La oficina militar conjunta

C'est dans un étage complet du ministère, que les bureaux de stratégie conjoint furent placés.

Les bureaux ont été partagé entre le Royaume d'Alémanie, la Principauté de Tchécoslovénie, du Royaume de Palogne et du Saint-Empire de Edoran.

Les cartes étaient sur la table. Tous étaient d'accord, la Moldavia devrait aussi rentrer dans le conflit. Avec l'ouverture d'un troisième front, la Sinà ne pourrait pas contenir longtemps les attaques.

Actuellement, les villages se rendent facilement, ce sont les petites villes, qui résistent le plus.

El Rey venait lui même assisté aux réunions de la oficina. En sa qualité de Feld-maréchal, il ne voulait pas laisser à un autre cette prérogative.

Carlos Thomas y Nico, duque de Tubí, capitán general de Zaramanca,
les forces d'Alémanie sont sur votre autorité. Ce sont 1 500 soldats d'élite et un détachement d'artillerie composé de 120 hommes; de 11 pièces légères et 5 pièces lourdes, qui devront défendre la capitale.

Carlos Thomas y Nico, duque de Tubí, capitán general de Zaramanca, qui participe aux rencontres.

- El Rey, et messieurs. Nous proposons la vaccination immédiate de tous les hommes. Nous allons utiliser dans la bataille de Verdà, l'ultime arme. Le beau-frère de Su Majestad nous a envoyé 200 000 flacons de vaccin de sa compagnie pharmaceutique.

Les généraux étaient surpris. Lorsqu'ils virent le nom de l'arme, ils étaient surpris. Le représentant du Feld-Maréchal du Saint-Empire fit un commentaire.

- S'il faut, nous sommes d'accord. Il faudra laisser 24 heures, le temps de vacciner tous. Nos homme sont déjà vacciné, conformément aux règles de procédure Dutronc-Pombal. (Depuis la guerre moldavienne, une règle de procédure obligeait tous les soldats d'avoir une vaccination, même en temps de paix)

Vladimir Volga, nonce albertin extraordinaire, arrive dans les locaux. Il est rare de voir un membre du clergé dans l'enceinte du ministère.

- Bonjour, messieurs. Je suis ici, de manière clandestine, et mes mots n'auront jamais été prononcé. Au nom de Sa Béatitude, je vous félicite pour votre victoire. Sa Béatitude est heureuse que les forces de la Fédération furent unis pour une cause juste. La Paix Universelle. Il est déçu par contre, que Sinà soit une République. Officiellement, il ne condamnera pas cette action, même s'il désapprouve.

Le Bureau est toute en agitation.
On voit les généraux qui se réunissent dans tous les grandes salles.

Les aides de camp sont envoyé au ministère et au Palais. Les journaux sont silencieux. Les journalistes ont ordre de ne pas dévoiler cette agitation.

On raconte que le gouvernement va bientôt appeler à la mobilisation générale de l'armée. Pour le moment, le niveau d'alerte est au maximum.

La guerre arrive ......

La GUERRA est déclarée.

Tous les officiers éetait devant leurs écrans. Les téléphones sont tous pour informer les hauts-officiers de la guerre.

Le gouvernement des Eslagnes a été transféré conformément au protocole.

L'information préliminaire indiqué, que 30% du territoire de la Belgarvie était sous le contrôle eslagnol déjà.

La guerrre, qui avait conduit à la chute du grand-duché, et la guerre civile avaient diminué les forces de défense et l'humeur combatif de la population.

Un officier remet un message.

- On arrête les bombardements. Les troupes doivent revenir au pays, immédiatement.

Tout le monde reprit les téléphones pour informer les soldats de la décision.

Le jeune Feld-maréchal rentre dans la pièce. Tous les militaires rendent le respect, par le salut militaire.

Tous se rendent et portent allégeance, à leur nouveau souverain.

- Messieurs, merci de vos vœux. Vous êtes l’essence de notre Nación. Je vous promets mon affection éternel. Je vous promets que nous serons fort et noble. La Pax Allancium sera aussi, ici. Je serais de la Pax.