Attaque San Sebastian

Rappel du premier message :


Les forces coalisées avaient coordonner leur attaque. Les Zaotèques et les autres indigènes attaqueraient San Sebastian par les flanc et les forces armées eldoranaises attaqueraient depuis la mer via un débarquement. Les navires d'El Doran, flotte redoutable, exercerait un blocus visant à bloquer la petite flotte des colonies et surtout à empêcher ou en tout cas ralentir la flotte d'Edoran qui mettrait du temps à revenir. Les navires pourraient quoi qu'il en soit empêcher des renforts de débarquer sur les plages les plus proches de san Sebastian.
Les premiers tirs de l'artillerie eldoranaise se firent entendre vers 15h. Ceux-ci durèrent une vingtaine de minutes. Les fortifications de san Sebastian résistaient bien. Cela était prévu. Le facteur chance n'avait pas été pris en compte par le Général Mendoza qui commandaient les troupes alliées. Néanmoins certaines fortifications pouvaient être attaquées par un assaut des troupes.
Le Fort du Grand Langoustier rendit les armes après 2 heures de combats acharnés mais inégaux : à 1 contre 30 les soldats édoranais avaient fait montre de beaucoup de courage et avaient rendu la tâche difficiles aux assaillants.

L'assaut du deuxième grand fort côtier s'avéra plus difficile car des renforts avaient pu le rejoindre, néanmoins pas assez nombreux pour empêcher sa chute, mais suffisemment pour stopper quelques heures supplémentaires les ennemis du saint-Empire.
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Cependant Fort-Corvin tomba trois heures plus tard. Les pertes eldoranaises s'élevaient à 450 morts et 340 blessés contre 98 morts édoranais. A ceux-la se rajoutaient les 198 morts Eldoranais de l'attaque précédente.
Les soldats de Charles III se battaient avec rage et courage face à des Eldoranais qui n'avaient que peu combattu.

Les représentants quittèrent la salle, et le nouveau ministre dans le cabinet du duc.

- Monsieur félicitation pour votre nominations. Notre travail, ici, est presque fini. Nous venons de proposer un cessez-de-feu. Nous attendons la confirmation de l'acceptation, et nous transmettrons le commandement militaire, à un autre haut-officier. En tant que ministre, nous pouvons vous indiquer, que presque la totalité des commandes militaires nous ont été remis par les fournisseurs. Le recrutement a été excellent. La recherche militaire a fait de grand progrès. Nous vous conseillons aussi de réorganiser les services de renseignement. Nous avons pu le constater leur défaillance.

Merci M. le Duc. Nous sommes très heureux du travail que vous avez accompli ici. Nos colonies se souviendront longtemps de votre action et de vos exploits militaires contre ces sauvages hordes de barbares.
Nous allons suivre vos conseils et votre action pour nos armées.

Le duc répondit.

Nous avons fais que notre devoir. Nous attendons donc la réponse des autorités.

les Eldoranais répondirent qu'ils acceptaient les accords de cesser le feu. Elles étaient sévères mais ils craignaient le gaz ketchup...

Un soldat arrive avec un message, qu'il remet au duc.

- Monsieur le ministre, nous venons de recevoir la confirmation de l'acceptation de l'accord.

Les officiers rentrent dans le cabinet.

- Messieurs, nous avons été content de vous avoir sous nos ordres. Notre mission personnel a été accompli. Général Juan de Pablo, nous vous remettons le commandement de nos forces edoranaises, ici. Nous retournons à Allancia. Notre femme nous attend avec impatience. Avant de vous quitter, nous vous félicitons pour votre travail.

Un serviteur rentre et remet à chacun un verre de vin.

- Messieurs, nous vous invitons à porter un toast : Pour la Paix, Pour l'Empereur, Pour Edoran et Pour Ether!!!

Tous répondirent: Pour la Paix, Pour l'Empereur, Pour Edoran et Pour Ether!!!

Le chancelier fit une visite éclair aux troupes édoranaises pour les féliciter. La cité de San Sebastian était libre mais ravagée par les combats. Philibert demanda à rencontrer les El Doranais en compagnie du ministre de la guerre et du Duc d'Esse s'il le souhaitait.

Le ministre organisa à San Sebastian la rencontre désirée par le chancelier avec les ElDoranais.
Ceuxci arrivèrent le matin du 7 juillet. La rencontre pourrait avoir lieu.
Edme-Patrice accueillit les El Doranais sur les marches du palais du gouverneur,palais qu'il avait bien connu jadis, quand lui-même occupa ce poste prestigieux.
- Si ces messieurs veulent bien me suivre, je vous conduits auprès du Prince de Saint-Junien

Les ambassadeurs ennemis étaient arrivés auprès du chancelier qui les avait fait s'asseoir.
- Très bien messieurs, fit Philibert, nous allons pouvoir discuter de la paix

Je vous écoute messieurs, avez vous quelque chose à nous dire avant de commencer ces négociations?

Les El Doranais étaient venus, très piteux, ne sachant pas ce qui les attendaient pour ces négociations.
Ils s'assirent, attendant ce que les edoranais allaient leur demander