Manifestation pour le retour de la démocratie

NOUS VOULONS LA DÉMOCRATIE
NOUS VOULONS DES ÉLECTIONS LIBRES
NOUS VOULONS NOTRE LIBERTÉ

C'est devant le Palais de Réunifications, que plus de 200 000 personnes manifestent, avec enfants.

Les manifestants sont en colère, que l'Empereu ne réagit pas au manquement de démocratie dans le Saint-Empire.

Duceppe était dans la foule avec ses amis. Il avait donné des indications à ses employés de participer. Il est arrivé avec un groupe de 20 000.

Tous se demandent, où est l'empereur. Des manifestations et de la violence, surtout aucune réaction.

La foule laisse passer l'archipontife Vladimir Volga, qui est un des conseillers personnels et ambassadeur de Sa Béatitude.

- Chers amis. Je vous félicite de votre courage de venir devant la tyrannie pour demander vos droits à une démocratie. Je sais, que Sa Béatitude prie pour vous. Il espère que l'Empereur répondra à vos attentes.

Les manifestants ont pris place devant le Palais de la Réunification.

Un village éphémère a été créé. Les manifestants ne quitteront, que lorsque l'Empereur aura reçu l'opposition démocratique et agit pour rétablir la démocratie.

Volga avait organisé avec les temples etheristes, pour qu'on livre de la soupe et un peu de nourriture.

Le discours du Chancelier n'avait pas plus aux manifestants, qui banalise le mécontentement de la population.

1 régiment de cavalerie de la gendarmerie était arrivé en renforts du Bataillon d'Intervention et du Bataillon d'Intervention Équestre de la Garde Impériale.

Le Colonel Vadris de la Garde Impériale attendait l'ordre d'évacuer cette attroupement de chevelus et de soutanes anti-patriotes.

Les manifestants étaient là.

Tous étaient déçu de l'attitude de l'empereur.

Les médias, qui couvrent l'événement, refusaient d'annoncer les résultats d'un sondage national, que la popularité.

Le nouvel empereur avait perdu 20 points dans le sondage. Et on ne parlait pas du chancelier. L'économie du grand-duché et de la capitale étaient au ralenti avec cette grève.

La nouvelle de l'attention du Lucien Duceppe est vite arrivée aux manifestants.

La grogne a commencé.

Des manifestants commencent à lancer des roches et de ses pierres aux forces de l'ordre. Ils essaient de garder leurs calmes.

On voit vite les parents, qui font évacués les enfants.


Des manifestants allument de troches et d'autres des petits explosifs, qu'ils commencent à lancer assez rapidement contre l'enceinte du Palais et au-delà.

La centaine d'anarchiste sur la Place d'Edoran était maintenant entouré d'autant de chevaux de la garde impériale et du double de chevaux de la gendarmerie.

La bataillon d'intervention, lui, attendait à l’extérieur du cercle.