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Message par Jean-Romain Gamorois 20/7/2007, 12:44 am

La nuit était tombé depuis quelques heures déjà sur Lucéra. Il faisait noir. D'épais nuages de pluie cachaient la lune et les étoiles, à tel point que lorsqu'il n'y avait plus de lenternes pour éclairer un pan de la ville, on n'y voyait quasiment rien. Cela faqisait plusieurs semaines déjà que Jean-Romain avait prit ses quartiers dans la ville. Et depuis tout ce temps, il n'avait eu de cesse de se faire ce qu'il appelait lui-même des "amis". Pour les recruter, car il s'agissait bien ici de recrutement, il avait zoné dans les endroits les plus louches de la capitale du royaume de Fransie. Bars illégaux, salles de jeux clandetines, opiumerie de seconde zone, troquets à prostitués, etc... Et bien sur, ceux qu'il avait trouvé étaient tous issu de ces milieux: anciens marins ruinés, marins tout cour prêt a tout pour prendre le large, aventuriers en tout genre, criminels, loubard, etc... La majorité étant tout de même issu, de pret ou de loin de la marine imperiale, ce qui n'était pas étonnant à Lucéra.

Ce soir était un grand soir, et ils s'étaient tous réunis dans une petite planque non-loin du port. Ils étaient une cinquantaine. Certains avaient une experience considérable dans la marine, a commencer par Jean-Romain, qui avait monté toute l'opération, et qui avait servit dans la marine marchande pendant 10 ans. Tous pensaient à ce qu'ils allaient abandonner. Famille pour ceux qui en avaient, femme aimante parfois, amis sincères, situation certe difficile, mais situation quand même... Mais tous pensaient encore pplus à ce qu'il allaient trouver. Jean-Romain, qu'ils considéraient déjà tous comme le chef de leur nouvelle bande, leur avait promis aventure, découverte de nouveaux horizons, richesses... Il venait de terminé d'expliquer une dernière fois la marche à suivre pour que tout ce déroule sans acros. Et après avoir fait une dernière référence à Ether, il leur dit:


_ Mes amis, allons y...

Tous sortirent au comte goute de la planque. Par petit groupe de 4 ou 5, ils se dirigèrent vers des endroits différents dui port, prenant milles précautions pour ne pas être surpris par une patrouille. Tous étaient armées, mais s'il se fesait prendre, l'opération risquait de tourner court. Jean-Romain prit la route qu'il s'était attribué, accompagné de quatres de ses plus fidèles. Il gardait son col relevé jusqu'au cou. Derrière lui, deux des quatres hommes tenaient fermement une jeune femme par le bras. Jean-Romain s'était résigné à emmener cette jeune fille de l hautre société qui n'avait pas voulu se présenté a lui. Evidement, il ne lui avait pas parler de son projet, et à cet heure, elle devaient surement penser qu'ils étaient en route pour la remettre a une autorité quelquonque.

Il arrivèrent sur un quai délabré, sans doute abandonné, auquel était amaré une simple chaloupe. Les cinq hommes et la femme prirent place à l'interieur. Jean-Romain s'assit à coté de la jeune fille, lui fit un signe du doigt pour lui intimer de se taire, et les quatres autres se mirent à souquer...



Le navire mouillait au large de Lucéra depuis quelque jours. Le trop grand nombre de bateau au port empéchait que tous puissent acoster en même, de fait, certains restait dans la rade, encré, et leurs équipages en descendait par chaloupe. C'était un torpilleur de la Marine Imperiale. Un petit batiment de guerre, d'une cinquantaine de metre de long, et de 6 de large. Il était armée de deux tubes lance torpille, un a l'avant, un à l'arrière, d'un canon de 65mm en chasse, et de 3 pièces de 47 de chaque soté. La plupart des membres de l'équipage était à terre. Sur la soixantaine de marin qu'il compte, seulement une petite vingtaine était à bord.

Jean-Romain et ses amis arrivèrent à quelques metres du batiment. Une dixaine de petite chaloupes encerclaient le navire. A l'heure convenu (3 heures 47), plusieurs hommes montèrent à bord du torpilleur. Tout y était calme. Ils se glissèrent sur le pont, sans faire le moindre bruit. Lorsqu'il apercurent la première sentinelle, il se cachèrent derrière un canon. Un qui étaient monté par l'autre coté du bateau s'aprocha du marin par derrière, à pas feutré, puis sortit une lame, et l'égorgea d'un geste si rapide, que le malheureux n'eut pas le temps d'émettre aucun son. Ils cachèrent le corp comme ils purent. Voyant qu'à priori, il n'y avait qu'un garde sur le pont, ils entreprirent d'entrer dans le batiment. Ils savaient que la plupart des membres d'équipage n'étaient pas à bord, mais il ne savaient pas combiens dormaient, ou combien veillaient. Ils ouvrirent la porte. Rien en bougea. Ils avancèrent de quelques pas. Rapidement, ils arrivèrent au poste de commandement. Deux marins s'y tenaient debout, face aux commandes, dos à Jean-Romain et ses hommes. Ils s'aprochèrent doucement, à quatre. Ils saisirent les deux, les plaquant à terre, les empèchant de criller par une main devant la bouche, et une lame convaincante sous la gorge. Jean-Romain interrogea le premier, en chuchotant:


_Combien d'homme à bord? Et où?

L'homme qui visiblement n'était pas un guerrier, lui répondit qu'il y en avait 18. Un sur le pont, un marinier de transmission de garde, 3 mécano de garde aussi dans la salle des machines, dix dans la soute en train de dormir, le capitaine dans sa chambre, son collègue à ses cotés et lui-même. Jean-Romain se gratta le menton, signe de réflexion, puis de la main, fit signe de les éxecuter. Ce qui fut fait.

Après quoi, tous se dirigèrent vers la salle de transmission. Le marin de garde dormait comme un loire, un livre peu recommandait par les prêtres etheristes lui glissant des mains. Jean-Romain fit un signe. Trois homme s'aprochèrent, un l'assoma, puis ils le ligotèrent, le baillonèrent solidement, et le cachèrent sous sa table de transmission. Ils déscendirent ensuite dans les soutes. Jean-Romain fit un sigenau groupe de se diviser. Les uns partirent vers les machines, avec pour consigne d'empecher les machinistes de fuir. Le reste du groupe descendit calment dans les soutes. Mais à peine entrèrent-ils qu'un des marins, sans doute ne dormait-il pas, hurla de donner l'alarme. Les coups de feu retentirent. Ce fut un véritable massacre. Les marins, sans arme, furent tous tué. On entendit ensuite des bruits plus profond dans le navire, les machinistes avaient sans doute entendu les premières détonations.

Soudainement, la porte s'ouvrit brutalement. Le capitaine, réveillé par les coups de feux, tira à bout portant sur deux des assaillants, et les tua sur le coup. Mais il recu rapidement deux balles, dans les jambes, ce qui eu pour effet de le calmer. Deux hommes le relevèrent, lui retirèrent son arme, le ligotèrent, et le baillonèrent. Lorsqu'ils remontèrent tous au poste de commande, ils furent rejoint par les trois machinistes bailloné et ligotés eux aussi, conduit par ceux qui étaient descenbu aux machines. On réveilla l'officier de transmission, d'un sceau d'eau sur la figure, ce qui eut pour effet de faire bien rire. Jean-Romain regarda le capitaine:

_ Capitaine, je prend le commandement de votre batiment!

Tous ses hommes applaudirent en riant. Puis il regarda les quatres autres prisonniers.

_ Messieurs, je vous propose un marché. Ou je vous embauche, ou je vous tue.

En guise de précision, d'une balle, il tua un des machinistes. Les trois autres firent un signe affirmatif de la tête.

_ Parfait. Vous verrez, vous vous ferez vite à votre nouvelle vie. Mes amis, vous savez ce que vous avez a faire! Au travail! Tous partirent dans différentes directions, chacun s'assignant un poste de travail. On balanca par dessus bord les dépouilles, mêmes celles des deux amis tués. On fit monter à bord la jeune fille qui avait était contrainte de les accompagner. Evanouit par un coup que l'homme chargé de la garder lui avait asséné sur le crane.

_ J'avais dit de ne rien lui faire!

_ Mais elle s'agitait trop chef.

Elle fut déposé dans la cabine du capitaine, et y fut enfermé à clef. On commenca à faire bruler du charbon dans les fours. On descendit le capitaine dans une chaloupe qu'on encra. On prépara une seconde chaloupe qu'on encra à coté de celle du capitaine. Puis, quand tout fut pret, sans avertissement, le torpilleur se mit en route à pleine vitesse vers la sortie de la rade, il fallait faire vite. Il fallait prendre le large avant qu'on prenne en chasse le navire. Heuresement, les cales étaient pleine de charbon et de vivre, et les torpilleurs étaient les bateaux les plus rapides de la marine. Le navire sortit du port. Sur la seconde chaloupe, les mèches lentes rallongés finirent de consumer, et se fut au premières loges que l'ancien capitaine du navire put voir la vingtaine de fuser éclairante s'élever vers le ciel, et éclairer le port de milles feux, accompagné de détonation tonitruante. Au même moment, il entendit les cornes de brumes de son ancien navire qui saluaient le feu d'artifice.

A bord, c'était la joie et la fête. Chacun se congratulaient, se serraient dans les bras, on déboucha quelques bouteilles de rhum, mais sans perdre un instant, car il fallait filler au plus vite.

Dans sa chaloupe, l'ancien capitaine était livide. Les secours n'allaient pas manqué de venir le chercher. Il serait couvert de honte de n'avoir sut défendre son navire. Il ne pouvait décoller ses yeux baigné de larme du drapeau qu'on avait fixé sur sa chaloupe, et qui flottait au grès du vent. Il ne cessait de se répéter le même mot à demi voix...


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