Conférence de presse

Bienvenu messieurs les journalistes.

Le Duc d'Esse ferra une allocution de 5 minutes, par la suite, il répondra à vos questions.


Bonjour, nous nous présentons, François-Albert Maxence Carnavon Dutronc-Pombal, duc d'Esse et pair de l'Empire. Nous annonçons aujourd'hui notre candidature au poste de Chancelier de l'Empire. Notre décision a été prise après diverses consultations. Edoran vie actuellement une période de reconstruction. La guerre civile a laissé de grandes traces dans la mémoire collective. Des défis nous attendent, mais nous serons les dépassés avec une nouvelle collaboration entre la Diète, le Peuple, et l'Empereur. Notre candidature est en réaction à la politique pacifiste de Rougemont. Comme disent nos grands philosophes, "SI TU VEUX LA PAIX, PRÉPARES LA GUERRE". Rougemont nous invite, à ouvrir la porte à nos ennemis et de les inviter à nos pillés. Jamais, nous accepterons cela. Nous venons d'appuyer deux motions à la Diète. Vous avez le choix entre la FIERTÉ NATIONALE, avec nous, ou la PEUR avec Rougemont.

Nous sommes disponibles pour vos questions.

Un journaliste se lève


Antoine Maurice pour l'Edoranais d'aujourd'hui


Quelle est votre relation avec l'Empereur? Les rumeurs font état d'un froid entre vous deux. Seriez-vous en disgrâce?

Monsieur Maurice, vous avez raison, il y a un froid entre nous et l'Empereur. Ce froid se basse sur nos idées pour l'avenir des préfectures. Par contre, nous ne sommes pas en disgrâce. Nous croyons l'avoir démontré notre soutien et notre amour pour l'Empereur en appuyant sa motion sur la Turcosie.

Donc vous approuvez la guerre contre la Turcosie...

Nous sommes pour. Des crimes ont été commis. Ils doivent être punis. Nous devons montré, que nous soutenons nos amis, nos alliés et tous Étheristes dans le monde. Si nous ne le faisons pas, nous allons démontré notre faiblesse. Aujourd'hui, nous avons la possibilité de réaffirmer notre rôle diplomatique. Nous avons de garantir la sécurité de tous Étheristes dans le monde. C'est pour cette raison, que nous appuyons la motion.

Monsieur!


René Otis pour Allancia Soir!


L'On dit de vous que vous avez les moeurs légères, que vous vous rendez souvent chez dame Gertrude. Est-ce vrai?

Nous avons jamais les pieds chez dame Gertrude. Soyez assurer, que nous respectons le bon savoir-vivre. Nous sommes toujours à la recherche d'une femme, qui sera digne d'être duchesse d'Esse, comme la femme du futur chancelier d'Edoran, si la population nous donne confiance lors des élections.

Un autre journaliste se leva pour poser une question.

Henri de Bouharmont du Fransien Libéré,
M. le Duc, quelle est votre position quant aux velléités de certains de demander plus d'autonomie pour nos provinces? On vous sait très grand défenseur du Chiron, quitte à aller à l'encontre de décisions de vos proches.

Edgard Nement du Petit Chironnais,

Quelle sera votre politique et celle de l'UCE si vous remportez ces élections par rapport à nos vassaux?

Monsieur Henri de Bouharmont
Nous appuierons une réforme de nos préfectures. Nous leurs donnerons une plus grande flexibilité dans l'application des lois cadres de la Diète. De même, nous allons offrir des responsabilités à ses préfectures. Par contre, ce projet devra être discuter et adopter par la Diète. Nous sommes en démocratie, et nous allons écouter l'expression de la voix du peuple. Nous sommes pour la collaboration.

Monsieur Edgard Nement
Notre politique sera d'approfondir notre amitié et de la réaffirmer. Nous chercherons un nouveau pacte économique de libre-échange. Nous chercherons à signer un nouveau pacte militaire d'entraide. Nous allons aussi encourager la modernisation et la démocratisation de nos alliés. Et nous espérons leurs soutiens dans la guerre contre la Turcosie.

Gérard Fougue d'Allancia soir



La modernisation et la démocratisation de nos alliés? Que voulez-vous dire?.

Monsieur Gérard Fougue, nous souhaitons dans notre politique économique permettre l'implantation de nouvelles infrastructures, encourager la recherche scientifique et universitaire. Nous souhaitons un travail de collaboration dans ses domaines intellectuels et logistiques. De même, nous souhaitons encourager les libertés. La liberté d'opinion, de presse et d'éducation sont importantes à nos yeux. Nous allons donc travailler à toucher ses points et les valoriser par un maximum de geste possible.

Un journaliste de la gazette se lève...


Et comment croyez-vous que nos alliés réagiront à cet ingérence?

Ce n'est pas une ingérence. Comme nous l'avons dis, nous allons travailler en concert. Ils auront droit de refuser, et nous allons respecter. Notre travail sera d'encourager et valoriser. Ils sont libre d'accepter. Ils resteront des partenaires privilégiés.