bien triste découvrte

La gendarmerie impériale était arrivée sur place. Des cris avaient alerté les voisins qui avaient aussitôt contacter les forces de l'ordre, trop tard hélas. L'officier ne pu que constater l'horreur de la situation. La mère et trois enfants ainsi que le grand-père avaient été tués à coup de couteaux. Le séjour de la petite maison était sans dessus dessous. Dans cette famille déjà frappée par le malheur de la perte du père lors de la guerre contre les Azcas il y a deux ans, ce massacre, car c'était le terme prononcé par l'officier de la gendarmerie impériale, laissait une petite fille orpheline...

San Pedroso était sous le choc. On appelait la gendarmerie à retrouver au plus vite les coupables.
- Surement des azcas, des sauvages buveurs de sang.
- Voilà les ravages de l'alcool !!!
- Un coup des markistes !! une honnête famille de bons éthéristes, voilà comment ils font de la politique. Nous avons failli avoir un député rouge, ils mettent en pratique leur politique d'assassin ma bonne dame...

Une grande manifestation se déroula à San Pedroso. Le PI avait rameuté ses militants pour gonfler d'autant plus la manifestation.
Les personnes qui défilaient réclamaient une justice intraitable et la mort pour les assassins !!!

Tugdual Morville, le maire PI de San Pedroso, et le suppléant d'Edme-patrice, fit une annonce :
- nous ne nous laisserons pas intimider par les assassins !! Il est grand temps que le pouvoir d'Allancia mène une vrai politique de tolérance zéro à leur égard. C'est pourquoi nous allons demander à nos députés impériaux, les seuls sans doute à souhaiter enfin une action forte, de demander le rétablissement de la peine capitale !!

Un autre crime avait été commis mais cette fois à une trentaine de kilomètre de là. Au cours d'un braquage de la banque de Fort-Miguel, des gendarmes étaient arrivés rapidement sur les lieux. Pensant arrêter les bandits, après un échange de tirs et le dérapage de la voiture des bandits, ces derniers ouvrirent le feu à bout portant sur les deux pandores qui s'écroulèrent touchés à mort...

Les crimes n'avaient pas été résolus. D'autres attaques avaient été perpétrées par ce qui semblaient être les agissements d'une bande. Ces bandits semaient la terreur. Dans certains villages, les habitants avaient organisés des milices qui assuraient la défense des villageois.