Sommet de la Paix - Cumbre de Paz

Les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères était rendu dans le vieux Palais royal de la capitale, qui avait été rénové, le Palacio Real das Eslagnes.


C'est dans cet édifice, que toutes les délégations seront hébergé et discuterons du traité de paix.


Tout est prêt à accueillir les premières délégations de la Fédération, la Guardia Real est prête, elle assurera la sécurité de tous les participants.


La salle du trône aussi, el Rey va recevoir toutes les délégations dans cette salle, sauf celle du Saint-Empire. Su Majestad se déplacera et accueillera à l'entrée du Palais.

Sa Béatitude fut la première à se présenter au Sommet. Il voulait comme membre de la Fédération promouvoir la Paix Universelle, mais aussi le message d'Ether à tous.

La délégation de Tchécolsovénie était également arrivée à Zaramanca. Longtemps en léthargie, la tchécolosvénie voulait revenir sur le devant de la scène impériale

Les représentants alémaniens étaient arrivés le matin à Zaramanca.

La représentants Sinaotes étaient également arrivés...

Le Chancelier du Saint-Empire entra dans la salle du trône.

Dans une grande salle, les membres des délégations discutent du futur traité.

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno.
- Pour nous, des questions importantes pour l'avenir.
1- Est-ce que nous laissons Sinà, être une identité?
2- Partage du Grand-Duché ou quelle avenir politique?
3- Comment est-ce que Sinà paiera sa dette de guerre ?

(il prit un verre d'eau)

- Selon nos fonctionnaires, ils évaluent la dette de Sinà à 10 milliards d'edo.

10 milliards d'Edos? Mais jamais un pays ruiné par une guerre ne pourra vous rembourser une telle somme. Et comment se réparti cette dette Excellence, demanda le ministre des affaires étrangères d'Alémanie.

Comme à son habitude lors des sommets, l'Empereur ne dirait rien. Il ne laisserait rien paraître. Il avait, depuis qu'ils travaillent ensemble, appris à connaître suffisemment son chancelier pour savoir que celui-ci irait dans les intérêts de l'Empire et qu'icelui comprenait le langage facial de l'Empereur et notamment son impressionnant jeu de sourcils...

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno

- Les 10 milliards d'édo correspondent:
aux pensions pour les familles des milliers de soldats morts aux combats
aux pertes matérielles de l'armée eslagnole
aux dégâts réalisés par l'aviation militaire de Sinà, dans le territoire nationale

Le Chancelier pris la parole.

Vos Majestés, Excellences, je vais vous répondre. Je propose à Sa Majesté Impériale de rompre le lien de vassalité avec Sinà, si tant est qu'il ne le soit pas déjà du fait de l'abdication du seigneur vassal de Sinà. Nous tolérerons la République Kiriliste mais sous de drastique conditions :
- une constitution approuvé par Sa Majesté Impériale.
- une armée nationale limitée à 50 000 hommes.
- une présence militaire allié permanente sur le sol de Sinà.

Pour ce qui est des dommages de guerre, je pense que votre estimation est surévaluée... Mais il est clair que l'économie sinaote sera tourné vers le remboursement pendant un moment.

La délégation sinaote fut stupéfaite




Est-ce cela la magnanimité des vainqueurs?

Laissez une chance à notre jeune république. Les règles que vous posez ici signeront la mort de notre mouvement démocratiques et d'obscures forces prendront le pouvoir à notre place.


La République est prête à rembourser une dette de guerre, guerre qui nous a été imposée.

Nous sommes prêts à accepter certaines exigences constitutionnelles d'un Empereur qui devait nous protéger.


Et finalement nous sommes prêts à accepter sur notre sol ceux qui ont violé nos femmes et tués nos enfants!.

Messieurs,

cette guerre est selon nous le fait de Sina. Il est donc juste que les combattants vainqueurs puissent voir compenser les pertes notamment humaines, néanmoins, nous ne souhaitons pas devoir écraser Sina sous une dette impayable. Ne pourrait-on pas voir un autre moyen de remboursement que le seul argent?

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno

- Peut-être un partage de Sinà? Actuellement, nos forces assurent la sécurité et l’administration de presque la moitié.

Monsieur Kiril, pensez-vous être en posture de pouvoir remettre en cause ce qui sera décidé ici ?

Ma proposition :

Votre République sera indépendante, mais la monnaie et les affaires étrangères seront du ressort du Saint-Empire. Votre armée sera limité à 50 000 hommes.

Votre territoire serait divisé en trois zone. Chacune sera par une des trois nations alliés ayant envoyé des troupes en Sinà.
Cette occupation serait double :
- militaire, dans un but sécuritaire et préventif, avec possibilité d'user de pouvoir de police.
- économique, avec un droit de prospection et d'exploitation des ressources du sol et du sous-sol sinaote.

Cette occupation n'aura pas de pouvoir politique ni administratif. Elle sera réévalué dans un an par une conférence impliquant les occupants et les dirigeant de la République.

Voici le partage que je préconise. Il corresponde aux positions déjà occupées par les troupes allié :

Cela nous semble équitable. L'Alémanie soutiendra la position d'Edoran

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno

- Nous sommes d'accord, à la condition que le peuple de Sinà puisse demander d'être réunis à un autre état frère, comme la Palogne ou l'Eslagnes. Je crois que les sinoistes, qui seront sous notre responsabilité puisse demander d’approfondir leur amitié et leur amour.

Cela signifierait-il que vous viseriez une annexion du territoire de Sina à moyen ou long terme?

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno

-Je n'aime pas le terme annexion. Nous sommes prêt à accueillir des frères et des amis dans la famille. El Rey est toujours en faveur du rapprochement de tous, sous sa protection divine.

L'exploitation de nos richesses et une lourde dette de guerre! Comment pourrons-nous la payer si vous pillez nos ressources?


Qui plus est, nous ne comprenons pas la nécessité d'occupation de tout notre territoire national.

devons nous vous rappeler que vous êtes responsables de cette guerre. Il nous semble bien que les états belligérants vainqueurs et agressés sont en droit de vous demander des comptes.

Monsieur Kiril, je pense que le droit de prospection et d'exploitation de vos ressources suffiront. Mais, il faut accepter l'occupation.

Celle-ci étant par ailleurs justifié par le fait que vous représentiez toujours une menace.

La situation sera réévaluée par une nouvelle Conférence, à Sinà, dans un an.

Monsieur Torres, nous n'imposerons pas à Sinà une fusion avec l'un ou l'autre des vassaux du Saint-Empire. Nous laissons cette nation définir sa constitution, elle pourra donc aller dans votre sens, ou non.

Rappelons les contraintes de la rédaction de la constitution sinaote :
Le Saint-Empire assure les affaires étrangères.
La monnaie sera l'Edo
L'Armée fera 50 000 maximum.
La Constitution devra être accepté par SMI.

Monsieur Raúl Torres, duc de la Paz, Presidente del Gobierno

- Votre Excellence. Les peuples décideront. Alors, qu'on inclut dans cette constitution la possibilité des citoyens de s'exprimer dans un référendum local.

Le Maréchalissime Wilhuff Tarkin, chef d'Etat-major de l'Armée Royale Palonaise et Ministre de la Guerre de Casimir III, était présent au sommet.

- Excellence, c'est un scandale que l'on accorde encore autant de mansuétude à cette nation rebelle ! D'autant plus qu'elle est devenue une république ! C'est un affront ! Ils nous pissent dessus sans même essayer de nous faire croire qu'il pleut ! Occupons leurs terres, oui, prenons leurs ressources, oui, mais administrons le pays tout entiers !

messieurs sachons faire preuve de mansuétude et de magninimité. Nous sommes de l'avis de notre Chancelier.