plus jolies filles à marier étaient présente, toute plus replendissante les unes que les autres, mais une attirait son regard. Elle paraissait bien jeune, bien plus jeune que lui en tout cas, peut-être dix ans de moins. Mais sa jeunesse qu'elle tentait naïvement de dissimuler derrière sa robe et ses parrures de dame, ne la rendait que plus attirante. Ses yeux bleu d'un clair profond ressoartait de ses cheveux noir de jaie, lui tombant en boucle sur les épaules. Le Comte de Lachenaye s'aprocha de la jeune demoiselle, quand le Prince de Freshville, fit irruption dans son champs de vision, lui barrant la route, un sourir amuser aux lèvres. Le Comte fut surprit, recula d'un pas. Il n'avait aps vu le prince s'aprocher, tellement ses yeux avaient été prit dans ceux de la belle inconue.

Et bien Prince? *Nicolas s'insclina légèrement en souriant et dit en riant* M'empecherait vous de passer plus avant? Serait-ce une autre de vos promise? Mais si vous conaissez cette charmante demoiselle, peutêtre pourriez vous me faire l'honneur de nous présenter...

Lucie-Marie qui était la parlais avec le monde de tout et s'amusait follement .
Elle était super belle dans sa merveilleuse robe