Opération Tsunami

Général, nous avons parfaitement compris et nous allons faire de cette opération un succès !

Les destroyers MIE Deschambault et MIE Ville de Portneuf, les frégates MIE Carlon, MIE Evandre, MIE Edoron et MIE Meune, ainsi que le navire de transport MIE Goéland, seront nécessaire au déplacement de 5000 cavaliers et montures.

Nous seront prêt à appareiller à votre ordre.

Préparez vos hommes, nous partirons mercredi.

A vos ordres !

C'était le jour de l'embarquement et donc du début de l'opération Tsunami.

Les troupes du Corps d'Armée de Cavalerie défilent dans Léry en direction du port militaire, le Général de Lancret en tête de cortège.

Le général Lancret était fier comme un pan, heureux de voir ses troupes se déplacer.  Le général de Beaumont l'accompagnait.




Général, vous avez le commandement. Je dirigerai personnellement l'opération Tsunami. Vous avez toute la latitude nécessaire.

Beaumont: Bien, général.


Alors qu'hommes et bêtes entraient dans les convois, le général Lancret se présenta au contre-amiral.




Alors, contre-amiral. Êtes-vous prêts pour le déplacement?

Nous sommes prêt Général. Nous partirons à votre ordre dès que l'ensemble de la troupes sera embarquée.

Bien, nous monterons à bord du croiseur.


Bien, nous partons.


Le général monta à bord, attendant que ses troupes aient toutes embarquées. Puis, l'escadre prit le large en direction de Quetzagonie.


Le général Lancret se dirigea alors vers la cabie du contre-amiral. Il cogna à la porte.

Après discussion avec le contre-amiral, le général retourna dans sa cabine pour lire les glorieuses mémoire du général Bellevail.

Les heures passèrent et l'on vint cogner à sa porte. La Quetzagonie était en vue!


Le général décida de monter sur le pont et de voir cette terre inhospitalière qui serait son terrain de jeu pour les prochaines semaines.


Les experts militaires s'affairaient à trouver le meilleur lieu pour débarquer les troupes.

Le Contre-Amiral rejoint le Général accoudé au bastingage du MIE Deschambault.

- Général, les frégates et le navire de transport pourront débarqué au plus prêt de la côte. Les troupes embarqué dans les destroyers utiliseront les chalands de débarquement. Nous avons repéré une plage propice.
Lorsque vous serez entièrement débarqué nous lèverons l'ancre en direction de San Sebastian, sauf contre ordre de votre part.

Prenons le thé, monsieur, ensuite vous avez odre d'effectuer ce débarquement. 


J'espère trouver des sauvages sur ces terres.

Général, les Algomacs sont certainement un peuple intéressant. Il y a eu des missions éthéristes par le passé. Les édoranais furent toujours bien accueilli. C'est autre chose que les Azcas, à ce qu'on raconte !

Les premiers cavaliers mirent pied et établirent un périmètre de sécurité autour de la zone de débarquement. Des tentes furent installées, ce soir les cavaliers edoranais passeraient leur première nuis en Quetzagonie.

Dans le noir, les cavaliers étaient observés de loin par des ombres bien dissimulées...

Le général décida de marcher vers le sud. Il laissa cependant 400 cavaliers sur le site du débarquement avec ordre pour eux de construire une fortification solide. Les plans allaient être les suivants.





Le grouve de cavaliers se mirent en route vers le sud, direction San Sébastian.

la nuit, alors que le campement était plongé dans le calme des chaudes soirées de Quetzagonie, on entendait parfois des bruits étranges dans les fourrés.

Les grandes plaines du nord de Quetzagonie offraient un terrain propice pour le déploiement de la cavalerie edoranaise. Le groupe avançait rapidement, tout en voyant au loin les montagnes azcas.


Soudain, le groupe se retrouva à l'embouchure d'un fleuve peu profond facilement traversable. L'endroit semblait idéal pour construire un autre fort.
 

là encore le général laissa 400 cavaliers.

pendant la nuit, quelque chose s'approcha de deux cavaliers qui montaient la garde à quelques centaines de mètres du camp Discrètement, la chose s'approcha. Elle n'était plus qu'à quelques mètres des deux hommes.
Soudain, elle s'élança et en attrapa un entre ses puissantes machoires, lui arrachant une jambe. L'autre tenta d'attraper son arme et de viser la bête dans le noir mais l'animal fit un volte face et percuta le deuxième homme et lui arracha un bras.
Trois autres animaux, plus petits s'approchèrent et se jetèrent sur les deux malheureux hommes. Ils n'en resta plus grand chose rapidement.

les recherches n'avaient rien donné. Qu'est-ce qui avait bien pu mettre dans un tel état deux valeureux soldats. Certains avaient pris peur. Les bruits de ces morts brutales étaient arrivés jusqu'en Edoran dans les oreilles d'un certain professeur.

le professeur Lamerre avait entendu effectivement parlé des événements de Quetzagonie et avait proposé son aide aux soldats pour découvrir ce qui avait pu se passer.

À Miravet, un petit fortin avait été installé et quelques maisons avaient été construites près du port...