Élections

Rassemblement Démocrate : Parti de gauche, proche des milieux markistes. Ce parti prône une nationalisation générale. Son chef est l'impulsif  Secrétaire général Alexander Duerr. Ce dernier apparaît maintenant comme la principale force d'opposition à l'actuel gouvernement libéral.




Parti Social démocrate : parti de centre gauche, laïc, progressiste et prônant la Social-démocratie. Ce parti alterne entre le pouvoir et l'oppoition depuis plusieurs décennies. Le PSDA est l'artisan de plusieurs réformes sociales. Son chef est Irina Fegelmann. Infirmière de métier elle axe son programme sur l'accessibilité aux soins de santé et à l'éducation.


Mouvement Réformiste Alémanien : Ce parti est le résultat d'une scission   avec l'UCA. Ses membres rejettent l'alternance traditionnelle entre le PSDA et l'UCA et veulent offrir une alternative crédible politiquement. Le chef est Mathias Weiss, un ancien professeur et ancienne étoile montante de l'UCA. Très populaire pour ses réforme, le parti est le champion au niveau financement.


Union Conservatrice Alémanienne : parti de centre droit, conservateur et laïc, proche des milieux d'affaires et libéraux. Son chef est Gustav Klein, industirel ayant fait fortune dans la bière. Chef d'un parti désormais moribond, il exploite son expérience personnelle pour une saine gestion des dépenses publiques.


Ligue Ethériste Nationale : droite conservatrice, religieuse et nationaliste, beaucoup de ses membres sont d'anciens des Flèches d'Argent, la milice ultranationaliste qui soutenait le régent. Le chef du parti est Rudolph Ostermann. Démagogue  et furieux anti-markiste, Rudolph prône un état fort et paternaliste.

Les membres du Syndicat des Travailleurs Unis d'Alémanie (STUA) donne la consigne de vote pour le PSDA.

Rassemblement Démocrate 10%  12 sièges (-5)
Parti Social démocrate   37% 44 sièges (+16)
Mouvement Réformiste  27% 32 sièges (-15)
Union Conservatrice  10%  12 sièges (+2)
Ligue Ethériste Nationale   16% 19 sièges (+1)

Après plusieurs semaines de tractations politique, l'Alémanie s'enfonce toujours plus dans l'impasse.


Le PDSA, grand vainqueur des élections n'a cependant pas la majorité des sièges. Les deux grands partis ont cependant décidé de ne pas renouveler la grande coalition gouvernementale.

On dit également que la LEN serait très gourmande dans ses exigences pour former un gouvernement conservateur avec les réformistes...