Devant la Diète

La Gendarmerie Impériale était venu avec un escadron monté renforcer le dispositif de sécurité de la Garde Impériale autour du Palais où siégeait l'Assemblée des Député, communément appelé la Diète.

Les discours des Empereurs avaient été prononcé, mais à l'extérieur s'était assez calme. Seulement des badauds espérant apercevoir les trois plus puissants hommes du Micromonde.

Soudain, une troupe d'hommes, à l'allure ouvrière, se pressa devant les cordon de sécurité...

Assassins ! Assassins ! Le peuple meurt en Transvalachie ! Les aristos et les généraux russlaves sont des assassins, des violeurs ! Criait le leader improviser de ce rassemblement, faisant visiblement référence aux pogroms du Généralissime russlave Pojarski.

Tous les mêmes Edoranais, Russlaves, tous des tyrans ! Attrapons-les ! Brûlons-les ! Mort aux Potentats !! Renchérit une lavandière qui s'était joint à la troupe.

Les Gendarmes et les Gardes ne savait que faire, les cordons allaient finir par céder tant le flot contestataire en direction du Palais était soutenu... Des renforts furent appeler et l'Empereur fut prévenu.

Déjà les cavaliers de la Gendarmerie braquèrent leur fusils sur les prolétaires en priant Éther de ne pas recevoir l'ordre de tirer...

C'est plus d'un milliers de prolétaires, de markistes, d'anarchistes, de laisser-pour-compte qui s'étaient amassé devant la Diète. Certains avaient tenté de se glisser entre les barrières... ils furent repoussé à coups de matraque et de sabot...

Des camelots de la place du marché arrivèrent avec des cachots d'invendus. Les Gendarmes et les Gardes reçurent une pluie intense d'œufs pourris accompagnés de fruits et légumes de saison un peu gâtés...

Déjà, les manifestants non-armés arrachaient les pavés de la place et s'apprêtaient à la jeter sur les soldats et le batiment. Des vitres volèrent en éclat !

Des régiments de la garde impériale avaient été appelé en renfort. Ils encerclaient maintenant la place devant la diète.


Le colonel Montmagny priut alors un portevoix...


Vous avez 10 minutes pour dégager de la place, sans quoi nous ouvrirons le feux....soyenz-en avertis....

Les manifestants mirent à profits les quelques minutes qui leur restait pour hurler :

ASSASSINS ! POURRIS ! MORT AUX VACHES !!

Mais déjà les rangs ouvriers et markistes se délitaient...

Lorsque le colonel Montmagny ordonna la mise en joug, les troublions fuirent dans toutes les directions.

Il ne restait qu'une odeur d'oeuf pourri sur la place...

Dans une ruelle non loin du Palais... un homme hirsute, d'origine visiblement slave, avait réuni autour de lui certains des meneurs de cette manifestation improvisée...
... la Capitale s'endormait ce soir dans une quiétude qui n'était qu'apparente et provisoire...

Le Duc de St-Maurice-les-martyr avait assisté à tout le spectacle, n'hésitant pas à dévisager et à conspuer les manisfestants...


De la racaille...des fins de race...le bas de l'échelle sociale. Soldats! Qu'attendez-vous pour tirer dans le tas?