Sur le chemin du retour...

par **Légation du Daearuil** 29/5/2011, 12:42 pm

Les quatres navires de l'escorte n'étaient plus qu'a quelques emcablures des eaux internationales. Il n'empêche que Berenerchamion était mal à l'aise. Pourtant le télégraphe était aussi limpide que de l'eau de roche, ordre était donné de revenir illico presto au pays. La situation geopolitique en Edoran était largement suffisante pour craindre quoi que ce soit. Il était évident que cela ne plaise pas au Consul, mais il ne serait pas étonnant non plus que cela ne plaise pas aussi à l'Empereur, malgré le fait que le diplomate tacha d'être le plus compréhensible. Quoi de plus naturel pour l'homme que de s'éloigné du danger ? Reflexe animal diront certains, mais l'homme n'est rien de plus qu'un animal qui a juste un cerveau dévellopé.

La corvette CBD-Beren, et les trois frégates semblait naviguer en eaux troubles, même si le diplomate avait ordonné que, comme prévue, les espions soient "lachés en pleine nature", il ne saurait pas avant quelques temps si les réactions du au départ précipités seront positives, ou pas. Les marins de garde à la queue des navires, confirmèrent qu'aucun navire semblaient les suivre. Mais il y avait de forte chances que l'on suivent leurs routes depuis la côte. Les eaux bordant la zone "terra nullus" atteintes, l'on se permit de souffler un peu, dans moins d'une heure les eaux belondaures seraient atteintes, et d'ici un à deux jours, le Daearuil serait en vue. Malgré tout, Berenerchamion craignait que cela ne se complique. Il avait entendu le discours des trois monarques, et s'accordait à redouter que ces derniers, pris de folie des grandeurs, n'entament quelques actions préjudiciables à l'Archipel.

par **Philibert Carnavon** 29/5/2011, 1:11 pm

Les membres du SEE étaient arrivés trop tard le navire de la délégation avait déjà quitté le port de Lucera. Le chef de groupe ordonna que le port soit fouillé afin de s'assurer qu'aucun membre n'était rester en Edoran.
- N'empêche chef, fallait oser s'adresser comme ça à Sa Majesté Impériale.
- A qui le dites-vous. J'aurais aimer mettre la main sur un de ses zigomars, histoire de lui faire comprendre les bonnes manières.
- Mais chef vous ne l'auriez tout de même pas frapper.
- Casreuil, je vous l'ai déjà dit : l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois. Je ne l'aurais pas frapper, j'aurais fais rentrer la courtoisie et la bienséance de manière directe, voilà tout.
Les autres policiers arrivèrent :
- Rien en vue chef !
- Bien, nous rentrons. Mais ouvrez moi un dossier complet sur ces gens-là. Je veux tout savoir. Il ne s'agira plus de se laisser enfumer par on ne sait quel diplomate d'une nation primitive.
Tous rirent de bon coeur mais ils cessèrent aussitôt en voyant le chef les dévisager.

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