Motion

L'Union Nationale dépose la motion ci-jointe.

La Diète d'Edoran condamne à l'unanimité les actes terroristes perpétrés dans les vassaux du St-Empire. La Diète souhaite également apporter tout son soutien et son réconformer aux victimes de ces atrocités...

Robert Bourque se lève.

- Je rajouterai, que la Diète devrait instituer une commission d'enquête. Il n'est pas compréhensible, que nos services du renseignement n'ont pas su informer la chancellerie. Les vrais responsables sont ceux, qui ont été muet, aveugle et sourd devant la préparation de ce coup.

Que faisait le gouvernement?

Condamner l'expression du peuple, Kamarade? Non, je ne crois pas...

Robert Bourque se lève.

- Je dirais, que faisait le ministère de l'intérieur?

Le ministre était trop occupé à s'enrichir!

- Comment osez-vous? Nos services ont fait le travail. La possible guerre contre les Russlaves a occupé nos services de sécurité. M. Dutronc devrait être au courant et donc son valet aussi. M. Bourque est rapide dans son accusation du gouvernement où son chef est ministre de la défense, de la guerre et des finances. Le RDCC devrait être derrière le gouvernement plutôt que contre lui. L'UCE s'opposera à cette commission d'enquête.
Sur les bancs de l'UCE on se déchainait.
- Dutronc ! Démission ! Dutronc ! Démission ! Dutronc ! Démission ! scandaient les députés UCE.
Isidore-Médéric Moreau de saint-Alban se releva et fit signe aux députés UCE de faire silence.
- Ceci dit nous allons soutenir la motion du député Rougemont.

Les partisans conservateurs de Störtebeker approuvaient et ils applaudirent l'intervention de Moreau de Saint-Alban.

nous devrions tous être avec les victimes de ces atrocités prétendument commises au nom du peuple mais ces assassins là ne savent pas ce qu'est le peuple. Ce sont des fils de bourgeois qui se croient défenseurs du peuple sous prétexte qu'ils ont lu un article de Charles Mark

Vous préférez un gouvernement tenus par les rouges et les indépendantistes? Vous voulez déstabilisez le pays

Robert Bourque se lève.

- C'est magnifique les contradictions. L'UCE déclare que les services de renseignement étaient occupés avec la question de la Russlavie. Par contre, il oublie que le ministre de la Guerre était occupé aussi sur la même question. Il s'assurait que les défenses de la Moldavie soient opérationnelles. La question reste toujours présente. Où était le ministre de l'Intérieur? Ce n'est pas ses services qui sont responsables de retrouver un jour les membres du MRA?

Le député suppléant de Bordeleau répliqua:
- Le MRA est une menace pour l'Empire depuis sa création, quand Dutronc était au pouvoir comme chancelier, il n'a rien fait pour éliminer cette menace. Durant ces dernières semaines, votre chef se prélassait dans les bureaux douillets du souverain moldave. Ensuite il fait conter fleurette en Eslagnes pour son seul prestige. Vous prétendez que nos services n'ont rien fait pour la défense de notre Empire face à la menace russlave? Ils ont fait bien plus que vous et votre chef. Creuser des tranchées n'a jamais apporté la moindre information sur l'ennemi. Les Russlaves étaient une menace bien plus grave qu'une possible réactivation des cellules terroristes du MRA. Il fut applaudit par le banc conservateur M. Carnavon a toute notre confiance.

Dois-je vous rappeler que le gouvernement Dutronc était un gouvernement UCE....

Robert Bourque se lève.

- Je ne critique pas Carnavon. Je critique son ministre de l'Intérieur. Il n'a pas encore répondu à notre question.