Navires eslagnols au port de Port-Royal

Les deux navires arrivent. m
Le commandant achète des vivres, tout en louant une maison, au bord de l'eau. Les citoyens trouvaient drôle de voir ses étrangers. Il faut dire que les eslagnols n'ont pas l'habitude prendre l'eau. On raconte, qu'ils ne savent pas nager.

Il est intéressant, qu'on transfère durant la nuit, des boîtes d'un des navires vers cette maison. Des hommes, qui avaient une tête d'être universitaire, accompagnent ses boîtes.

Ses boîtes avaient des instruments de mesures et d'observation. Les scientifiques avaient pour mission d'observer et quantifier. Mais la question mystère, quoi ?

Dans 24 heures, les deux navires avec une équipe scientifique restreinte va partir vers un lieu inconnu de tous.

Quelques agents de la Direction du Renseignement Militaire s'étaient glissé parmi l'équipage en toute discrétion.

Un sous-marin de la Marine Impériale surveillait les navires à distance.

A quoi était en train de jouer les Eslagnols ?

Les deux navires quittent les eaux edoranais. Les navires sont dans les eaux micromondiaux.

Tout à coup dans un des navires, ont indiquent avec les hauts parleurs.

- Atención, evacuación de emergencia

Tout l'équipage prend les canots pour quitter le navire et rejoindre l'autre.

Dans l'autre, une équipe scientifique prend des mesures. Des mesures de radiation. Avec les deux équipages, le capitaine ordonne, que le navire s'éloigne à toute vapeur.


Après une certaine distance, on voit de loin l'autre navire explosé.

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Un télégramme est envoyé à El Rey.

- misión réussie

Sur les ordres du Palais Corvin, plusieurs frégates édoranaises entourèrent le navire eslagnol. Le Destroyer Ville de Port-Royal était également là.

Une vingtaine de fusilier-marins montèrent à bord, accompagnés de Gendarmes Impériaux, seuls enquêteurs habilités dans les affaires militaires.

Le capitaine eslagnol et une dizaine d'officier furent conduit sur le destroyer.

Le navire eslagnol a été remorqué jusqu'au Port Militaire de Port-Royal. Les 140 marins du navire ont été placé sous bonne garde et l'ensemble des données enregistrées et du matériel électronique a été confié à la Direction du Renseignement Militaire.

Les premières analyses de donnée montre que la bombe était beaucoup plus puissante que les obus à l'édoranium détenu par l'Armée du Saint-Empire.