État-major de la Grande-Alliance

Rappel du premier message :


L'EMGA est composé d'un ou deux officiers généraux des Etats-membre de la Grande Alliance. Il est chargé de coordonner les opérations militaires communes des Etats-membres.

Le Chef de l'EMGA est le Maréchal de l'Air Arthur Weiss, Chef de l'Etat-major de l'Aviation Impériale édoranaise, désigné lors du Sommet de Travnà en janvier 2019.

En avril 2019, le Saint-Empire dote l'EMGA d'un siège tout neuf, à Port-Philippe, servant également de siège à l'Etat-major de la Flotte Océane de la Marine Impériale édoranaise : le "Quartier Deschambault", en hommage à l'Amiral Klaus Störtebeker, Marquis de Deschambault. Bâtiment ultra sécurisé et protégé par les fusiliers-marins de la Flotte Océane.

Le peuple d'Alémanie du Sud, comme les autres régions, souhaite le départ du Roi Alexandre Ier, mais reste attaché à la monarchie. Certains veulent le rattachement à l'Alémanie et donc au Saint-Empire. Cette dernière option n'est pas celle que privilègie le Saint-Empire.

Le Roi d'Alémanie et d'Alémanie du Sud, pour sa part, est attaché au rester un vassal d'Alexandre, mais il est également lucide.

Je ne peux m'avancer davantage sur l'évolution de la situation en Alémanie du Sud, mais le Consul Général d'Edoran à Travnà a prévu de rencontrer le Roi Pierre-Charles Ier après son entrevue avec Ekatarina Timochenko. Je pressens que notre gouvernement fera pression pour que l'Alémanie du Sud conserve un statut spécial au sein de la Biéloslavie.

La Biéloslavie n'étant pas encore suffisamment stable et organisée, et n'ayant pas garantie la protection des intérêts de la Grande Alliance à Travnà et le respect de la population sud-alémanienne de maintenir la monarchie locale, le Saint-Empire a permit au Roi Pierre-Charles de déployer son Armée en Alémanie du Sud, avec le renfort de 2 régiments impériaux. De même, le CCP est sécurisé par un détachement édoranais.

Nous avons également demandé aux forces livadiennes de concentrer leur présence à Travnà sans attenté aux intérêt de la Biéloslavie.

Nous remercions la Francovie pour nous aider à sécuriser les intérêts de la Grande Alliance à Travnà.

Nous partageons les inquiètudes de Micropolia quant aux intentions de la nouvelle République. Nous espérons tout de même que le mutisme de la Biéloslavie est dû à leurs difficultés d'installation et qu'il trouverons rapidement le moyen de désigner des interlocuteurs légitimes.
En effet, la priorité de la Biéloslavie une fois stabilisée sera de parler avec la GA et le Royaume d'Alémanie du Sud.
Ce dernier souhaite négocier une autonomie dans la nouvelle République et bénéficie dans cette revendication du soutien du Saint-Empire.
Ce soutien se matérialise pour le moment par la présence de troupes édoranaises et alémaniennes sur ce territoire.

La Biéloslavie pour le moment n'est qu'un projet d'Etat. Cependant, une certaine Anastasia Voronina à l'air de se démarquer. Elle vient de Belgograd et a le soutien d'une grande partie des républicains. Il faudra compter sur elle lors de la fondation officielle de la République... Avec l'arrivée des nationalistes et des centristes, l'Etat ne sera surement pas merksiste.

Concernant les Traités, elle a indiqué également qu'ils seraient tous déclaré caducs. Nous n'en savons pas plus, mais nous pensons que la Convention de Lédao sera rapidement ratifiée, et nous voyons mal cette République rejoindre la LEM ou s'opposer à la Grande Alliance. La principale inconnue reste l'adhésion ou non à l'ONA...

La figure de la Révolution Verte, Anastasia Voronina, est actuellement au Kremlin pour s'entretenir avec le Roi.
D'après nos conseillers, elle accepte l'idée d'un Royaume subsistant à Slavoutytch et dirigé par le Roi et le Roi d'Alémanie, répondant au projet du Saint Empire d'Edoran.

Elle y exprime néanmoins des conditions :
- L'Etat doit être un vassal de la Biéloslavie
- Les lois biéloslaves doivent s'y appliquer
- La politique locale est laissée aux mains du pouvoir royal sur place
- La diplomatie est interdite et réservée à la Biéloslavie

Concernant les forces de l'ordre, elle a refusé toute police locale dirigée par le Roi et impose la police nationale biéloslave. Elle a néanmoins fait un geste en acceptant une Garde Royale, d'un maximum de 200 hommes afin d'empêcher toute envie de révolte indépendantiste.

Le Saint-Empire n'est pas complètement satisfait de ce compromis qui se dessine. Mais notre gouvernement soutiendra ce qui ressortira de la Chambre constituante que les propositions de la Révolution verte va nourrir.

Dès un accord trouvé, nous retirerons nos troupes d'ex-Alémanie du Sud. Nous espèrerons que Livadia fera de même.
Nous maintiendrons des troupes plus restreinte sur la base de Travnà et au CCP jusqu'à ce que la Biéloslavie rejoigne la GA.