Attaque!

par **Maison de Traceau** 21/4/2009, 7:12 pm

Alfred-Auguste regardait au loin Allancia et sa banlieue. Alfred-Auguste en avait assez d'attendre aux portes de la capitale.

25 000 soldats étaient là, attendant ses ordres, supportés par près de 2500 artilleurs et 5000 cavaliers.

Il était maintenant 14h30. Alfred-Auguste regarda une dernière fois la ville et leva la main en signe d'attaque.

Canons et obusiers se mirent alors en marche, pillonnant la ville.

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par **Maison de Traceau** 21/4/2009, 8:47 pm

Alfred regardait son artillerie pilonner la ville lorsqu'un militaire s'approcha.

Majesté,

Le général est libre et veut vous rencontrer...

Alfred: Bien faîtes le venir...

par **Alceste-Aubin Gréban** 22/4/2009, 1:41 pm

Les Officiers du Commandeur seront, durant l'attaque, confronté à un phénomène inattendu, mais sommes toutes logique, le sabotage.

Quelques canons, par l'action discrète de soldats acquis à la cause républicaine, seront ainsi rendus hors d'usage. Bien que très marginal, et finalement sans conséquences primordiales sur le dénouement des évènements, le sabotage est révélateur d'un fait : les républicains sont partout.

par **Maison de Traceau** 22/4/2009, 6:24 pm

Les saboteurs furent capturés, mais certains s'enfuirent. Décidément, cette racaille était partout. À 17h, après deux heures de bombardement intentifs, l'Empereur ordonna la prise dela ville.

L'infanterie charge au sabre et a la baillonnette...

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par **Nérée Le Noblet Duplessis** 22/4/2009, 6:36 pm

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L'arrivée et surtout la surprise furent de taille... en effet, commandées par le sieur de Villeurban de Chalent, les troupes coloniales édoranaises firent leur apparition sur le champs de bataille. Les Colonies n'avaient pas oublier le commandeur. Près de 7000 hommes puissamment armés et très bien entrainés arrivaient en vue de Allancia pour renforcer les troupes du Commandeur. Leur haine de la République allaient en faire des ennemis redoutables. On leur avait dit que les Républicains étaient tous merxistes, qu'ils mangeaient les enfants et allaient violer leurs filles et femme.

Cavaleries, artilleries et infanteries avaient débarqué de nuit et avaient avancé très rapidement, prêtes à combattre la racaille républicaine.

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