Visite

Le premier-ministre de Fransie arriva en limousine devant le palais corvin.




 Devant le garde en faction, le chauffeur baissa sa fenêtre.




Son Excellence Albert de Rougemont  souhaite rencontrer le Lord protecteur.

Les gardes impériaux escortèrent de Duc vers le bureau du Feld-Maréchal. Ce dernier accueilli le visiteur chaleureusement.

- Monseigneur ! Bienvenue au Palais ! Prenez un cigare de Fort-Saint-Charles et asseyez-vous !
Que me vaut votre visite ?

Le dignitaire fransien prit un cigare et s'assit.




Excellence,


Soyez assuré du soutien de la Fransie dans les efforts pour régler la situation sanitaire qui touche l'Empire. Nous espérons cependant que vous respecterez les pouvoirs des états fédérés.

Nous avons fait le choix, dans notre grande bonté, de permettre aux Etats fédérés de maintenir leurs fonctionnements et leurs autonomies, malgré le régime protectoral.

Si les actions des Etats fédérés venaient à contrevenir aux desseins salvateurs que j'entrevois pour notre Empire, les Gouverneurs militaires agirons en conséquence envers les moins compliants.

Mais je sais bien que vous n'êtes pas de ceux-là, et que la Fransie ne s'opposera pas à notre politique.

Le dignitaire maqua une pose.




Et quels sont vos desseins salvateurs?

Une politique de grands travaux et d'autres mesures visant au plein emploi et au rayonnement de l'Empire, libéré des freins démocratiques.

Vous en constaterez petit à petit les contours.

La démocratie n'est pas un frein, mais une valeur de notre empire. Nous souhaitons pouvoir déterminer les tracés de vos routes.

Nous vous remercions de vos conseils Monseigneur, et nous vous invitons à appliquer les valeurs dont vous parlez dans votre Etat. Les Gouverneurs militaires des régions fransiennes vous solliciterons si besoin pour nous aider à bâtir l'Empire de Demain.