Rencontres

Philibert Carnavon commencera à rencontrer les acteurs de la société civile dès ce lundi.

Philibert avait rencontré des industriels, des savants, des membres de l'Académie. Il allait maintenant ouvrir les discussions avec les politiques. Malheureusement son ami Burgond était partit pour la Tchéquoslovénie. Il recevait à ce moment là Jean-Jacques Amelot de Chaillou, le député de l'UCE.

Les discussion avec Jean-Jacques Amelot de Chaillou s'était prolongée tard dans la nuit. Les deux hommes travailleraient ensemble.
Il restait à convaincre le Prince de Freshville de se ranger derrière AA et reprendre sa place légitime.

Philibert écrivit à Nicolas Burgond tant pour lui assurer le soutien d'Allancia dans la guerre que pour l'inviter à rejoindre ce gouvernement d'union nationale.

Dans la foulée Philibert contacta également le PTE et l'Eglise. Le vieux Meletios était toujours bien incapable de s'occuper de hautes affaires de l'Etat, mais pourquoi pas Maximos?

Philibert se montrait de plus en plus inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son ami le Prince de Freschville. L'inquiétude montait en lui. Pourvu que rien ne lui soit arrivé se disait il.

Philibert commençait sérieusement à réfléchir à la formation du cabinet.
Il espérait y voir entrer Nicolas Burgond et Maximos afin de voir l'ensemble des partis encore permis au gouvernement. Malheureusement, il ne pourrait espérer sur l'UNE...
Cet apres midi il recevrait M. de Villeurban de Chalent.

J'arrivai un peu avant 13h chez Philibert Carnavon. J'avais reçu une invitation à le rencontrer au plus vite. Comme représentant des colonies je fus ravi de voir que l'on ne nous oubliais pas.

La longue discussion entre les deux hommes avaient été plus que fructueuse puisque M. de Chalent acceptait de faire partie d'un gouvernement d'union nationale.
Les modalités seraient rediscutées mais tout semblait prêt pour une entente cordiale entre les deux hommes pour le bien d4edoran

*Nicolas recu la lettre de Philibert, et, près lavoir parcouru rapidement des yeux, prit quelques instants pour y répondre*

Mon cher Philibert,

J'ais bien recu ta lettre, avec un peu de retard, et pour cause, la situation du pays n'est pas la meilleurs. Ton soutient me va droit au coeur, et tes encouragement a mon armée remonte le moral de mes troupes. J'ais apris avec joie ta nomination au poste de chancelier, qui mieu que toi peut remettre le pays sur les rails, en sontentant tout le monde? Ton invitation à rejoinre ton gouvernement me remplis d'honneur, et l'estime que tu me porte - sois sur de sa réiprocité- m'ennorgeullit. Bien sur, si tu juge que je peut être nécéssaire à l'Empire à tes cotés, je suis ton homme! Je me rendrais à Allancia dès que possible, la remise en ordre de l'armée prenant plus de temps que prévu, je puis laisser mes généraux régler les questions logistiques pendant quelques jours si cela est nécéssaire.

Sois sur, mon ami, que mes sentiments pour toi sont toujours les meilleurs,

Nicolas

Philibert appris l'arrivée de Maximos alors qu'il finissait la lecture de la missive du Comte de Lachenaye. Philibert le choisirait pour mener à bien nos armées et la défense du pays.

Le gouverneur du Chiron demanda de faire entrer au plus vite le saint homme. Il était heureux de le voir répondre à sa demande.

L'homme, l'air grave, pénétra dans le salon où Philibert recevait ses invités. Il désirait mieux connaitre les sentiments tant de l'église que du PTE quant à l'actuelle situation et s'il accepterait de participer au redressement du pays.

Maximos, rigide, pénétra dans le salon et s'assit dans un fauteuil près du feu.


Il semblerait, excellence, que vous vouliez me rencontrer?

En effet. Vous le savez j'ai été chargé de former un gouvernement visant à ressouder notre bel empire derrière ses fondamentaux : l'Empereur, la patrie et évidemment notre religion. Je sais que je n'ai jamais fais montre de beaucoup de religiosité et de croyance mais néanmoins en bon Edoranais je ne puis délaisser ce pilier de notre Saint Empire. Aussi aimerais-je que si pas une entrée au gouvernement, que vous puissiez nous aidez vous et l'Eglise Etheriste à guider plus que jamais Edoran sur le chemin du redressement moral, spirituel et patriotique.
Je ne vous cacherai pas que je n'approuve pas tout ce qu'à entrepris le commandeur mais Edoran vaut plus que des querelles d'Idées.

Maximos demeura perplexe

Excellence, comme vous le savez sans doute, notre Église est constituée de congrégations. Il me sera très difficile d'iposer mes vues à toute l'Église. Je sais que beaucoup d'ecclésiastiques ne sauraient m'écouter.


Aussi, j'aimerais savoir plus en détails ce que vous attendez exactement de moi?