Amendement à la loi économique carvaniste

Otto von Adler

- Je dépose le suivant projet d'amendement à la loi. L'abolition de l'article sur le salaire minimum au Titre IV – Des entreprises, des syndicats, du travail:
Le salaire minimum est de 5 édos/h. Il peut être relevé par les gouverneurs, mais ne pourra excédé 7 édos/h

Robert Bourque

- Je félicite le gouvernement. Il a su intervenir rapidement et à calmer les inquiétudes des marchés financiers.

Un député PDE, Martial Lanchet, demanda s'il ne valait pas mieux modifier l'article plutôt que de le supprimer.
- Nous pourrions augmenter le salaire minimum de manière conséquente.

Le PDE dépose l'amendement suivant
Le salaire minimum est de 5 édos/h. Il peut être relevé par les gouverneurs, mais ne pourra excédé 7 édos/h

est remplacé par

Le salaire minimum est de 10 édos de l'heure

Robert Bourque

- Il existe déjà une loi sur la question.

vous n'aviez rien dit à M. Langenay à ce sujet à l'époke. Si c'est cela ki vous ennuie le PDE déposera un amendement visant à modifier cette loi.

Une fois de plus le PDE veut tuer l'économie d'Edoran.
Le PI est opposé à cet amendement du député Bourque. Comme c'est facile d'accuser l'ancienne majorité quand on a voté la loi. Le RDCC est décidément un parti incompréhensible qui n'a aucune vision de l'avenir. pauvre Empire

Boris von Adler
- Messieurs. L'UC a caché que la le projet parlait du salaire minimum. Nous devons travailler tous ensemble pour éviter la crise. S'il y a trop de débat, le marché va paniquer.

Evidemment quand on ne permet pas aux députés de discuter un texte... Le président Duceppe l'a mis au vote directement. Le RDCC n'avait pas du lire le texte de la li déposée par le gouvernement.

Robert Bourque

- Même, je n'avais pas lu. Le ministre de l'époque nous parlait de la taxation et du conseil social-économique.

Vous votez des lois sans mêmes les lire !! Nous vous promettons une sérieuse défaite lors des prochaines élections. Quand le grand public le saura, cela fera un très bel effet.

Philibert s'exprima sur ce point.
- Nous ne soutiendrons pas le gouvernement sur un changement de texte. La loi a été votée légalement par les deux chambres. Vous dénigrez le travail des parlementaires.

Boris von Adler
- Votre Altesse, vous avez menti à la Diète. Pourquoi avoir proposé une loi qui diminue le salaire minimum ?

Nous n'avons jamais menti !! la loi était ce qu'elle est. La loi proposée par M. Langenays était claire et nette. Si vous ne la lisez pas, vous faites très mal votre travail.

Robert Bourque

- Pourquoi n'avoir pas avoir souligné lors de vos discours ? Pourquoi avoir proposé cet élément ?

Il ne tient qu'au gouverneur de le mettre à 7 édos

Boris von Adler
- Et après ? La loi limite. Elle ne prévoit rien, aucune future hausse. La loi du salaire minimum existe déjà. Le ministre allait débuter des discussion pour une future hausse.

Rien n'empêche le ministre de faire son travail monsieur le député. Mais comptez vous resortir toutes les lois précédentes et accusez nos ouvriers d'être des dangers?

Boris von Adler

- Je ne suis pas le ministre. Mon frère Otto est ministre. Je ne dis juste que l'article est mal écrite. La loi actuelle du salaire minimum respectait les règles. Je pose encore la question. Pourquoi avoir proposé cet article à l'époque?

Il faut poser la question au ministre concerné

Robert Bourque

- Votre Altesse, vous étiez le chancelier. Monsieur Langenais n'est plus. Mais vous êtes là.

Boris von Adler
- Si le chancelier voulait augmenter le salaire minimum, son ministre aurait pu décréter après consultation. Pourquoi est-ce qu'il abaisse pour raugmenter ?

Le gouvernement carvanosite avait un plan. Il voulait créer une crise sociale te économique. Il a réussis.

Nous y voilà. Vous accusez le gouvernement que j'ai présidé d'avoir sciemment organisé une déroute financiaire de l'Empire? Nous aurons tout entendu ici.

Robert Bourque

- Alors répondez aux questions.

Cette décision a été accepté par le gouvernement. Aucun membre ne se reniera. Il n'a jamais été question de créer un problème économique. Vous avez décidé qu'il y en aurait un, mais je vous signale que nos entreprises payent nos ouvriers plus que le salaire minimum.