Coup de force du Duc d'Esse

Très tôt ce matin, le signal a été donné.

Le personnel du Duc est parti informé au fidèle du Duc, d'aller au sanctuaire d'Éther à Confolens, pour assister au mariage.

En même temps, trois voitures blindées partirent pour aller chercher les invités prestigieux.

Une voiture blindée arrive à Bourdeleau.

Un garde sort, et frappe à la porte. Il remet à l'occupant une lettre.

C'est maintenant - stop -
Cette voiture vous conduira au lieu de la célébration - stop -
Nous avons hâte de vous appeler papa - stop-

Philibert parut surpris, qu'allait dire Hortense? Les hautes autorités avait refusé cette union. Sans un accord de l'empereur allait elle accepté ce mariage.

Presque deux cents nobles de Chiron sont déjà réunis dans le sanctuaire. Ils savaient depuis le bal d'hiver, que le mariage aurait lieu. Ils veulent par leur présence soutenir le Duc et la future Duchesse.

On attend les invités de marque, qui sont en route.

Devant le célébrant de la cérémonie, le Duc se tenait debout avec sa soeur et son cousin, pour voir l'entrée de sa promise.

La jeune fille arriva au bras de son père. Philibert était très ému de marier ainsi sa cadette.

Les deux aimants réalisèrent rapidement leurs voeux d'union, et le célébrant présente immédiatement après le nouveau couple béni, à l’auguste assemblée de noble présent.

Immédiatement après, sans grande fête, les invités étaient invités au palais ducal d'Esse, pour célébrer cette union. Des voitures blindées et une escorte de la police impériale étaient à l'extérieur.

C'est la fête, au palais. Mais tous savent que demain, les journaux attaqueront cette alliance.

Mais l'heure est à la fête.

Lorsque l'Impératrice fut informée que le mariage entre le Duc d'Esse et Solène-Artémis, elle se dit que ce jeune duc n'avait vraiment aucun honneur pour lui, ni pour sa famille... Elle se dit qu'une telle mésalliance n'aurait jamais pu être envisagée en Eslagne ! La noblesse édoranaise perd réellement ses valeurs... Enfin, une partie seulement de cette noblesse, heuresement !

Philibert et Hortense étaient émus.