une chaude journée de mars

Le souverain avait choisi ce jour pour faire la tournée des bases militaires palonaises. Il s'était disputé avec son fils au sujet de la politique a mené a l'égard de la Moldavia. Le souverain estimait que si la Moldavia était une menace, il serait peut être impossible de lutter militairement contre elle. Son fils, lui, souhaitait utiliser la force au plus vite afin de mater la progression des forces gauchistes.

En compagnie du chef d'état major, la voiture s'avançait vers le camp à l'est de la capitale, Cɀestochowa.
Les deux hommes devisaient de la future politique militaire.

Une foule nombreuse se pressait au passage de la berline royale. Les habitants de la capitale étaient particulièrement fidèle à la royauté.

Son Altesse sortit du camp. La visite s'était bien passée. La voiture se dirigea vers le camp nord de la ville situé à une vingtaine de kilomètres du centre de la capitale.
Alors que la voiture avançait vers le Pont Stanislas Ier, un camion déboula de la gauche fauchant la voiture de police qui précédait l'automobile royale. Trois hommes en sortirent, tirant sur les gardes et la foule qui était aux alentours. L'un d'eux, un grand gaillard, lança une bombe au cri de "Mort au tyran, vive la révolution et la liberté".
Le souverain eut juste le temps de sortir de son véhicule lorsque la décharge se produisit, le blessant au bras droit mais tuant le chef d'état major et le chauffeur.
La police avait déjà répliqué quand un second véhicule arriva à grand renfort d'armes à feu. Une fusillade éclata, le souverain chercha à se mettre à l'abri mais les assaillants, découvrant qu'il était toujours vivant, se ruèrent dans sa direction, ne prêtant plus attention aux policiers qui en tuèrent deux. Le lanceur de bombe avait pu s'approcher du souverain en tuant un policier et quasiment à bout touchant il tira sur le souverain une balle dans la tête. Il n'eut pas le temps de savourer ce moment qu'une autre balle, celle, probablement d'un policier, vint le frapper à l'arrière du crâne.
...
le chaos régnait sur place. Personne ne savait plus trop que faire, les gens commençait à quitter leurs abris, la fusillade ayant cessé faute de terroristes. La rumeur commençait à se propager. Le roi avait été tué. Il n'était que blessé. Il avait pu s'échapper. Il avait lui même tué un agresseurs.
...
Une ambulance arriva rapidement sur place.