Le FIPI arrive au bureau du PDE

Le Fipi, sous les ordres du Commissaire de la Brigade de Lutte contre les Activités Anti-Edoranaises, Marcel Leblanc, arrive au bureau du PDE, proche du café Saint-Germain. Le secteur avait été sécurisé. L'objectif était de prendre le plus d'information et d'arrêter tout le monde pour un interrogatoire.

Un juge avait autorisé l'intervention, conformément à l'article 1 de la Loi sur la lutte contre les activités anti-édoranaises et de l'article 4 de la Loi sur la Fierté edoranaise.

200.000 boîtes de documents ont été saisis.
150 arrestations.

Le Fipi a remis les documents et les suspects à la Brigade de Lutte contre les Activités Anti-Edoranaises, qui commence sa nouvelle enquête.

Le Fipi a refusé de donner des commentaires aux journalistes et de contacter le commissaire de la Brigade de Lutte contre les Activités Anti-Edoranaises. Le Fipi savait que son rôle avait des limites dans l'histoire.

Elle est belle la police politike! 

Un bourgeois va flouer des milliers de petits investisseurs et le gouvernement reste immobile...un simple ouvrier plakarde une simple affiche et la police débarke et saisi tout!

Le ministre de l'Interieur sort dehors devant les bureaux du ministère.

Mesdames et Messieurs les journalistes
Je vous remercie de votre présence. Conformément à la loi, les forces de l'ordre ont ouvert une enquête de sécurité nationsle. Pour le moment, presque toutes les personnes, qui ont été arrêté, ont été libéré. Il ne reste que 6 suspects, ils seront traduits devant le comité.

le peuple n'est pas dupe, votre police politique est une honte !

Un journaliste du petit Edoranais :
- Que va-t-il désormais se passer? Le PDE pourrait-il être interdit?

Le ministre prit la parole.

- Pour le moment, l'enquête n'accuse pas les dirigeants à l'interne de faire l'apologie de l'abolition de la monarchie ou de la mort de l'Empereur. Actuellement, il n'y a que l'affiche, qui a fait l'apologie du crime. Les suspects toujours détenus sont en lien avec cette affaire. Les hauts dirigeants du Parti n'ont jamais autorisé cette publicité, selon nos informations.

Voici les suspects:
Vlad Bolka - directeur des communications
Maria Klausvitch - directrice adjointe à la propagande
François Maximilien Delacommune - infographiste du PDE
Benoît Autel - imprimeur du PDE
Karl Particule - employé
Jean Santâche - employé

Le ministre assiste à l'installation des cadenas et des planches de bois aux fenêtres.

Les bureaux du PDE avaient l'image, d'une usine démantelée/