rencontre avec le PEE

Philibert arriva au siège du PEE, il avait peu d'espoir mais il avait reçu une mission de l'empereur et devait essayer de la mener à bien.

Otto reçoit dans son bureau.

Le bureau était en désordre avec plein de documents, de rapports et d'étude sur toutes les questions nationales.

On voit une peinture de Sa Béatitude.

- Bienvenue, je vous invite à s'asseoir.
(Otto dégage une chaise, qui avait des documents sur les questions de la violence conjugale)

Merci de nous recevoir. Nous n'irons pas par quatre chemins : vous le savez Sa Majesté Impériale nous a donné la lourde charge de former un gouvernement, et le PEE est notre dernière chance de réussir notre mission. Il est plus que temps. Nous souhaiterions savoir si le PEE serait prêt, à ses conditions que nous écouterons et nous nous pourrons discuter, à entrer dans un gouvernement composé de l'UC et de l'AL?

Otto
- Nos exigences sont simple. L'UC déclare soutenir Sa Béatitude. L'UC déclare que l'Église sainte etheriste à un impact important et positif dans la société edoranaise.

- Nous demandons aussi que le salaire minimum soit à 15 edo. Que l'état subventionne pour 100 ans, un nouveau séminaire. Que l'état nationalise le système ferroviaire de edorail. Que la prohibition soit rétablis. Que chez Gertrude ferme ses portes.

Philibert savait que les discussions ne seraient pas simples, mais là, il semblait clair que le PEE n'entendait pas monter dans un gouvernement avec les deux autres partis. Les exigences ne seraient pas acceptables pour l'UC ou pour l'AL.
- Vous rendez-vous compte qu'ou l'UC ou l'AL ne pourront accepter certains des points? Nous espérons que si vous êtes approchés par d'autres vous ferez les mêmes demandes...

Monsieur
Vous avez demandé nos conditions.
Vous les avez.

Vous ne pouvez pas être surpris de nos conditions, en sachant nos conflits antérieurs.