Intervention de la Police Impréiale

Les escouades d’intervention arrivent dans les différentes hôtels de ville. Elles viennent faire appliquer la loi.

Malheureusement les républicains avaient été informé par les quelques francs-charpentiers présents dans les forces de l'ordre et auprès du gouverneur d'Allancia. Dans les différentes villes, des barricades étaient placées autour du centre de la ville. Les boutiques d'arme de la ville étaient dévalisées. Les forces rebelles avaient les armes pour répondre.

Le chef de chaque section a refusé d'intervenir. Ils n'avaient qu'une vingtaine d'homme contre une centaine, si ce n'est pas plus.

Dans Allancia, la situation était pire. La gouverneure refusait de permettre l'intervention proprement parler.

Des escadrons de cavalerie de la Gendarmerie arrivèrent en renfort.

A Valmont, les insurgés étaient vraiment nombreux... la police était incapable d'approcher l'Hôtel de Ville.

Le Commandant de l'escadron pris un porte-voix :

- Ici les forces de Police Impériale et de Gendarmerie Impériale. Je suis le commandant Polignac et je m'adresse à l'honorable bourgmestre de Valmont. Vous avez commis une infraction à la loi sur la fierté édoranaise et vous vous rendez complice de troubles à l'ordre public. Nous vous sommons de retirer tout drapeau non autorisé et de hisser le Drapeau Impérial. Aussi, nous vous demandons d'appeler à la dispersion de la foule et à la levée des barricades. Faute de quoi, j'ordonnerai l'assaut et votre arrestation, entre autre.

Les bourgmestres refusent tous de se soumettre. Les habitants, derrières les barricades étaient prêts à répondre aux feux de leurs fusils et canons. Les locaux de Petro-Esse sont dévalisés. Les émeutiers veulent volé l'essence, pour l'utiliser contre les gendarmes.

Grâce aux radio locales, plusieurs villes sont informées du drame. Plusieurs villes de sympathies franc-charpentiers se décident de se soulever, se reconnaissant dans le drapeau.

Dans le grand-duché d'Allancia, c'était maintenant la ville de Manseau, qui hisse le drapeau.

Dans Chiron, c'est Chabanais et Saint-Maurice des Lions.

Grâce à l'appui des francs-charpentiers, des groupes républicains prenaient l'assaut des hôtels de ville. Des groupes du salut public étaient instauré pour prendre la nouvelle direction de la ville, pendant que le bourgmestre et les élus étaient emprisonnés.

Maintenant le ministère de l'intérieur recevait une nouvelle liste d'ajout:
En Fransie
Portneuf, St-Charles, Duvallon, Lachenaye

En Chiron
Belcourt, Lachaise, Albanel, Normandeau, Pont-Rouge

Bréboeuf était devenu le quartier général de la révole.
Plusieurs francs-charpentiers, membre de l'UC était dans les rangs.

Ils reçoivent de télégramme, qui annonce la libéralisation de plusieurs villes à l'autorité du tyran Philippe.

Le nouveau télégramme arrive sur le bureau du Sofiet.

En Chiron
Port-Chiron, Bordeleau,

En Fransie
Rougemont

En Allancia
Allancia-Est

À Bréboeuf on se félicite d'avoir été les premiers. Un télégramme annonce que :

Grand-Duché d'Allancia
St-Ange, Chateauneuf, Manseau

Le bourgmestre de Bréboeuf prit la parole
-Bientôt la moitié des communes d'Allancia seront libre. Bientôt nous marcherons vers le Palais. Nous allons baptiser le Palais de la Liberté.

Un télégramme arrive du bureau du PRE à Lucéra

En fransie
Bourgchemin, Vimont, Bourget

A Valmont, la situation avait passablement dégénérée. Tout le centre-ville était aux mains des insurgés, aux ordres du Bourgmestre. Les membres de la police municipale fidèle à l'Empereur ont été mis aux arrêts dans les geôles du poste de police. Et des nouvelles forces ont été constitué en une Brigade Républicaine comptant 120 hommes !

La Police et la Gendarmerie avait été repoussée dans les faubourgs de Valmont. Les barricade était devenues de véritable mur...

Une usine désaffecté en périphérie de la ville servait de quartier général aux forces de l'ordre loyaliste.

Valmont était aussi le siège de la 13e Division d'Infanterie Motorisée. Le Major-Général de la Gendarmerie avait maintenant autorité pour impliqué l'Armée de Terre dans le maintien de l'ordre. Ainsi, une opération d'envergure exceptionnelle était en train de ce mettre en place...

Commandant Polignac, chef d'escadron de cavalerie de la Gendarmerie, chef des opérations à Valmont : Messieurs, lançons l'opération !

[i]Des groupes de tireur de la 13e DIM apparurent sur les toits des plus grands bâtiment autour de la ville et, dans le même instant, aux quatre point cardinaux de la ville, des blindés des unités du génie de la 13e DIM percèrent les barricades grâce à leurs lames. Les insurgés répliquèrent en tirant partout : sur les blindés, sur les toits... Mais derrière les blindés, par les 4 ouvertures faites dans l'enceinte républicaine de la ville, c'est une véritable charge de cavalerie qui opéra. Les gendarmes montés tirée sur les insurgés et progressèrent aussitôt vers le centre névralgique de la rébellion valmontaise : L'Hôtel de Ville. Certains cavaliers avaient des porte-voix et exhortèrent les républicains à se rendre. Très peu le firent et se répondirent par des tirs ou des jets de grenades artisanales. Derrière la cavalerie, c'est une dizaine de camion de transport de la gendarmerie qui foncèrent vers l'Hôtel de Ville.

La ville fut rapidement pacifiée par les tirs conjoint des gendarmes et des fantassins et une centaine d'homme se rendirent finalement. Mais tant que l'Hôtel de Ville n'était pas investi, la rébellion durerait à Valmont. Les pourtours avait été nettoyés, c'est un véritable siège qui s'organisa. On négocia avec le bourgmestre, mais celui-ci ne quitterait visiblement pas sa mairie. Autour du leader républicain, 30 gardes et une dizaine de conseillers municipaux républicains. On entendait par les fenêtres des chants anti-monarchistes, des odes à la République...

Des tireurs de la 13e DIM était répartis tout autour du bâtiment dans des immeubles d'habitation et visés la mairie... Toutes les fenêtres avaient un fusils braqué dessus.
En bas, une unité de la FIPI d'Allancia s'organisée. Cette force d'élite de la Police, spécialisée dans les prises d'otages, mènerait l'assaut. L'unité en présence était constitué de 50 hommes.

C'est une porte dérobée de l'Hotel de Ville qu'on fit sauter tout d'abord et c'est par là que les premiers policiers entèrent avec fracas, monopolisant l'attention des brigadiers républicains qui assurait la protection du bourgmestre. Un minute après, on ouvrit discrètement la porte principale et le gros de l'unité entra. Il fallu une minute de plus pour nettoyer le rez de chaussée, puis 2 minutes pour tuer les gardes à l'étage...

Au moment où le bourgmestre allait être interpellé, il mit fin à ses jours grâce à son revolver personnel. 3 autres conseillers firent de même, 1 fut tué en tentant d’assommer un policier et un autre en sautant d'une fenêtre. Les autres furent arrêté. Le drapeau républicain fut brûlé sur la grande place. Le drapeau impérial fut levé.

Valmont était reprise...

Mais rien n'était fini...

D'autres opérations aller être mené en d'autres points du pays...


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Une blindé léger du génie de la 13e DIM.

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Un républicain arrêté par des gendarmes

Durant les différentes interventions et les débats à la Diète, les républicains avaient pris des armes et commencent à marcher vers Allancia. L’objectif est de prendre le Palais et de tuer les oppresseurs.

De milliers de républicains et de franc-charpentiers marchent vers Allancia. L'objectif est simple abolir l'Empire.

Avec des armes lourdes, et des munitions, ils aident d'autres à sortir dans la noirceur.

Un télégramme circule en fin de journée.
- Duquet, Lévys, Nazaire, Lamarche, Desbiens, Labelle, Varna et Allancia-Ouest sont tombés

La marche avait réussis à encercler le centre de la Capitale. La chute est proche.

Les chefs de la lutte armée se réunissent devant leurs membres.

- La lutte a commencé. Aujourd'hui, la république est au porte. Nous rentrons dans la phase III de la lutte. Nous avons réussis à dire que c'est possible. Maintenant nous allons détruire leurs institutions. Je vous annonce bientôt un tyran va mourir.