Manifestation

Le Chancelier fit envoyer un message aux organisateurs de la manifestation. Lorsque le cortège arriverait au niveau de la Chancellerie, Störtebeker en recevra une délégation.

Les plus grands noms du Parti Impérial étaient présents.
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Les écuyers du saint-Empire étaient également présents.

les forces de l'ordre patrouillaient das kes environs pour empêcher les débordements et les contre-manifestations de la gauche

Yves Legris, aide de camp de Störtebeker, entra dans le bureau de ce dernier.

- Amiral, les manifestants sont ici, ils veulent que vous descendiez.

- Hm... C'est eux qui sont venue jusqu'à la chancellerie et qui ont des choses à dire, non ? Alors qu'on fasse rentrer les 2 ou 3 leaders du cortège, je les recevrai au Petit Salon. Faîtes avec grand respect, ce ne sont pas des markistes.

- Bien, Amiral.

Yves Legris sorti du bâtiment et traversa la cour. Les Gardes Impériaux en faction lui ouvrir la grille, et il s'approcha des barrières de sécurité. Les manifestants virent qu'il allait parler et le silence se fit.

- Messieurs, conformément à son engagement auprès de vous, Monsieur le Chancelier souhaite rencontrer à l'intérieur du Palais Barbant les principaux dirigeants de cette manifestation. Merci de vous désigner rapidement et de me suivre.

Ernest Charrin, célèbre pamphlétaire nationaliste, Claude Bigre, secrétaire-trésorier du parti Impérial, Jean Valcourt, rédacteur à l'Impérial furent choisis pour représenter les manifestants.

Suivant Yves Legris dans les dédales de la chancellerie, les trois nationalistes arrivèrent dans le bureau du chancelier...

Le Chancelier reçu les 3 hommes.


- Mes hommages Messieurs ! Alors, je dois dire qu'il est rare de voir des hommes de votre éducation crier dans la rue comme des markistes ! C'est pourquoi, il me fallait vous rencontrer. Précisez moi un peu la raison de cette agitation ?

Excellence.


Nous sommes nombreux à penser que les ennemis de la nation ont infesté notre gouvernement. Comment peut-on accepter de voir un Zollernois, un markiste et un franc-charpentier avoué diriger notre beau pays.


Monsieur, vous devez prendre action.

Comment peut-on l'accepter ? Mais enfin, c'est la voix du peuple que d'avoir mis l'UC à la Chancellerie, et c'est la voix de la Diète que d'avoir apporté sa confiance à mon gouvernement. Gagnez les élections si vous n'êtes pas d'accord.

Cependant, je souhaiterai entendre ce que vous reprochez aux ministres dont vous parlez. En quoi sont-ce des ennemis de la Nation ?

Crypsule Lameth est un Franc-Charpentier avoué...dois-je vous rappeler la menace persistante que fait peser sur nos tête cette organisation zollerno-russlave?

Adalberg de Klausbourg, le Zollernois, est en charge de nos défenses. À qui va son allégeance, monsieur? Au Zollernberg qui nous a traîtreusement attaqué?

Rappelez-moi effectivement cette menace.

Concernant Adalbert de Klausbourg, c'est un Edoranais en lequel nous pouvons avoir pleine confiance. De plus, le Zollernberg est aujourd'hui notre allié. Et un allié proche.

Le manifestant renchérit

Edoran est alors bien bas pour s'allier avec des assassins.