Consultation du Secrétaire général du PPE

Sa Majesté Impériale invite Monseigneur Albert, Duc de Rougemont, Duc d'Arséna, Secrétaire général du PPE au Palais de la Réunification pour consultation.

Monseigneur, asseyez-vous.

Félicitations pour votre résultats aux élections. C'est un beau score après les épreuves qu'à subit votre courant.

Pensez-vous pouvoir diriger mon gouvernement ?

Notre courant, Votre Majesté?

Le Progrès n'est pas l'apanage d'un seul courant. Nous aimons notre pays et nous voulons seulement apporter le progrès à son peuple. Alors que les Impérieux engagent des sommes colossales dans une courses à l'armement, votre peuple, notre peuple souffre.


Je doute de pouvoir former un gouvernement qui survivra au vote de confiance. Pour ce faire, il me faudrait rallier les libéraux et les conservareurs chironnais et je doute pouvoir y arriver.


Cependant, nous visons la chancellerie pour les prochaines élections.

Bien, Monsieur. Je vois que votre parti s'est agrégé des éléments qui semble prometteur.
J'ai grande sympathie pour votre famille et votre mouvement. Je sais pouvoir espérer de vous une opposition constructive.

Et je vous souhaite bonne chance pour votre projet pour les prochaines élections.

Le chef du PPE est convoqué au Palais de la Réunification

Le chef du PPE se présenta au palais de la Réunification.

Monsieur de Courvoisier, bravo pour votre score électoral. Vous méritez cette reconnaissance.

Cependant, vous n'avez pas de majorité absolue évidente. Pensez-vous pourtant remporter le vote de confiance si je vous nommez Chancelier ?

Et, toujours dans l'hypothèse où je vous donne les rênes de mon gouvernement, peut-on craindre une remise en cause du régime actuel ?

Je vous remercies, votre majesté, c'est un honneur.

Puisque nous nous trouvons dans un régime parlementaire, c'est tout naturellement que vous demandiez au chef du parti victorieux de former un gouvernement. Je peux vous confirmer dès à présent que je suis dans la capacité de former un gouvernement obtenant une majorité stable à la Diète Impériale.

J'ai peur de ne pas saisir vos inquiétudes, je vous pris de me les expliquer.

Je suis fort aise de vous savoir en capacité de gouverner.

J'entends par ma question savoir si la forme monarchique fédérale actuelle du Saint-Empire ne sera pas remis en question par votre gouvernement.

Il n'en n'a jamais été question votre majesté, vous avez ma parole. La Constitution, que la Constitution, rien que la Constitution, nous gouvernerons dans les règles les plus strictes.

Je vous remercie Monsieur de Courvoisier. Ne quittez pas la Capitale pour le moment. A très bientôt.