Rassemblement et manifestation contre le terrorisme

Une manifestation est organisée par l'association du PEE de la province d'Allancia.

Des milliers de personnes descendent la rue, en criant :

  NON AU TERRORISME NON AUX MARKISTES NON AU TERRORISME MARKISTE

La foule se réunit devant le Palais de la Réunification. Les forces de l'ordre ne confirme pas pour le moment, mais c'est plus de 300 000 militants, qui manifestent dans les rues de la capitale.

Une scène s'installe pour les discours des orgsnisteurs. Marc Turcotte sera un des participants, celui qui fut président de la diète.

parmi la foule on distinguait des membres du PI qui ne souhaitaient pas se mettre en avant, n'ayant pas organisé cette manifestation et ne souhaitant pas faire croire qu'ils tentaient de récupérer la manifestation

on remarquait notamment beaucoup d'écuyers du Saint-Empire.

Marc Turcotte monte sur la scène

- Mes amies et Mes amis. Aujourd'hui, la terre a tremblé, mais à Bordeleau. Des rebelles MARKISTES, des TERRORISTES MARKISTES menacent de bombarder la ville, si les citoyens ne rejoignent pas le mouvement. Ses MARKISTES font la révolte, car ils ont une mission divine, selon eux. Ils doivent libérer le gouvernement MARKISTE d'Allancia, de la tyrannie.

- Le gouvernement fait quoi ? Rien, normal, ils sont frères dans la cause. Le gouvernement veut prendre ses distances de ce mouvement commandité, car ils risquent d'avoir du sang entre leurs mains. DU SANG D'INNOCENT. Il faut en finir avec les ennemis de la Nation.

- Mes amies et mes amis. Des innocents vont mourir pour l'Empereur. Nous sommes ici, car nous souhaitons son intervention. Les citoyens de Bordeleau sont aussi ses sujets, sont aussi edoranais. Il doit prendre la parole. Nous sommes prêt, s'il faut à défoncer ses grilles, pour le libérer des MARKISTES, qui le tien lui et sa famille, prisonnier. Le gouvernement markiste de Lameth interdit à Sa Majesté d'intervenir dans le débat publique.

- Le groupe Edoran Unis est la solution. Soyons ensemble pour Sa Majesté. Libérons-nous de nos chênes et ceux de l'Empereur.

Certains manifestants commençaient â la fin du discours à monter sur le grillage. D'autres manifestants attachaient des cordes aux portes de grillage de l'enceinte du palais. Le groupe voulait tirer sur la corde et faire tombé la porte.

les membres du Parti Impérial n'approuvaient pas ce discours. Le PTE est devenu fou. Ils vont s'attaquer au Palais de la réunification.

La police décida d'intervenir. Elle était présente en nombre.
- Attention, veuillez évacuer les lieux au plus vite. Nous vous demandons d'évacuer les lieux. Faute de quoi nous interviendrons

Les manifestants scandaient :

LIBÉREZ L'EMPEREUR
LIBÉREZ L'EMPEREUR
LIBÉREZ L'EMPEREUR
VIVE L'EMPEREUR

La Gendarmerie Impériale intervient également aux côtés de la police. Les gendarmes arrachèrent les manifestants accrochés aux grilles du Palais. Le Maréchal du Palais, chef de la Garde Impériale, dépêcha en plus le Bataillon d'Intervention du Palais, une unité de la Garde rarement déployée... elle n'intervenait qu'en cas de risque d'intrusion massive dans l'enceinte du Palais de la Réunification.

Les manifestants demandaient toujours, qu'on libère Sa Majesté. Pour ses manifestants, le chef de l'État était emprisonné.

Un manifestant s'approche et demande à parler avec le Maréchal du Palais.

- Monsieur, ses manifestants veulent voir et entendre Sa Majesté. Il doit faire une déclaration pour calmer la foule. Il est le seul, qui a de pouvoir. Je ne crois pas que vous souhaitez avoir la mort des manifestants loyalistes sur votre conscience.

Fait exceptionnel et malgré les mises en garde de la sécurité, le l'Empereur paru dans la cours du Palais de la réunification.

Comme vous pouvez le constater nous allons pour le mieux. Nous vous demandons de rentrer chez vous. Votre action devient à la limite de la sédition. Nous ne souhaitons pas voir couler le sang. Nous savons que vous nous écouterez. Si tel ne devait pas être le cas, la police et la gendarmerie de notre gouvernement sauront vous faire entendre raison. N'obligez pas le ministre de l'intérieur à vous faire partir.

Les manifestants déposèrent les armes et rentrèrent chez eux. Ils étaient déçu. L'Empereur ne fit aucune déclaration. Ils étaient là, pour lui, et il a même pas remercié d'être présent.