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Discours de Politique Générale
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Discours de Politique Générale
Le Chancelier fit son entrée et monta à la tribune. Il s'adressa à la Diète Impériale et à la nouvelle législature.
Mesdames et Messieurs les députés.
Si je me présente aujourd'hui devant vous, c'est parce que le peuple m'a donné la tâche de réformer notre pays. C'est dans cette optique que l'Empereur m'a accordé sa confiance et que j'ai pu composer un gouvernement issu de trois tendances politiques différentes mais qui ont accepté se s'unir et d'oublier leurs divisions pour dessiner l'Edoran de demain.
Je vous épargnerais de vaines paroles car je suis convaincu que c'est par les actes et l'ambition de voir changer son pays, qu'on se sent gratifier de la tâche qui nous incombe. Moi, je ne vois que le sommet de la gloire, au loin, et je sais, que nous ne manquerons pas de l'atteindre. Je vois cependant ce parcours émaillé d'une gestion des affaires courantes actives et d'un programme de réforme dense. Le mandat dont j'hérite est court alors que le chantier est vaste mais je ne cèderai rien.
Rayonner à travers notre savoir sur le micromonde, c'est une ambition que je traduis par une grande réforme de l’Éducation Publique qui nous permettras de former les citoyens de demain. Tout enfant de 6 à 16 ans doit pouvoir jouir d'une éducation citoyenne qu'elle que soit sa situation. Voilà l'enjeu de notre époque, nous devons doter nos enfants des outils nécessaires pour bâtir un futur serin et prospère.
Mieux gouverner Edoran, c'est réformer l'administration impériale et promouvoir l'autonomie administrative des états fédérés, leur octroyer un plus grand pouvoir de décision en matière d'aménagement, de droit civil, de droit pénal et carcéral et d'éducation. Si nous parvenons à faire confiance à nos territoires, nous serons unis pour affronter les défis de demain.
Comment s'ériger comme un modèle de modernité et de sagesse aux yeux des autres nations quand nos lois encadrant les conditions de travail des edoranais sont dignes du Moyen-Age ? Comment peut-on accepter de voir chaque année des enfants à peine plus âgés de ou 6 ou 8 ans mourir sur les lieux de travail ? La place de nos fils et de nos filles est sur les bancs des écoles, pas dans les mines ou dans les usines. La doctrine a longtemps lutté pour nous faire croire qu'un travailleur acculé et sous-payé était plus performant. Nous savons depuis, qu'il n'en n'est rien, qu'un travailleur un minimum protégé et avec un salaire digne est bien plus bénéfique à notre économie. Sans règles, c'est l'anarchie et aucun d'entre-nous ne la souhaite. Abolir le travail de nos enfants, fixer un âge minimum de départ à la retraite, voilà des mesures qui me sembles sages et je ne les prendrais pas unilatéralement, je vous fais la promesse que nous nous concerterons sur ce sujet.
Enfin, les épidémies de flemmingite à répétition qui nous ont frappé de plein fouet ont fortement mis à mal notre système médical et sanitaire et ont même eu de graves conséquences politiques. On ne peux plus se permettre de subir des épidémies aussi incontrôlées, nous œuvrerons pour un changement en profondeur.
J'ajoute en dernier lieu que je crois en la démocratie et que mon combat sera celui de la liberté. Offrir des moyens aux citoyens de s'exprimer c'est en garantir son existence. Je pense au référendum que nous pourrions envisager à l'échelle fédérale ou fédérée sur des grandes questions politiques. Je pense aux libertés fondamentales pour nos concitoyens et au profond rejet de la tyrannie des privilèges.
Je crois en la justice, en la paix, notre monde change, changeons-le ensemble, je vous remercies.
Mesdames et Messieurs les députés.
Si je me présente aujourd'hui devant vous, c'est parce que le peuple m'a donné la tâche de réformer notre pays. C'est dans cette optique que l'Empereur m'a accordé sa confiance et que j'ai pu composer un gouvernement issu de trois tendances politiques différentes mais qui ont accepté se s'unir et d'oublier leurs divisions pour dessiner l'Edoran de demain.
Je vous épargnerais de vaines paroles car je suis convaincu que c'est par les actes et l'ambition de voir changer son pays, qu'on se sent gratifier de la tâche qui nous incombe. Moi, je ne vois que le sommet de la gloire, au loin, et je sais, que nous ne manquerons pas de l'atteindre. Je vois cependant ce parcours émaillé d'une gestion des affaires courantes actives et d'un programme de réforme dense. Le mandat dont j'hérite est court alors que le chantier est vaste mais je ne cèderai rien.
Rayonner à travers notre savoir sur le micromonde, c'est une ambition que je traduis par une grande réforme de l’Éducation Publique qui nous permettras de former les citoyens de demain. Tout enfant de 6 à 16 ans doit pouvoir jouir d'une éducation citoyenne qu'elle que soit sa situation. Voilà l'enjeu de notre époque, nous devons doter nos enfants des outils nécessaires pour bâtir un futur serin et prospère.
Mieux gouverner Edoran, c'est réformer l'administration impériale et promouvoir l'autonomie administrative des états fédérés, leur octroyer un plus grand pouvoir de décision en matière d'aménagement, de droit civil, de droit pénal et carcéral et d'éducation. Si nous parvenons à faire confiance à nos territoires, nous serons unis pour affronter les défis de demain.
Comment s'ériger comme un modèle de modernité et de sagesse aux yeux des autres nations quand nos lois encadrant les conditions de travail des edoranais sont dignes du Moyen-Age ? Comment peut-on accepter de voir chaque année des enfants à peine plus âgés de ou 6 ou 8 ans mourir sur les lieux de travail ? La place de nos fils et de nos filles est sur les bancs des écoles, pas dans les mines ou dans les usines. La doctrine a longtemps lutté pour nous faire croire qu'un travailleur acculé et sous-payé était plus performant. Nous savons depuis, qu'il n'en n'est rien, qu'un travailleur un minimum protégé et avec un salaire digne est bien plus bénéfique à notre économie. Sans règles, c'est l'anarchie et aucun d'entre-nous ne la souhaite. Abolir le travail de nos enfants, fixer un âge minimum de départ à la retraite, voilà des mesures qui me sembles sages et je ne les prendrais pas unilatéralement, je vous fais la promesse que nous nous concerterons sur ce sujet.
Enfin, les épidémies de flemmingite à répétition qui nous ont frappé de plein fouet ont fortement mis à mal notre système médical et sanitaire et ont même eu de graves conséquences politiques. On ne peux plus se permettre de subir des épidémies aussi incontrôlées, nous œuvrerons pour un changement en profondeur.
J'ajoute en dernier lieu que je crois en la démocratie et que mon combat sera celui de la liberté. Offrir des moyens aux citoyens de s'exprimer c'est en garantir son existence. Je pense au référendum que nous pourrions envisager à l'échelle fédérale ou fédérée sur des grandes questions politiques. Je pense aux libertés fondamentales pour nos concitoyens et au profond rejet de la tyrannie des privilèges.
Je crois en la justice, en la paix, notre monde change, changeons-le ensemble, je vous remercies.
Antoine de Courvoisier- Orateur
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Age : 36
Date d'inscription : 29/04/2018
Re: Discours de Politique Générale
Le vote de confiance est ouvert :
OUI
NON
ABSTENTION
OUI
NON
ABSTENTION
Antoine de Courvoisier- Orateur
- Nombre de messages : 154
Age : 36
Date d'inscription : 29/04/2018
Re: Discours de Politique Générale
Les députés PI votèrent CONTRE !
Maison de Hauteville- Tribun
- Nombre de messages : 2171
Age : 53
Date d'inscription : 09/12/2014
Re: Discours de Politique Générale
Les députés PPE votèrent naturellement POUR
Antoine de Courvoisier- Orateur
- Nombre de messages : 154
Age : 36
Date d'inscription : 29/04/2018
Re: Discours de Politique Générale
Sur les bancs traditionalistes, une clameur s'éleva.
DICTATURE! ABUS DE POUVOIR!
Lancret se leva
Dois-je rappeler à notre chancelier en culotte que le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif sont séparés? En aucun cas un chancelier ne peut lancer un vote à la diète!
Ceci est anticonstitutionnel! Nous ne reconnaîtrons pas ce vote!
DICTATURE! ABUS DE POUVOIR!
Lancret se leva
Dois-je rappeler à notre chancelier en culotte que le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif sont séparés? En aucun cas un chancelier ne peut lancer un vote à la diète!
Ceci est anticonstitutionnel! Nous ne reconnaîtrons pas ce vote!
Invité- Invité
Re: Discours de Politique Générale
- Spoiler:
- J'en avais parfaitement conscience et je l'ai fait parce qu'il n'y avait pas encore de président de la Diète et que je pouvais pas avancer tant que le vote était pas lancé je m'en excuse
Antoine de Courvoisier- Orateur
- Nombre de messages : 154
Age : 36
Date d'inscription : 29/04/2018
Re: Discours de Politique Générale
- Spoiler:
- Ahah tu n'as pas à t'excuser. Si j'avais été vraiment choqué, j'aurais écris en exlude. J'ai juste sauté sur l’occasion pour jouer le jeu
Invité- Invité
Re: Discours de Politique Générale
Paul-Firmin Beaumont-Desnoyers, Président sortant de la Diète, lança le vote officiellement et enregistra les votes du PI et du PPE.
Par ailleurs, les députés libéraux votèrent pour la confiance.
Par ailleurs, les députés libéraux votèrent pour la confiance.
Eugénie de Sabrevoix- Orateur Historique
- Nombre de messages : 4024
Age : 33
Date d'inscription : 17/03/2011
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