Palais Corvin

Le Palais Corvin est le siège de l'État-major de l'Armée du Saint-Empire. Il se situe à Allancia, rue de Freshville, non loin du Ministère de la Guerre.

On y trouve :
- Les services et bureaux du Feld-Maréchal du Saint-Empire
- L'État-major de l'Armée de Terre Impériale (services et bureaux du Maréchal d'Edoran)
- L'État-major de la Marine Impériale (services et bureaux de l'Amiral d'Empire)
- L'État-major de l'Aviation Impériale (services et bureaux du Maréchal de l'Air)
- L'État-major de la Gendarmerie Impériale (services et bureaux du Major-Général)
- Des services communs (renseignement militaire, santé aux armées, aumônerie militaires, ...)

Seul l'Etat-major de la Garde Impériale ne siège pas au Palais Corvin. Il siège en effet au Quartier Général de la Garde en face du Palais de la Réunification.

Par décision du Feld-Maréchal du Saint-Empire :

- Le Contre-Amiral Gustave Tardieu, Administrateur militaire de la Terre du Roi Henri, est promu aux grade et rang de Vice-Amiral.

- Le Capitaine de Corvette Augustin d'Aboville, aide-de-camp du Feld-Maréchal du Saint-Empire, est promu aux grade et rang de Capitaine de Frégate.


Le 7 septembre 1921, à Allancia.

Le Palais Corvin était en effervescence... la Direction du Renseignement Militaire venait de faire remonter plusieurs informations concordantes de Transvalachie... L'Armée Impériale Russlave était en marche. Encore disloquée et peu armée, mais les espions de la DRM notaient tous une ferme volonté de la part du Tsar de reconstituer une grande armée et de la placé aux portes de la Transvalachie palono-édoranaise et donc aux portes du Saint-Empire !

Certes l'Armée russlave n'arriverai probablement jamais à atteindre ni les effectifs ni la puissance de l'Armée du Saint-Empire, mais les États-majors ne se cachaient plus pour en douter...

Qu'importait si Sa Majesté Charles III soutienne ou désavoue son vassal Casimir III, il devenait urgent de proclamer la mobilisation de l'Armée du Saint-Empire. Peut-être même que les milices provinciales devrait être réquisitionnée.

La IVe armée est en marche vers la Transvachie.

Les Ie, IIIe et IXe armées sont en marche vers la Moldavia.

Les IIe et IIIe flottes prennent position dans le Golf de Bordeleau. Les croiseurs, les destroyers et les navires de transport et de débarquement sont accompagné des 3e, 4e, 5e et 6e régiments de fusiliers marins, et des 3e, 4e, 5e et 6e divisions du Corps Expéditionnaire Impérial.

Il est demandé aux gouverneurs de Chiron, de Fransie et de Bonne-Espérance de mobiliser leurs milices provinciales.

Il est demandé à Leurs Altesses Royales les vassaux de l'Empereur de mobiliser leurs armées.

Nous remercions Son Altesse Royale Fernando-Luis II pour son geste. Les 4 divisions eslagnoles sont les bienvenues. Elles seront placée sous les ordres du Commandant en chef des troupes en Moldavia, le Général Dutronc-Pombal.

bravo aux membres de cette expédition

Le duc d'Esse arrive avec une délégation d'officiers.

- Nous souhaitons rencontrer d'urgence le Feld-maréchal.

Le Duc prit la parole.

- Nous avons toujours travailler et défendu l'Empire. Nous avons laissé ici, au pays, nos femmes et nos enfants, pour l'Empire et pour l'Empereur. Nous avons accepté la mission, qui avance très bien. La Moldavia sera un pays souverain, qui aura les capacité de se défendre. Par contre, cela nous choque, que l'Empire nos trahit. Le démantèlement des forces armées de Chiron et de Fransie est inacceptable. Notre père a travaillé fort fort dans la modernisation de l'Armée en Chiron. Il a offert aux hommes, leur premier porte-avion. Et ses projets étaient financés par les gouverneurs. Nous vous demandons de revoir votre projet, Monsieur.

Monsieur, nous vous donnons nos lettres de démission. Nous comme tous les officiers présents, sommes déçu de votre approche.

Nous, et comme les officiers, présent, nous quittons avec tristesse, mais votre stratégie n'est pas celle que les hommes veulent et souhaitent. Nous souhaitons le respect de notre identité et de notre culture. Désolé, mais dans l'état actuelle, nous nous ne sentons pas le bienvenu.

Vous préférez votre identité de chironnais à celle d'édoranais, vous préférez servir votre province plutôt que le Saint-Empire ? C'est une honte !

Monsieur, vous ne pouvez pas comprendre. Un jour peut-être, vous allez comprendre

Monsieur le Duc, nous refusons votre démission tant que votre mission en Moldavia n'est pas fini.

Monsieur, la mission est presque accomplis, les officiers, qui y sont, peuvent finir facilement le travail. Nous vous demandons de revoir votre décision sur nos démissions, alors.

Vous resterez en poste jusqu'à la signature des Accords de Transvalachie.

- D'accord, Monsieur. VIVE ETHER, VIVE L'EMPIRE, VIVE CHIRON

excellence, je vous attendais. Il est important, selon nous, de discuter de plusieurs points militaires... à commencer par la situation en Transvalachie.


Le pouvoir du tsar s'est effondré, mais nos troupes sont depuis trop longtemps dans un pays qui n'est pas le leur.


Pouvons-nous évacuer la Transvalachie sans nuire à la sécurité de la Moldavia?

Votre Majesté, je suis un grand partisans du retour des troupes chez elles. Un accord était en négociation avec les autorités russlaves et prévoyait le retrait des troupes réciproques et une rétrocession de la Transvalachie par la Palogne. Or, l'anarchie s'est de nouveau emparé de la Russlavie... la signature du traité a donc été repoussé et le retrait des troupes russlaves n'est pas effectif...

Ainsi, si nous déclarons la démobilisation en Transvalachie, nous ne sommes pas à l'abri d'un envahissement de celle-ci par les troupes russlaves et donc d'une menace sur la Moldavia...

Nous ferons selon vos ordres.