Mouvements de troupes

Dois-je rappeler à tous ces maréchaux que seule la Diète peut déterminer d'un déclenchement d'un clonflit offensif?

En effet mais pour mettre fin à l'anarchie markiste, nous devons soutenir cette décision de l'Empereur

et bien votons alors. Notre allié a besoin d'aide, c'est notre devoir de l'aider

Pour ! Bien entendu !

faisons ca dans les règles malgré tout

dans les règles mais notre armée est déjà prête à attaquer !! Votre politique est criminelle,scandaleuse et anticonstitutionnelle

Sur les bancs de l'UNE, on applaudit le discours du chef de l'UBE...


CARNAVON DÉMISSION!!!! CARNAVON DÉMISSION!!!!

Robert Bourque se lève.

- Mes Amis. Aujourd'hui, nous votons sur une question importante. Edoran vit et est bâti sur un système de justice et de droit. Nous vivons aussi dans un esprit de solidarité nationale. Cette guerre, que certains disent injuste, a un but. Son but est de défendre des vies. Cette nouvelle république a tué et massacré des gens de notre chaire. Des edoranais, qui vivaient paisiblement, ont été tué, car ils étaient des étrangers.

- Pour leur mémoire, il faut qu'on s'assure de la sécurité de tous edoranais. Un edoranais ne mérite pas de mourir en raison de son origine, de sa religion ou de son idée. J'appuie cette guerre, car ma sœur a perdu, un beau-frère dans les massacres. Je suis sur que vous plusieurs de vos commettants avaient des membres de leur famille, dans cette région. Vous allez leur dire quoi demain ? Réfléchissez. Cette guerre n'est pas juste du premier regard, mais elle a une raison d'être dans son fond.

Messieurs, un mal encore plus grave guette notre empire, que le massacre de citoyens innocents.


Un peuple qui sacrifie un peu de sa liberté au profit de sa sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre. Demain, que direz-vous à nos citoyens que la Suprême Constitution d'Edoran n'est qu'une vulgaire feuille de choux avec laquelle les élites se font une soupe...


Non, monsieur Bourque. Ce n'est pas le Pojarski qui constitute une menace, mais les dérives anticonstitutionnelles et autoritaires du régime.


Monsieur Bourque, n'êtes-vous pas le défenseur de la constitution ou cela uniquement quand cela est à votre avantage pour bloquer nos projets de lois?


Monsieur Bourque, que direz-vous aux Moldaviens qui ont vu en le Tsar une menace à leur monarchie. Lysimaque de Chinisau est-il déjà oublié? Pensez-vous qu'ils voudront perdre leur vie pour le Tsar?

Robert Bourque se lève.

- Vous parlez des Moldaviens. Cette république a tué des Moldaviens aussi. Je demande qu'on vote une motion. J'invite la Diète a appuyé cette intervention. Pas pour le Tsar. Mais pour les gens, qui ont perdu des membres de leurs familles, car une république, qui se dit défenderesse du Peuple, a massacré des citoyens, des travailleurs, car ils étaient étrangers. Nous avons condamné les attentats du MRA. Pourquoi nous ne condamnons pas les crimes de cette république?

Et la constitution, dans tout cela?


Et pourquoi changer une mission humanitaire en mission militaire?

La République illégitime proclamée par Pojarski en Transvalachie a tué des chironais, des moldaviens, des hébraïtes, des noordzeelandais et des russlaves, innocents, de nouveau-né à vieillard. Les soldats de cette république et les soldats décadents de Pojarski ont attaqué la mission humanitaire de notre Marine. Et ils ont hier pénétré le territoire moldave pour commettre une nouvelle exaction ! Oui ! Sur les terres du Saint-Empire !

Nous avons une obligation de se défendre et de défendre les citoyens du Saint-Empire ! Nous ne pouvons laisser une poudrière à nos frontières qui ne demande qu'à piller nos demeures et violer nos femmes et nos enfants !

Vous êtes contre cette opération ? Vous donc pour ces massacres qui perdurerons si nous ne faisons rien !

Des hommes, des femmes et des enfants meurt à quelques kilomètres de l'autre coté de nos frontières, pouvez-vous, Monsieur Uvrer, vous regarder dans un miroir en y pensant et en disant que l'on ne doit rien faire ? De plus, des hommes, des femmes et des enfants mourront en Moldavia si nous n'éliminons pas cette menace. Nous viendrons en aide aux populations qui ont déjà trop souffert. Les rebelles seuls seront la cible de nos fusils. L'exemplarité de l'Armée du Saint-Empire n'est plus a faire, honte a vous qui remettez en doute cette qualité et prétextez une barbarie édoranaise !

Robert Bourque se lève.

- Monsieur Léandre Uvrer, vous avez raison dans vos arguments. Mais vous avez oublié une chose. Vous avez déclaré : «Il est de notre devoir, à chaque instant, d'assurer la sécurité de nos concitoyens, c'est là une évidence.» Et oui, cette guerre est pour sauver des vies de nos citoyens. Je le redis. J'ai perdu un membre de ma famille. Qui va garantir la sécurité de leurs enfants, qui sont encore edoranais? Sauf, si vous les considérez comme des citoyens de troisième ordre?

Une fois de plus Edoran l'impérialiste va aller faire la guerre à un peuple inoffensif. C'est honteux !! Nous sommes dirigés par des voleurs et des krapules

Robert Bourque se lève offusqué.

- INOFFENSIF INOFFENSIF!!!!!!!! MERDE ILS ONT TUÉ DES TRAVAILLEURS EDORANAIS PACIFIQUES ET INNONCENTS

Nous ne faisons pas la guerre à un peuple inoffensif, mais une à une soldatesque génocidaire !

Monsieur Uvrer avait peur de voir sa province mal protégée pendant la guerre froide il y a quelques mois ! Mais maintenant que sa province n'est plus menacé, il se moque des autres. Sous couvert de quelques pacifisme, il se refuse à nous voir protéger les chironais et moldaviens de Transvalachie.

Peut-être devrions-nous laisser Pojarski et ses criminels s'expendre jusqu'au littoraux espérantins pour avoir votre assentiment !

cette guerre est de toute façon illégale. Vous prenez bien trop de libertés avec la constitution. L'UCE devient un parti despotique.

Nous avons été attaquer par une entité étrangère, nous ripostons ! C'est on ne plus légale !

Monsieur Uvrer, c'est exactement ce que nous faisons, nous poursuivons nos agresseurs là où ils sont. Et je vous garanti que nos cibles sont militaires, et qu'aucun civil ne devrait être tué !

Maintenant, Messieurs les Députés, pendant que nous parlions, Pojarski a réunit une grande armée en Petite-Russlavie et vient au contact de nos troupes déjà bien avancées, je retourne dès maintenant en Moldavia. Mon suppléant, Monsieur de Merville parlera en mon nom et au nom de mes partisans, qui sont des partisans du Saint-Empire et qui ne veulent pas sa mort comme vous !

Cette guerre est inutile. Que faisons nous en Transvalachie? Aidez des forces ennemies. Les Russlaves n'ont qu'à se débrouiller seuls. Nous n'avons pas à nous meler de ce qui ne nous regarde pas.