Présentation des hommages du nouveau Duc

Le nouveau duc d'Esse arrive au Palais de la Réunification, pour présenter ses hommages, à Sa Majesté.

François-Xavier II reçut l'hommage du nouveau duc d'Esse avec satisfaction.

Monseigneur, je tiens tout d'abord à vous transmettre mes plus sincères condoléances et mon entier soutien dans cette terrible épreuve.
Votre père fut l'un des plus grands serviteurs du pays et en particulier du Royaume de Chiron. On se souviendra de ses positions tranchées et de son tempérament explosif peu enclin au compromis. Il fut aussi une figure militaire qui initia la fortification de nos frontières. A ce titre, il recevra un hommage national dans la cour du Château Fredgard comme il sied aux dignitaires de nos armées.

J'ai, par ailleurs, une proposition à vous faire. Votre père était le Vice-Roi de Chiron, titre honorifique traduisant la représentation de ma personne au sein du Royaume de Chiron. Je compte nommer le prince Henri-Alexandre, chef de la Maison de Fricard, à cette charge. Son père et sa tante portèrent ce titre avant lui.
Aussi, après en avoir déjà discuté avec lui, nous avons convenu de vous proposer la fonction de Premier Conseiller, c'est-à-dire, chef du gouvernement.

Accepteriez-vous ?

Votre Majesté Impérial, merci pour vos paroles.

Notre père aurait apprécié et surpris de tous les honneurs, que vous offrez.

Nous sommes, Votre Majesté, une nouvelle génération. Le monde politique nous n’attire pas. Nos ancêtres ont saignés pour leur gloire et leur idéal chevaleresque. Aujourd’hui, notre société a besoin d’un redressement. Le monde des troubadours est fini.

Pour notre part, la démocratie, qui a été cher à notre père, a causé sa ruine, comme celle de la Nation. Lorsqu’un analphabète ou un crypto-edoranais peut dicter et de se prévaloir du travail, des vrais. Notre Nation est la ruine.

Nous déclinons de votre offre et nous vous remercions de votre gratitude. Pour notre part, la politique dans les paramètres actuels, nous intéresse pas. Nous n’avons pas à répondre de nos décisions, qui sont prises pour le bien de la Nation, surtout que nous sommes formés par notre naissance et par notre éducation dans les meilleures écoles.

Croyez-bien Monseigneur que nous sommes désolé de ce choix. Mais nous le respectons.