Visite du duc d'Esse à Carnavon

Une voiture arrive dans la ville de Bourdeleau. Le Duc dans sa belle voiture accompgé de son aide de camp veut rendre visite à son associé. Pour lui, qu'il est le PDG de Carnavon Aerotransport. Qu'il peut débuter la construction d'un siège social, ici.

Il arrive devant la résidence, et voit Carnavon.

- Ami, ne soyez pas inquiet vous aurez du temps pour notre projet.

Guillaume semblait inquiet par son ami.
- Que se passe-t-il?
- Mon épouse est malade, très malade et les médecins ignorent de quoi elle souffre. Je suis mortellement inquiet.
- Si vous avez besoin d'aide mon ami je suis là.
- Merci beaucoup.

Le Duc se tourne vers son aide de camp.

- Parts vite à Confolens. Demandes que les meilleurs médecins viennent ici, je paierais leurs déplacements.

Puis-je voir votre femme ? Je lui parlerais de votre nouvelle entreprise. Elle sera fière de voir son mari réaliser de projets, si merveilleux.

Bien entendu vous pouvez la voir. Elle appréciait beaucoup votre mère

Quand il arriva dans le hall, ce matin là, Guillaume vit descendre Philibert, blanc.
- Mrci pour votre médecin mon cher Guillaume. Hélas il parait assez pessimiste. Il pense à une fièvre tropicale.
- Tropicale?
- Oui bien qu'elle ne soit jamais allée dans nos colonies, votre docte médecin a bien reconnu les symptômes de la Febris Bonae Spei mieux connues sous le nom de Fièvre de bonne-Espérance. Elle a peu de chance de s'en sortir hélas.
- Si vous avez besoin de quoi que se soit, je suis là.
- Merci mon cher ami, vous avez déjà fait beaucoup. Elle a été heureuse de vous voir hier soir. Elle vous aconnu tout petit. De voir le beau jeune homme que vous êtes devenu, celà l'a rendue fière.

Augustine arriva en courant et en pleur...
- Monsieur, Monsieur, madame se meurt.

Aussitôt Philibert suivit de Guillaume se précipitèrent à l'étage.

Le médecin les attendait devant la porte.
- Je ne puis plus rien faire hélas, son état est très grave. Il ne lui reste que très peu de temps.
- Quand je pense que mes enfants ne sont pas là.
- Où sont ils? demanda Guillaume.
- A Allancia, pour leurs études. Ils doivent être dans notre hotel particulier.

Guillaume descendit la volée d'escalier et en sortant cria que l'on démarre pour la capitale.

Guillaume revient avec les enfants et des médicaments récents et innovateurs.

Le médecin resorti de la chambre.
- Alors docteur?
- Son état est stabilisé. L'effet conjugué des médicaments et des enfants semblent l'avoir aidé. Néanmoins j'aimerais qu'elle soit mise sous surveillance constante pour l'aider à s'en sortir car rien n'est gagné.
- Quelles sont ses chances?
- Meilleures que hier mais je dirais encore 60/40 de s'en tirer. Les prochaines heures seront décisives.

Philibert entra dans la chambre que les enfants venaient de quitter.
- Hortense, mon Hortense, comment allez-vous?
- Philibert tu me tutoie maintenant?
- Oui pour ne pas avoir pu agir comme l'a fait Guillaume, j'ai honte...
- Il ne faut pas... mais tu es tout pâle. Je ne veux pas te voir si tu es dans cet état. Vas à la capitale, va travailler. Je ne pourrais pas te voir te décomposer pour moi en restant ici. L'idée de te revoir ce soir me donnera de l'espoir pour m'en sortir. Va...
- Mais Hortense, tu es ici... malade, je dois veiller sur toi.
- Va grand sot. Et emmene Guillaume avec toi, ca me rassureras de savoir ce beau jeune homme en ta compagnie.
- Hortense...
- Philibert, c'est un ordre saperlipopette.

Penaud, Philibert quitta la pièce et retrouva Guillaume

Philibert revint au chevet de son épouse.
Le médecin semblait confiant désormais, Hortense s'en sortirait