Au siège social de Petro-Esse

Le Directeur Général de la Compagnie Sabrevoix, Louis de Merville demanda à rencontrer le Directeur Général de Petro-Esse.

La secrétaire fit rentrer le directeur Sabrevoix.

- Bonjour, monsieur ? Que puis-je pour vous?

Bonjour Monsieur Silva, la Compagnie Sabrevoix souhaiterai se porter acquéreur de vos mines de minérais en Micrarctique. Ou tout du moins avoir la concession exclusive d'exploitation.

Le directeur

- Vous offrez quoi ?

- Notre première offre est de vous acheter les mines de minerais pour 600 millions d'edo.

Le directeur est partie à rire.

- Vous souhaitez que je sois licencié? Votre offre n'est pas avantageux pour nous.

Nous y ajoutons 30% de la future filiale qui exploitera les mines, y compris les mines fransiennes de la Société d'Armement Burgond Sabrevoix. Vous gagnez donc deux fois sur vos mines.

Qu'en dites vous ?

Nous refusons. Pour nous, cela n'est pas avantageux. Vous devez comprendre, que votre entreprise nous coutera une certaine somme. Nous devrons assurer votre sécurité.

Quelle sécurité ?

Monsieur, nous avons une entreprise de sécurité qui fera l'affaire.

Je modifie donc ma proposition.

Petro-Esse nous vend l'ensemble de ces mines du massif du Mont Philippe-Alexandre à l'exception de la mine de charbon.

La Compagnie Sabrevoix vous vend 100% de Sabrevoix Tourisme et 80% de Sabrevoix Santé.

Vous avez acheter la concession Uvrer pour 900 millions. Même si l'on retire votre base, le pétrole et le charbon, nous vous offrons plus avec ces deux entreprises.

Nous assurerons notre propre sécurité, ce qui vous fera en plus beaucoup moins de frais, vous êtes encore gagnant.

Juste entre nous, sachez également que Edorails augmentera ses tarifs pour le transport des marchandises en Micrarctique. Ce qui risque de vous coûter énormément.

Le directeur était retombé sur sa chaise.

- Nous avons déjà un contrat de sécurité avec vous. Vos supérieurs vous ont mal informé., Je trouverais intéressant d'échanger pour 25% d'Edorail.

Cela ne change pas le fait que vous n'aurez plus à payer pour la sécurité.

Nous ne céderons pas 1% d'Edorails.

Vous refusez ma proposition ?

-Monsieur, vous devez comprendre. Je dois rendre des compte à mes supérieurs. Ils ne sont pas intéressé à la santé. Nous avons déjà notre entreprise, et elle répond à nos besoins. Le tourisme ne fait pas partie de notre secteur d'activité. Notre rôle est d'offrir des liaisons de transport de personne et de marchandise.,

Avec ses informations, vous devez comprendre que ses deux entreprises, comme vos hôtels ne sont pas de notre intérêts.

Je le conçois, mais c'est tout ce que j'avais à offrir.

Je vous remercie. Je vous laisse pour me rendre à la réunion du Conseil d'Administration de notre Compagnie.

Monsieur, nous sommes prêt à la place d'échanger avec Burgond-Sabrevoix. Désolé, je suis limité. Votre entreprise développe des domaines, que nous n'avons pas d'expertise. Et depuis la dernière crise financière, les directives sont claires. On investis dans les domaines, que nous avons des experts économiques et qu'on connaît le marché. Donc les hôtels ou la construction, nous ne connaissons rien.

Très bien, je comprends très bien. Vous n'avez pas d'intérêt à nous achetez ce que l'on vous propose, et nous n'avons pas d'intérêt à vous vendre ce que vous voulez. Vous devez être heureux, vous gardez vos mines.

Au revoir, Monsieur.