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L'ultime offensive

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Message par Nicolas Burgond 3/7/2007, 5:44 pm

Sur le front sud, en Tchécoslovénie, les belligérants se fesaient face depuis maintenant plusieurs semaines. Au nord, les Tchécoslovènes, mené par le Roi lui même. Au sud, la ligne de défense allié se composaient des armées Hongariennes, fort réduite depuis la bataille de Ratislava, Palonaise, Alémanienne, et surtout de l'Armée de l'Est d'Edoran, dirigé par le Général Burgond en personne.

Depuis plusieurs jours, les deux camps ne s'affrontent que par tirs d'artilleries interposés. Aucun combat direct, les deux armées, pourtant proche, semble attendre que l'autre fasse le pas. Pourtant, dans les quartiers généraux, les états-majors s'activent pour trouver la meilleur technique d'attaque possible. De nombreux espions sont envoyés, l'aviation sert surtout aux renseignements. Mais personne ne semble trouver la faille de la défense adverse. Des signes de lassitude commece a se faire sentir parmis les soldats, qui encaisse les coups à grosse dose de boulets, et qui ont l'impression de servir de chair a canon. Les pertes sont considérable, d'un coté comme de l'autre, et beaucoup de généraux enrage de voir ainsi disparaitre de "fièrs soldats inutilisés".

L'attaque viendra en fait des Tchécoslovènes, qui miseront tout sur l'effet de surprise. Depuis deux jours, les échanges d'artillerie s'était quelque peu calmé, des deux coté. Allant contre toutes les règles militaires, Ratislav lanca toutes ses troupes en un endroit très concentré, sans tir d'artillerie préventif pour affaiblir la position attaqué. Alors que tous les assauts des guerres modernes se sont fait après un tir de barage, affaiblissant les ennemis, mais révélant également le lieu de l'attaque imminente. La surprise fut d'autant plus grande que l'attaque eu lieu le soir, aux alentours de 21h.

L'effet de surprise escompté fut un succès incroyable. Les soldats Tchécoslovènes attaquèrent les premières lignes alliées, alors que les soldats fesaient leurs toilettes, écrivaient à leurs familles, voir commencaient déjà a dormir. Lorsqu'il furent avertit de l'attaque, ils eurent a peine le temps de s'armer, et de voir venir sur eux des troupes tchécoslovènes enragées. La première ligne de tranchées de la ligne de défense edoranaise (qui en comptait quatre), fut entièrement prise, renvoyant dans la deuxième ligne de tranchées, les soldats qui fuyaient le carnage.

L'état-major allié dut se réunir en urgence. On tenta tant bien que mal de gérer la situation, en prévenant rapidement els autres tranchés. Mais la percée était très localisé, et quelques kilomètres plsu au nord, comme au sud, on ne voyait aucun tchécoslovènes attaquer. Refusant de dégarnir les ailes de leur défense, les généraux edoranais prirent le risque de voir la percée aboutir. Mais les dégarnir aurait signifié un grand risque d'une avance beaucoup plus massive des armées de Ratislav.

Quelques minutes avant 23 heures, ont annoncé a l'état-major de l'est la chute de la seconde ligne de tranché, la percée fesait a peine 3 kilomètres de largeur. Mais si elle aboutissait, l'armée tchécoslovène pourrait prendre les autres tranchées alliées à revers, finnissant par les encerclé, et la victoire était certaine.

Le plan de Ratislav semblait être le suivant: encerclé, il devait a tout prit briser une ligne de front, afin de se dégager une sortie. Les troupes cohalisés autours du roi d'Azerop au nord le pousserait alors vers Edoran, ou il esperait aprocher assez près pour semer la panique, afin de forcer les gouvernement et l'Empereur a négocier une issu a cette guerre qui sans lui être favorable, ne lui serait pas trop défavorable.

Peut avant minuit, on annoncait au général Burgond que la troisième ligne de tranchait était tombait. Certains autres généraux préconisèrent alors une retraite organisé pour sauver une partie de l'armée, ce a quoi le général répondit: "Une retraite rimerait avec défaite. Nous ne sauverions qu'une infime partie de l'armée, et encore, ce n'est pas certrains. on, il faut tenir!" Le plan du général était de rassembler toutes les forces dans la dernière ligne de tranchée. On y avait fait monter les dernières divisions de réserves. En refusant d'envoyer des renforts dans les tranchées précédentes, le général savait que leurs chutes étaient certaines, mais il pouvait consolider a lors au mieu la dernière ligne de défense. Stratagème risqué, car s'il échouait, il signé la fin de toute l'armée, sans aucune issu de secours.

La quatrième ligne de tranché résista, ce qui eut pour effet de surprendre les Tchécoslovènes qui avait passer les trois autres lignes sans grands efforts. Les pertes étaient importantes, dans un camp comme dans l'autre. Mais quand on annonca au général Burgond qu'une tranchée était sur le point de céder, il s'exclama: "Impossible! Si une tranchée tombe, toute la ligne tombe! Donner l'ordre a toutes les premières ligne de tranché de lancer l'assaut!".

C'est alors qu'il fit une chose qui allait rester dans les annales militaires de l'Empire. Sortant du QG de l'état-major en trombe, prenant avec lui 4 soldats experimenté de la garde, il grimpa dans une automobile tout terrain Esse-Motor, et prit le chemin du front, à toute allure. Arrivant rapidement (le QG n'était qu'à moins d'un kilomètre de la quatrième ligne de tranchée), il se mit debout sur l'automobile, une torche a la main pour qu'on le reconnaisse. Il sauta dans la tranchée vidé de ses occupant qui en était sortit pour se battre sur le no man's land plus apte a ce genre de combat, ressortit, tel un soldat de base en grimpant de l'autre coté, et se lanca dans la mélée, tirant avec son pistolet, enhardissant ses hommes en hurlant: "Soldat Edoranais! Ne reculez jamais!" Voyant tant de soldats edoranis à terre, il aurait même criée du plus fort qu'il put: "Debout les morts!", et reprenant courage, les blessés allongés (plus certainement que les morts, comme le dirent certains), se relevèrent et reprirent le combat, comme enragés. La nouvelle que le Général burgond, commandant en chef de l'armée de l'est se battait avec ses hommes, se répendit rapidement, et galvanisa encore plus les troupes. Les corps a corps à la baillonette fesaient rage, et la vut de ce général, qui comme beaucoup aurait put rester à l'arrière, mais qui préférait se battre avec son épée et son revolver, plutot qu'avec un fusil et une baillonette, réchauffa le coeur et l'esprit des soldats, qui pour la première fois, revoyaient une lueur d'espoir.

La nouvelle se répendit comme une trainée de poudre. Trop concentré sur un point stratégique, les Tchécoslovènes avaient dégarnit leurs flancs. Et les contre attaques des autres fronts étaient des succès, les armées palonaise, alémaniennes et hongarienne s'enfoncaient dans les lignes tchécsolvènes comme dans du beure. La quatrième tranchée n'avait pas cédé, et ca n'était pas vain. Alors que les troupes Tchécoslovènes commencaient a battre en retraite, les soldats edoranais furent comme trancendé lorsque le général Burgond, l'épée tendu vers l'avant, un drapeau d'Edoran dans l'autre main bien haut pour que tout lemonde le voit, s'écria tel un forcené: "Tuez les tous! Tuez les tous!". Sa célèbre devise poussa les hommes au dela de leurs limite, et on regagna la troisième, puis la seconde, et enfin la première tranchée plus vite qu'on ne les avaient perdu, malgrès de lourde pertes.

La contre-offensive de cette défense en élastique fort risqué fut lancé bien au delà de la ligne de front de base. Le Général Burgond, blaissé à la cuisse et à l'épaule fut emmené de force à l'infirmerie, malgrès ses protestations et sa volonté de continuer la contre-attaque.
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Message par Pierre-Charles Ier 5/9/2007, 8:45 am

Le temps était très mauvais en Edoran depuis deux semaines. Les mers étaient en avis de tempête quasi constant, et une pluie incessante frappait l'ensemble des pays du St Empire.
Les champs de bataille de Tchéquoslovénie étaient devenus impraticables, ce qui arrangeait au mieux Ratislav qui voyait les troupes de la coalition cesser leur progression déjà rendue difficile par la hargne et l'ardeur des combattants tchéquoslovènes, rejoint par des hommes venus de divers pays. Des Alémaniens qui avaient pris par au combat du côté de Ratislav et qui avaient été fait prisonnier n'avaient eu droit à aucun des droits inhérents au statut des prisonniers de guerres. Selon un décret pris par le roi ils étaient considérés comme des traitres et devaient être abattu sur le champs.
Les mesures de rétorsions envers les familles des traîtres devaient dissuadés aux jeunes de partir combattre pour Ratislav mais malgré cela il y avait plus de 1000 combattants alémaniens dans les rangs tchéquoslovènes
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