Grande offensive

Républicains et royalistes c'étaient embourbés depuis plusieurs mois dans une guerre de positions. Cependant, le front républicain semblait se débander devant la longueur des conflits  et  surtout la rigueur de l'hiver belgrave.


Plusieurs volontaires républicains désertaient chaque jours...


À l'inverse, le jeune État romanien avait pu développer une relative économie qui avait apporter quelques revenus pour lever des troupes supplémentaires. Lorsque les effectifs seraient suffisants, une grande offensive avait été envisagée.

Le nonce arrive. Il vient au nom de Sa Béatitude. On raconte que la guerre est proche.

Volga a la mission d'avertir et de préparer l'évacuation des pontifes.

L'arme eslagnoles traverse la frontière.

Rapidement les divisions mobiles, qui sont constituées de chars d'assaut et de chars de missiles rentrent rapidement dans les terres.

Les routes permettent l'intrusion rapide. Les troupes sont transportés par des camions, qui ont une capacité de 100 hommes chacun.

Des avions et des bombardiers survolent le territoire. Les avions ont pour mission de permettre aux parchutises de sauter. Les parachutistes devront prendre le contrôle des villes et des villages, qui sont au bord de la route principale. Les bombardiers vont bombardés la capitale.

Cela fait 3 heures, que la guerre est déclarée, et la capitale brûle déjà.

On voyait la capitale de Belgarvie, Sinà, en feu. Les bombardements intensifs de l'aviation ont eu l'effet désiré.

La República avait négocié de nouveau la paix. Suite à cet accord, El Rey a décidé de retirer tout son Armée de l'ancien grand-duché.

Selon l'accord, la Belgarvie devra fournir tous les ans 50 millions d'edo en or, et fournir des ressources naturelles à moindre coût et en priorité.

Dans le retrait de l'armée, on pouvait voir la violence des eslagnols. Plusieurs bureaux administratifs sont brûlés, après avoir retiré les insignes de l'Eslagne.