De la position de chacun dans la reconquête du pouvoir

(Oui, le titre est un peu long ^^)

Saturnin-Blaise Bouan de Malenfort.


Avant la prise de pouvoir du dictateur : Membre de la Haute-Noblesse Edoranaise, Bouan de Malenfort, s'il est un conservateur et nationaliste convaincu, demeure un fervent défenseur de l'Empire.

Durant le coup d'état : Pendant la prise de pouvoir, Saturnin-Blaise Bouan de Malenfort est dans son domaine de Clermont. Des insurgés entourent le château : Bouan de Malenfort étant Gouverneur de Fransie, il est une proie de choix. Grâce à la réactivité de ses gens, le Gouverneur parvient à prendre la fuite. Il rejoint Bordeleau (alors déjà aux mains des insurgés), où il arrive à embarquer dans un navire en direction de l'Eslagne. Le Duc rejoindra ensuite le Grand-Duché de Slokavie.

Bouan de Malenfort, entouré de nombreux exilés à Kateslava, animera la création d'un journal, "L'Âme Edoranaise, luttant contre le régime d'Alfred-Auguste de Traceau.

Après le coup d'état : Bouan de Malenfort rentre au pays et reprend possession de ses biens.

Nicolas Burgond de Lachenaye.


Avant la prise de pouvoir du dictateur : Descendant d'une longue lignée de la haute bougeoisie, a été annoblit quelques années avant le coup d'état. C'est un gros industriel, à la tête de la BGIC, une des plus importante entreprise de l'Empire, et vieille d'environ 200 ans. Il est Général de l'Armée de l'Est, et ministre de l'industrie. Il est le meneur de l'Union Bourgeoise Edorannaise, parti politique de centre droit, se disant défenseur de la classe bourgeoise. Il est un pragmatique, servant différents interêts tant qu'ils vont dans son sens.

Durant le coup d'état : Pendant la prise de pouvoir, Nicolas Burgond de Lachenaye va prendre la tête de l'armée de l'est. Un moment séduit par les idées des putshistes, il rejoint le camp des légitimistes, et leur apporte le soutient de l'armée Fransienne. Il mène plusieurs batailles dont les victoires ne sont pas suffisament décissive pour marcher sur Allancia. Il tente de fomenter une révolte des milices bourgeoises de la capitale, qu'il ne parvient pas à rallier à sa cause. Annéanti par cette prise de position qui ferme définitivement les portes de la capitale aux légitimistes, il se replie avec l'armée de l'est dans les environs de Lucéra, qui ferme ses portes à l'armée et rallie les putshistes. Face à l'augmentation des désertions (de nombreux Fransiens soutiennent Alfred-Auguste), il pense un moment à disperser l'armée et se retirer à Lachenaye, mais il marche finalement sur Bordeleau resté aux légitimistes (de nombreux volontaire de la ville et de ses environs rejoingnent ce qui devient alors l'armée edoranaise libre), puis passe la frontière Tchécoslovène, avant d'installer ses camps en Azerop. De là, il mène plusieurs incursions en Chiron contre les forces d'Alfred-Auguste, et tente de monter une résistance interieur, chose assez facile en Chiron, resté largement légitimiste, et traditionellement insoumi à toute forme d'oppression. De nombreux Chironnais passe la frontière pour rejoindre les rangs de l'armée edoranise libre, ce qui compense la perte des nombreux soldats fransiens déserteur après la mise hors la loi du général et de son armée. Lors de la chute d'Alfred-Auguste, Nicolas Burgond de Lachenaye passe la frontière à la tête de toute l'armée, et marche jusqu'à Allancia sans combat.

Après le coup d'état : Il est touours à la tête de l'armée de l'est. Sa vision de la politique à considérablement évolué. Déçu de la bourgeoisie, il se retire à Lachenaye un long moment avant de revenir sur la scène nationale, se raprochant de plus en plus de smilieux réginalistes fransiens.

heu, pourquoi Chiron est pour Alfred? Dans la réalité, nous avons résisté ? Selon moi, c'est Fransie.

Désolé, j'avais mal lu le nouveau BG... L'erreur est désormais réparé.

Remarque que c'est ludiquement jouable...les Fransiens ne vont pas dire qu'ils ont soutenu Alfred-Auguste...et chercher à prendre un peu de gloire;)

Solène-Artémis Carnavon Dutronc-Pombal

Avant la prise de pouvoir du dictateur : Elle est la veuve de l'ancien duc d'Esse. Lors de la succession de son amri, elle a perdu fortune et la garde de son fils. Elle fut la chef du Parti de la Jeunsesse de Chiron. Ce parti politique demandait une décentralisation du pouvoir. Peu avant le coup d'État, les membres du PJC sont retournés à l'UCE. Lors du coup d'État, elle réussis à fuir d'Allancia, pour rejoindre la résistanceèn Chiron. L'Ordre du Chasseur noir, ordre qui fut créé au temps de la lutte contre les barbares, est réapparu avec l'actuel comte de Loubert, Louis Dutronc. Plusieurs garnissons, de villes et d'habitants avaient rejoint l'ordre. Pour éviter la mort d'innoncent, mais aussi du gouverneur de Chiron, Philibert Carnavon. L'ordre a négocié une paix, avec le Comandeur.

Durant le coup d'état : Pendant la prise de pouvoir, Solène-Artémis tombe en amour L'actuel comte de Loubert, Louis Dutronc, qui est un cousin lointain de son veuf mari. Solène organise la contre-attaque avec son amour. Louis Dutronc devient comte et général de l'Armée de l'ouest, grâce à la générosité du Commandeur. Grâce à sa nouvelle position, il réforme l'Armée de l'Ouest, et met ses hommes de confiance de l'Ordre, à la tête des régiments et des divisions. Il rentre en discusions avec les hommes politiques de Confolens. De même, il informe la résistance du prince de Freshville, les déplacements des armes de l'Armée. Ainsi, la résistance pouvait organisé des attaques, et prendre les armes, pour le futur grand combat.

Après le coup d'état : Louis-François Dutronc, avec son excellente préparation, a réussi au moment de la libéralisation prendre Confolens, avec 0 mort. Avec une armée fidèle et un bourgmestre partisan, la victoire fut rapide, et tout CXhiron suivi rapidement. L'Armée de l'Ouest avec la résistance du prince a pu rentrer rapidement dans Allancia. Les titres de Louis-François Dutronc furent reconnus, et il se marie avec noblesse, à Solène. Solène devient avec son époux des personnages importants en Chiron. et L'UCE espère resté la parti de la nation, même avec les changement politiques en Fransie.

Avant la prise de pouvoir du dictateur : Gouverneur du Chiron, Philibert assiste impuissant à la montée du danger en Chiron en affrontant notamment le comte Pierre-André de Marquouzy, fondateur de la Ligue Patriotique Chironnaise, la milice chironnaise de défense patriotique, proche de l'extrême droite. Le Gouverneur veut réguler leur force ce qui va irriter la LPC.

Durant le coup d'état : A l'annonce du coup d'Etat, le gouverneur du Chiron était dans son bureau. Voulant réagir au plus vite, il sorti de son bureau pour se diriger vers celui de son secrétaire. Tous deux descendirent chercher le comte Pierre-André de Marquouzy, fondateur de la Ligue Patriotique Chironnaise. Mais à peine arriver dans la cour, ils l'aperçurent en grand uniforme de la LPC en compagnie de quelques militaires. On leur fit comprendre qu'il valait mieux pour leur sécurité de regagner leurs appartements. Philibert accepte le poste de chancelier à contrecoeur. Pendant ce temps l'ennemi n°1 de Philibert s'organise et la LPC prend les devant

Chers amis,
Compagnons, Miliciens, Patriotes,

La grande campagne de redressement de notre Bel Empire a été entreprise il y a 3 jours par le frère de notre Empereur bien aimé et oncle de notre Régent. Cet homme énergique est celui dont Edoran a besoin pour la reconquête de sa légitimité et combattre les traitres et les terroristes de l'UNE. C'est notre devoir que de l'aider à parachever l'oeuvre d'assainissement de la nation qui a décidé d'entamer pour relever Edoran et lui faire retrouver l'éclat que notre Empire jamais n'aurait du perdre. C'est avec lui, avec Notre Empereur et son fils, guidés par Ether qu'Edoran se redressera après la morosité des derniers temps.
Mais j'entends déjà se lever contre cette grande politique ceux qui ont perverti le jeune esprit de notre Régent, le fils bien aimé de notre Souverain, ceux qui n'ont pu empêcher le délitement de nos institutions, le retour des gauchistes dans notre parlement, qui ont cherché à museler notre milice pour mieux la contrôler. Jamais Guillaume Dutronc n'aurait osé faire ce que le gouverneur Carnavon a fait durant les premiers mois de son mandat. Où est le respect de nos valeurs, celles qui ont fondé notre Saint Empire? Perdue, évaporée dans le laxisme gauchisant des cadres de l'UCE qui ont décrédibilisé le conservatisme le plus pur en s'alliant avec le centrisme mou de la bourgeoise qui n'a pas toujours renâclé à nous voir protéger ses intérêts.
C'et pourquoi il est de notre devoir, à nous Chironnais de soutenir Alfred-Auguste de Traceau.


Vive l'Empereur, vive Ether, vive edoran, Vive Alfred-Auguste!!!

Le discours terminés, tous applaudirent l'orateur et entonnèrent ensemble l'Hymne de la milice.

Edoran lève-toi
En suivant ton empereur et l'Ether,
Nous jurons nous tes gars,
de marcher tête haute pour toi,
Edoran lève-toi,
Ta lumière éclaire toutes les terres,
Ta grandeur renaîtra
Edoran, Edoran lève-toi.

Philibert reste en contact avec la résistance du Marquis de Chantrezac.


Après le coup d'état : Philibert, toujours gouverneur, prend des mesures contre la LPC

Nous, Philibert Carnavon, Gouverneur du Chiron, annonçons la dissolution de la Milice Chironnaise telle qu'elle existe. Son rôle dans les exactions commises sous les ordres du comte Pierre-André de Marquouzy, âme damnée du tyran ne peuvent rester impunis.

Des exactions sont commises contre les miliciens et Philibert fait juger les civils qui ont fait justice eux-même.

Avant la prise de pouvoir du dictateur : Grand noble, proche de l'Empereur, officier de la Maison Impériale, membre du gouvernement et du Parlement. Conservateur convaincu, il fut membre de l'UCE afin de défendre les intérêts de la monarchie et de la haute noblesse.
Charles-Alexandre assista impuissant à la dégradation de santé de l'Empereur et aux évènements qui suivirent.

Durant le coup d'état : Cloîtré au chevet de l'Empereur, Fricard pris la décision de ne rien tenter contre la prise de pouvoir de Alfred-Auguste, considérant que cela aurait pu mettre en danger la vie de la famille impériale, ainsi que la sienne. Il soutenu en sous-main la résistance organisé par les fiers Chironnais, envoyant sur la place les restes de la Garde Impériale, ainsi qu'une grande partie des fonds dont il disposait encore. Néanmoins, il reçoit d'inquiétantes nouvelles d'Eslagne : sa mère, la Princesse Juliana, se meurt. Le coeur lourd, il part, avec la bénédiction de l'Empereur et l'accord du Commandeur, pour l'Eslagne.

Après le coup d'état : L'état de santé de la Princesse Juliana ne s'améliorant guère, Charles-Alexandre est contraint de rester en Eslagne. Le 21 décembre 1908, la longue agonie de la Princesse pris fin. Après quelques jours de deuil conventionnel, le Prince de Fricard reviendra en Edoran...

Alexandre-François de Corvin, prince de Freshville et marquis de Chantrezac


Avant la prise de pouvoir du dictateur : Chancelier de l'Empire, grand noble, proche de l'Empereur et également officier de la maison impériale, pair de l'Empire, député d'Allancia-Centre, maréchal d'Edoran, richissime propriétaire, le prince de Freshville était l'un des hommes les plus puissants du Saint-Empire. Fervent conservateur, il dirigeait l'UCE pour défendre un modèle de société donnant à la noblesse, et plus particulièrement à la haute-noblesse, une place importante dans la gestion des affaires de l'Etat. Lorsque la santé de l'Empereur se dégrade, il favorise l'accession au pouvoir du prince Charles-Antoine dont il demeure le précepteur et veille à faire respecter, dans cette période délicate pour l'Empire, les termes de la Constitution qu'il a rédigé. Mais le Chancelier traverse tout de même une passe difficile : les élections ont fait triompher l'abstention et les résultats ne sont toujours pas connus des semaines après le vote, entraînant une grave crise de confiance envers le gouvernement UCE qu'il dirige.

Durant le coup d'état : Alexandre-François se sait visé par le coup d'Etat d'un homme qu'il abhorre, et organise dès le matin du 12 octobre une résistance construite pour réussir à vaincre Alfred-Auguste. Son statut de Maréchal d'Edoran et son prestige politique et nobiliaire lui permettent de rallier à lui la plupart des nobles chironais et des troupes impériales. Devant fuir Allancia rapidement, il parviendra, avec l'aide de Nicolas Burgond et de Louis-François Dutronc (qui dirigent les armées légitimistes) et de Philibert Carnavon (qui dirige la résistance civile, au plus haut niveau en tant que chancelier officiel du Saint-Empire), à reprendre Allancia presque un an après la prise du Palais par Alfred-Auguste.

Après le coup d'état : Honoré par le régent et voyant la santé de l'Empereur s'améliorer de jour en jour pour qu'il puisse d'ici peu reprendre le pouvoir, Alexandre-François se retire sur ses terres de Freshville pour y couler une retraite paisible, qui l'ennuie vite. Il est de retour en politique fin décembre 1908.