Retour de Turcosie

*Dans les rues d'Allancia, la foule grossissait a vue d'oeil, et chaques minutes qui passaient voyaient son nouveau lot de curieux et d'enthousiastes. Depuis plusieurs minutes déja, la nouvelle s'était répendu. Le Général Burgond était de retour a Allancia, avec une partie de l'armée, et parraitrait-il, l'ex-Sultant Saladin lui-même. Il faut dire que depuis l'annonce par la presse de la victoire en Turcosie, Nicolas burgond jouissait auprès des foules d'une popularité toujours plus grandissante... Un gamin de la rue accoura alors d'en dehors de la ville en criant a tue-tête qu'ils arrivaient. Et ce fut tout d'abort une colone de soldat qui entra dans la ville, applaudi et salué par tous, ils étaient conduit par leurs officiers. Ils étaient suivit d'une voiture a ciel ouvert, dans laquelle chacun reconnu le Ministre Burgond. Tous l'aclamère. Il avait gardé pour l'occasion son uniforme de Général et saluait maladroitement la foule, peu habitué a tant d'enthousiasme. Suivait derrière sa voiture une autre colone de soldat, qui entourré une voiture cette fois beaucoup plus gardé, et qui semblait détenir un prisonnié, au vu des taules qui en renforcé la construction, et des petites fentes qui lui servait de fenetre. Tous comprirent qu'il s'agissait la de Saladin, et les foules huèrent son passage. Nicolas Burgond donna ordre de conduire le prisonnier dans les cachots impériaux, et il se dirigea, toujours accompagné de ses Généraux qui le suivaient vers le Palais de la Réunification. Lorsqu'il y arrivèrent, Nicolas Burgond, descendit de sa voiture, et marcha jusqu'a l'Empereur qui attendait sur le parvis du Palais. Il monta quelques marche, puis, arrivant devant l'Empereur, il s'agenouilla, et lui tendit le symbole du pouvoir Turcose, le sceptre du Sultan, en disant:*

Vostre Majesté, Nous sommes icy pour Vous dire qu'enfyn, Nous sommes de restour avec l'armée Imperial après avoir vayncu les troupes rebelles en Turcosie. Vostre Majesté, c'est avec joye et fyerté que Nous Vous remettons les symboles du pouvoyr Turcose. Vos soldats se sont vaillement basttu, Vous pouvez êstre fièr de leur courage et de leur amour pour Vostre Imperial personne et pour leur Pays...

Dans les premiers rangs, on ne manqua pas de remarquer la présence du Duc de Clermont. Il faisait de grand geste, en exhortant ses domestiques de lui faire plus de place. Ainsi les pauvres bonhommes poussaient les badauds afin que le Duc puisse respirer comme il se doit.

Langeain de Pouillac avait toujours aimé les défilés militaires. Tous ces hommes en armes et en tenues d'apparat avait quelque chose, pour lui, de follement excitant. D'une main frêle il saluait les troupes, en lançant de larges sourires. De sa douce voix, quelque peu efféminée, il lançait de petits cris :

"Bravo ! Vive l'Empire !"

Lors du passage de son ami Nicolas Burgond, il applaudit chaleureusement. Il avait désormais une vision trés romantique de ce ministre prometteur. Dans ses habits de Général, il était tout à fait exquis.

"Balthazar, nous te conjurons de nous rappeler as convier cet ephesbe as notre table dans les plus brefs deslays..."

*Nicolas sourit au Duc de Clermont. Il était fier de ce qu'il avait accomplit, fier, pour lui même, mais surtout fier pour l'Empire... Il releva la tête vers l'Empereur, attendant une déclaration de sa part*

/Prend les symboles turcoses et pose sa main sur l'épaule de Burgond./


Vous avez servi, admirablement, votre pays et votre empereur. L'Empire vous est redevable.


/Puis relevant Burgond/


Peuple d'Allancya, nous vous pressentont Nicolas Burgond, Vaynqueur des Turcoses! Acclamez-le!

*Le peuple hurla sa joie et sa fierté. De partout, des cris fusés: "Vive Burgond!!!", "Vive le Général!", "Vive l'Empire!"... Nicolas Burgond ne savaient plus trop quoi faire, mais il était fièr d'être de ce peuple. Il se tourna vers la foule qui continuait son ovation, et fit un geste de la main qui fut acceuilli par encore plus de ferveur. Aux yeux de tous, Nicolas Burgond était aujourd'hui devenu, après l'Empereur, le protecteur d'Edoran...*

Le ministre, face à la foule, goûte aux joies d’un triomphe bien mérité. Le colonel HOLEG, grand officier de musique, levant par dessus sa tête son imposante canne d’apparat indique que le premier régiment de fanfare de la garde est prêt. Le silence se fait !

La garde, faisant face à l'Empereur, se met au garde à vous.

Sur l’estrade placée au centre des musiciens, le célèbre chanteur Placide DOMINGUE apparaît. Dans un synchronisme parfait, musiciens et chanteur entonnent l’hymne de l’Edoran que la foule, la main sur la poitrine, reprend en chœur.

« Os Esdosran, Os mesre chesrie,
À Vous nos cœurs et nostre voslonté !
À Vous nostre sang, ôs Patrie,
Nous le jurons tous, Vous vivrez !
Vous vivrez toujours grande et besle
Et vostre invincible unité
Aura pour devise immortesle :
L’Empereur, la Loi, la Liberté !
Aura pour devise immortelle :
L’Empereur, la Loi, la Liberté ! (x3) »

Pour écouter

[el]Spéciale dédicace à mes amis d'outre Quiévrain[/el]

el/ Pas pire cette chanson! Néanmoins, les paroles...y a pas un prob de temps? el/

[el] Je ne pense pas, où? [/el]

Bravo bravo


El : Remerciement de l'Outre Quiévrain...