Bal en l'honneur de la délégation francovare

Les premiers invités arrivaient à la réception et commençaient à descendre les premières coupes de Chantrézac.

C'est l'Impératrice-Mère Iraïna et la princesse Marie-Apolline, sœur de l'Empereur qui furent les premiers membres de la famille royale à se montrer.

Le Feld-Maréchal arriva en grand uniforme au Palais de la Réunification. Il était accompagné de son épouse, Aliénor, ainsi que de son fils, le nouvellement promu Lieutenant-Colonel Grégoire de Hauteville. Il était venu avec son épouse, la princesse Eugénie, fille de feu le Duc d'Auclair.
Constance de Hauteville, juriste au siège de la Compagnie Sabrevoix, célibataire, fille de Charles, était également au rendez-vous.

Quelques minutes, et pas une de plus après l'arrivée des premiers invités le Grand chambellan de la couronne impériale Brindoise en accord avec la maison de l'empereur annonça l'arrivée de l'autocrate dans la salle de Bal.

Grand chambellan :

- " Hum hum *le chambellan donne trois coups de bâton sur le sol* Sa Majesté, l'autocrate et Empereur de Brindas Tommen 1er de la Maison Delfrous, Hum hum Son Altesse Royale et impériale le Prince hériter de Brindas Tommen de la Maison Delfrous "

Ce fut donc l'autocrate et son fils qui furent introduit dans la salle, tous deux en tenues militaire blanche et rouge de Commandant suprême de l'armée Brindoise, effectivement le régime des delfrous reposant principalement sur l'armée tous les membres de la famille à l'exception des femmes occupe des grades militaires, on remarque néanmoins que les deux hommes portent également la croix de Saint-Jacques II ordre commémoratif de l'ancien roi D'Ostaria Jacques II ainsi que le grand cordon jaune or de l'ordre de l'aigle jaune.

Charles de Hauteville se présenta à L'Empereur de Brindas.

Mes hommages, Votre Majesté. J'espère que vous appréciez votre séjour en Edoran. Étant à la tête de l'Armée du Saint-Empire, je suis particulièrement intéressé par le fonctionnement militaire de la Francovie et de ses Clans. Avez-vous une armée propre ?

L'autocrate salua Hauteville avant de lui répondre après avoir pris une petite gorgée de Chantrézac.

Tommen 1er :

- " Dans les formes légales nous ne disposons pas d'armée propre ou du moins cela dépend du clans, par exemple chez nous au Brindas, l'armée impériale et en théorie purement décorative et n'a pas d'existence légale, l'armée du roi de Francovie étant la seule " existante" d'après la loi dans le pays, par contre nous avons la particularité de disposer d'un système policier propre à chaque clans. "

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Eugénie de Sabrevoix, princesse de Palogne, présidente de la Compagnie Sabrevoix et ministre des affaires étrangères, arriva au bal.

Elle était naturellement accompagné de sa compagne, Maria de Monardes, baronne eslagnole de Letosa.

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Le Héraut annonça :

Leurs Majestés Impériales Charles IV, Empereur d'Edoran et Marie-Amélie, Impératrice d'Edoran !

Le couple impérial arriva, comme de tradition, après que la plupart des invités soient arrivé.

Il saluèrent tout le monde petit à petit et s'attarda à discuter avec les francovars. Les invités d'honneur. Le souverain, chef d'Etat, et 3 chefs de clan.

Il eu un mot pour Le Cam, qui ne paraissait pas à l'aise, et lui parla de l'admiration que Charles avait pour Archimède Parmentier.

Puis il salua Paul II.

- Sire, j'espère que la réception vous plait. Après quelques verres, vous vous trouverez comme à la maison. Ici, sous les ors de l'Empire, nous n'aspirons qu'à être de joyeux compères. C'est dans ces conditions que les amitiés se scellent et que les coopérations naissent !

Antoine De Courvoisier était arrivé discrètement au cours de la soirée, il observait les invités depuis le balcon puis se fondit dans la masse.


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Le Feld-Marechal remercie l'autocrate de Brindas pour ses renseignements sur l'armée.

Hauteville espérait parler de coopération militaire avec le Roi de Francovie. Et se dirigea donc vers le souverain.

Votre Majesté, mes hommages. J'aurais aimé avoir des information sur votre armée, ses effectifs et son organisation. Pouvez-vous m'en dire plus ?

Le Roi salua à son tour l'Empereur :

- "Je suis persuadé que nous travaillerons efficacement ensemble. L'alliance Francovie-Edoran et plus globalement la Grande Alliance permettront au Micromonde de rester en paix et de faire progresser le bonheur de nos peuples."

Salué à son tour par le Feld-Maréchal, le Roi Paul II apprécia discuter du sujet militaire qui lui tenez à cœur, lui l'ancien général :

- "L’état de notre armée, j'en ai bien peur, est en reconstruction.
A cause des jallanistes notre flotte, notamment notre unique Porte-Avion a été détruit. 

Cependant peu à peu notre armée se reconstruit, je compte bien cependant augmenter les dépenses militaires, le gouvernement est d'accord en plus, face au danger piréen.

Il est même possible que nous continuions d'acheter de l'armement à votre pays en plus de notre investissement dans le domaine spatial.

En ce qui concerne nos effectifs, vous pouvez en connaitre la nature ici : http://francovie.1fr1.net/t1704-armees-de-francovie

Votre Majesté, sur le plan spatial, accepteriez-vous qu'un francovar fasse parti du prochain équipage à se rendre sur la station spatiale édoranaise ?

Pour ce qui est de votre armée, nous aimerions participer à sa reconstruction. Peut-être par la vente de matériel, certes, mais aussi, si vous l'acceptez, par de la formation. J'entends par là l'intervention d'expert édoranais en Francovie, mais aussi l'accueil d'élève francovars dans nos écoles militaires. Qu'en dites-vous ?

Le Roi Paul II était tout sourire :

- "La Francovie n'a jamais envoyé un micronaute dans l'Espace, ce serait génial de faire cette première dans les prochaines semaines !
Pour la formation c'est aussi une très bonne idée. Nous avons aussi une académie militaire mais disons qu'elle doit se construire une légitimité, je crois qu'envoyer des officiers dans votre pays serait une bonne chose mais peut etre que l'inverse serait aussi le cas non ?
Nous pourrions mettre en place un cursus entre nos deux académies principales, cela profiterait à tous.

En tout cas je suis persuadé qu'un bon nombre de nos jeunes officiers voudraient aller dans votre pays."

Le Général de Barnenez étaient à quelques mètres et la conversation attira son attention. Il murmura :

Très bien un Francovar, il reste encore cinq membres d'équipages à trouver.

C'est parfait, Majesté. Nous échangerons des élèves-officiers. Je verrais ça plus tard directement avec votre ministre ou votre Maréchale.