Session de Recherche

L'Armée du Saint-Empire est désireuse d'augmenter la portée de ses canons afin, entre autre, d'atteindre les couches supérieures de l'atmosphère et d'étudier ainsi le comportement des obus.

Dans ce but, le Centre de Recherche et d'Essais Militaire de la Terre du Roi Henri invite les entreprises et les universités s'interessant aux questions de physique atmosphèrique et de propulsion, à participer à une grande session de recherche sur la base Charles III.

La Société Édoranaise de Télécommunication et la Société d'Armement Sabrevoix Burgond participerons à la Session de Recherche

La compagnie Carnavon fera de même.

Le Département d'Astrophysique de la Faculté des Sciences Naturelles et Physiques de Confolens sera présent à travers le Professeur Hubert Charpaque et son équipe.

Des climatologues de l'IEGM seront présents.

Le navire océanographique MIE Portneuf partira dès ce soir de Lucéra pour arriver demain matin à la Nouvelle-Allancia.

Vous serez ensuite acheminé jusqu'à la base Charles III par le TransMicrarctique.

L'ensemble des industriels, militaires et universitaires était arrivé sur la base Charles III, après des heures d'une traversée surprenante de ce continent de glace.

C'est le Colonel Zacharie Josserand, directeur du centre, qui reçu les participants.


Messieurs,

J'espère que vous avez tous fait bon voyage ! Laissez-moi préciser la raison de votre présence ici.

Nous avons décidé de réunir pour un gros travail commun de recherche, des industriels et des universitaires, dans un but de mettre au point un projectile et son lance-projectile pouvant atteindre les hautes couches de l'atmosphère. Et ce, afin d'augmenter la portée de notre artillerie, d'étudier ces couches et même, si nous arrivons à sortir de l'atmosphère, étudier l'espace...

Passons tout de suite aux travaux, et en particulier, la propulsion.

Est-ce que parmi vous, une entreprise ou un laboratoire aurait mis au jour un moyen de propulsion novateur ?

Le représentant de la SET :

La direction Recherche et Développement de la Société Edoranaise de Télécommunication a théorisé la possibilité de retransmettre des ondes radios par delà la courbure de notre Micromonde grâce à des relais au confins de notre atmosphère.

La SET travaille à la fabrication de ces relais.

Nous souhaitons profiter de cette session pour savoir s'il serai possible d'envoyer ces relais autour de notre micromonde !

La Société d'Armement Sabrevoix Burgond est théoriquement capable de fabriquer des canons de calibre encore non atteint.

Si l'armée nous autorise nous pourrions mener des essaies de propulsion hors de l'atmosphère. Nous tenterons d'utilisé l'édoranium comme source d'auto-propulsion, ce qui n'as jamais été tenté en Edoran, même avec d'autres "carburant".

Pour la poussé initiale, il nous manque un explosif puissant...

nous avons peut être une solution à vous présenter. Il y a peu nous avons découvert un nouveau métal alcalin dans les terres du roi Henri. Ce métal que nous avons appelé Carnavonium permet par un procédé chimique d'obtenir un sel de Carnavonium. Utilisé dans la poudre à canon il décuple la puissance de celle-ci.

Le Colonel Zacharie Josserand, directeur du centre :

Nous allons organiser une série d'essai qui débutera dans 3 jours.

Le représentant de la Compagnie Carnavon approuva cette idée.
-Cela nous parait judicieux.

Nous accueillons pour cette série de test, le Professeur Bremsstranung, chimiste à l'Université Impériale de Confolens.

Il va nous aider à doser le mélange entre la poudre classique et le chlorure de carnavonium.

Nous apprenons également que le prototype UX-01 de la Société d'Armement Sabrevoix Burgond est opérationnel pour les tests.

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Parfait !! cela nous semble en excellente voie. Edoran sera à la pointe.

Je suis honoré que l'on ai pensé à moi pour ce travail.
Après quelle que recherches je fini par déterminer que le mélange le plus stable était un mélange équimolaire entre le sel de carnavonium et la poudre classique, surtout si le mélange est effectué à une température bien précise que je ne divulguerais pas.

Je pense avoir fait suffisamment de poudre pour 3, 4 essais si nécessaire. De plus je me penche sur la question de la production industriel de la poudre.

et je souhaiterai rencontrai le directeur de la Société d'Armement Sabrevoix Burgond car je pense que certaines de mes recherches sur la corrosion des aciers l’intéresserons surtout si vous voulez envoyé une sonde étudier les différentes couches atmosphérique (on ne sais pas quelles surprises nous réservent ces couches)

Le représentant de la Carnavon Cie était très satisfait par ce qu'il entendait.